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Liste des extraits

Après mûre réflexion, j'en suis venu à la conclusion que les choses m'arrivent pour deux raisons. Premièrement, j'ai la terrible habitude de me déconcentrer en plein milieu d'une conversation. Je vais entendre le début, commencer à penser à ce que je vais faire ensuite, et puis revenir à temps pour entendre la fin. Cela devient particulièrement risqué lorsqu'on me donne des indications, parce qu'il n'est jamais de bon ton de demander à quelqu'un de répéter ce qu'il vient déjà de vous énumérer en détail. C'est pourquoi je me retrouve souvent dans des quartiers louches après la tombée de la nuit. À improviser.

Deuxièmement, je ne suis pas la personne la plus perspicace de la planète. Alors quand l'un de mes amis me demande de lui accorder une faveur, je me contente en général d'accepter, sans trop poser de questions. Ce n'est pas comme si j'écoutais toute l'explication de toute façon, puisque comme je l'ai dit, je suis probablement LA figure emblématique du TDAH, le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité. À moins que vous soyez mon patron ou un mec vraiment très sexy.

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D — Tu l’aimes, je sais.

J — Est—ce que c’est là que tu me dis que si ça va mal la prochaine fois, tu ne seras pas là pour m’aider à m’en sortir ?

D — Je me moque de savoir combien de fois les choses tournent mal, je serai là.

(CONVERSATION entre Dane et Jory)

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— Attends une minute. Tu as rencontré un gars hier soir et il te laisse lui organiser un rendez—vous ?

— Ouais.

— Pourquoi ?

— Pourquoi quoi ?

— Pourquoi un gars que tu as rencontré hier soir te laisserait mettre en place un rendez—vous pour lui avec un autre gars ?

Je baissai mes jumelles et lui lançai un regard noir.

— Pourquoi est—ce important ? Le truc excitant de ce moment, c’est que je suis un dieu de l’amour.

— Vraiment ? demanda—t—il avec un sourire narquois

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J’étais au Navy Pier avec des jumelles et un imperméable la nuit suivante. Je boitais parce que je m’étais tordu la cheville en jouant au squash avec Dane le matin, mais je n’allais pas laisser une petite douleur se mettre en travers de ma mission d’espionnage.

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Alors que je m’asseyais sur l’escalier, à côté de femmes qui se prélassaient dans une petite zone de la salle de séjour, j’entendis le nom de Sam.

— Alors qui est cette fille avec Sam et Dom ? demanda l’une d’entre elles.

Une autre ricana.

— C’est la fille avec qui Dominic a arrangé un double rendez—vous pour Sam, vous vous souvenez ?

— Oh, c’est vrai, répondit la première femme. Elle était sympa. Elle s’appelait Maggie quelque chose.

— Ouais, ouais, Maggie, c’est ça. Maggie Dixon.

— Alors notre Sam est sorti deux fois avec elle ? demanda la première femme en arquant un sourcil parfaitement épilé. Eh bien, c’est une fois de plus que d’habitude.

— Elle est mignonne, renchérit une autre fille. Qu’est—ce qu’elle fait ?

— Je pense qu’elle enseigne. Pour les classes de sept à neuf ans, je crois.

— Ah, une institutrice pour Sammy ? N’est—ce pas mignon ?

— Regardez—les, ils sont adorables tous les deux.

Margaret Dixon était une sinueuse petite brune avec de profondes fossettes et de grands yeux bruns. Elle avait un rire magnifique, un comportement chaleureux et était, de toute évidence, très sympathique. Elle était une de ces personnes qui aimait toucher les gens, alors en gros, elle avait ses mains partout sur Sam, mais c’était charmant au lieu de coquet et effronté. Ses cheveux bouclaient jusqu’au milieu de son dos et elle avait ce réel teint de pêche dont vous aviez toujours entendu parler, mais que vous n’aviez jamais vu dans la vraie vie. Sa taille de guêpe était mise en valeur par un jean serré et un tee—shirt cintré au décolleté plongeant. Elle était le genre de fille pour lequel les hommes faisaient la queue. Elle était le type de Sam, assuraient les filles, et à les voir ensemble, il était difficile de dire le contraire.

Il semblait à l’aise avec Maggie. Ses yeux étaient doux lorsqu’il la regardait et quand il se pencha vers elle pour lui montrer comment tenir la queue de billard, les filles poussèrent toutes un soupir en harmonie. Je le regardai aller lui chercher à boire, la laisser lui mettre la cerise dans la bouche, puis lui tendre la queue qu’il avait nouée avec sa langue. Certains commentaires fusèrent parce que Maggie rougit, affichant une teinte très seyante de rose et Sam arqua un sourcil et sourit malicieusement. Les éclats de rire provenant de leur table attirèrent tous les regards.

J’étais prêt à partir.

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— Rappelle—moi de te tuer, dit—il en guise de bonjour.

— Salut.

J’essayai de ne pas sourire.

— Comment vas—tu ?

— Tu l’as fait exprès.

— Que veux—tu dire ? dis—je en gloussant.

— La vengeance est un plat qui se mange froid.

— Comment se passe le rendez—vous ?

— Tu es un imbécile, m’assura Dane.

— Quoi ? La balade n’est pas bien ?

Long silence.

— Tu savais que c’était une sortie romantique.

J’étais si heureux qu’il ne puisse pas me voir.

— Vraiment ?

Il était en rendez—vous arrangé avec l’une de mes collègues et je lui avais assuré que je prendrais soin de tout. Tout ce qu’il avait à faire était de se présenter. Fidèle à ma parole, j’avais organisé le rendez—vous le plus romantique possible.

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Tout à coup je compris, et la simplicité de la chose était sidérante. Il m’aimait. Il ne pouvait pas le dire parce que les mots étaient trop pour lui, ils pèseraient trop lourd entre nous, mais je le vis dans son regard fixe, le sentis dans la chaleur de sa main sur ma joue, et l’entendis dans la façon dont il retenait son souffle. Il m’attendait. Il m’attendrait pour toujours si je lui demandais. Je hochai la tête parce que je ne pouvais pas parler.

Son bras glissa autour de mon cou alors qu’il m’attirait près de lui, me tenant serré, appuyant son menton sur le haut de ma tête tandis qu’il me remerciait.

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À L’UNIVERSITÉ, j’avais dû suivre un cours sur le conditionnement physique ; c’était l’une de mes matières obligatoires, et l’une des choses que nous avions apprises était que notre corps ne savait pas faire la différence entre une douleur physique et une douleur émotionnelle. C’est pourquoi le chagrin, si on n’y remédiait pas, pouvait finir par nous tuer. Les gens en deuil se plaignent souvent que leur corps leur fait mal. Je ne l’avais jamais mis en doute, j’avais toujours pris ça pour une vérité et fait ce que je pouvais pour leur apporter à manger ou les aider à nettoyer leur maison. Vu la façon dont je me traînais toute la semaine, Jill et Celia finirent par me dire d’organiser des funérailles pour enterrer ma vie amoureuse et de passer à autre chose. Je leur demandai si nous pouvions aller boire un verre à la place.

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Quand l’expérience se terminerait, je reprendrais ma route et il retournerait coucher avec des filles, auditionnant la mère de ses enfants. J’étais un intermède, un entracte, une distraction. Même si je me rendais indispensable, même si je pensais qu’il ne pouvait pas vivre sans moi — au final, il vivrait sans moi parce que ce n’était pas ce qu’il voulait. Son cœur n’était pas connecté à son sexe. Il pouvait coucher avec moi dès maintenant jusqu’à sa mort sans jamais m’aimer, parce qu’il n’était pas câblé de cette façon. Les hommes aimaient les femmes, pas d’autres hommes. C’était une vérité comme une autre pour lui. La pluie tombait, le soleil brillait, les hommes aimaient les femmes. Point final. Je perdais mon temps en pensant qu’il pouvait en être autrement…

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— Sam, tu dois y aller. Je ne dors pas avec…

— Je ne vais nulle part, promit—il d’une voix douce et rauque, à moitié endormi.

— Tu ne peux pas…

Il embrassa mon front, puis mon nez.

— Ferme les yeux.

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