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Je ne puis écouter davantage en silence. Il faut que je vous parle, avec les moyens dont je dispose. Vous transpercez mon âme. Je suis partagé entre l'angoisse et l'espoir. Non, ne me dites pas qu'il est trop tard, que ces précieux sentiments ont disparu à jamais. Je vous offre de nouveau un coeur qui vous appartient encore plus totalement que lorsque vous l'avez brisé il y a huit ans et demi. Ne prétendez pas que l'homme oublie plus vite que la femme, que son amour meurt plus tôt. Je n'ai jamais aimé que vous. Injuste, j'ai pu l'être, faible et rancunier, je l'ai été. .. mais inconstant, jamais. C'est vous seule qui m'avez fait venir à Bath. C'est pour vous seule que je pense, que je fais des projets. .. Ne l'avez-vous pas senti ? N'avez-vous pas compris mes souhaits ?. .. Je n'aurais même pas attendu ces dix jours si j'avais pu lire vos sentiments comme je pense que vous avez dû pénétrer les miens. J'arrive à peine à vous écrire. J'entends à tout moment quelque chose qui me bouleverse. Vous baissez la voix, mais je puis distinguer les inflexions de cette voix, quand même elles échapperaient à d'autres. .. O parfaite, excellente créature ! Vous nous rendez bien justice. Vous êtes sûre que l'attachement et la constance véritables existent parmi les hommes. Soyez assurée de les trouver infiniment fervents, infiniment fidèles.

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Ce qu'il y avait de pire à Bath, c'était la multiplicité des laiderons. Il ne voulait pas dire qu'il n'y eût pas de jolies femmes, mais les laides étaient infiniment plus nombreuses. Il lui était fréquemment arrivé d'observer en se promenant un beau visage, mais suivi de trente ou trente-cinq véritables horreurs. Un jour qu'il était dans une boutique de Bond Street, il avait vu passer à la suite quatre-vingt-sept femmes; sans qu'il n'y eût dans le lot un seul visage qu'on pût qualifier d'acceptable.

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Les deux familles avaient toujours été dans des termes excellents, car d’un côté il n’y avait pas d’orgueil ;

de l’autre, pas d’envie.

Les misses Musgrove avaient seulement une conscience de leur supériorité qui leur faisait patronner leurs cousines avec plaisir.

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Marie a un assez bon naturel, mais elle m’irrite quelquefois par sa déraison et son orgueil.

Elle en a beaucoup trop, de l’orgueil des Elliot !

Nous aurions tant désiré que Charles épousât Anna au lieu de Marie.

Vous savez qu’il a demandé Anna ?

Le capitaine répondit après un silence :

« Voulez-vous dire qu’elle l’a refusé ?

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Oui, soupira Anna, notre parenté sera suffisamment connue.

Je crois qu’on a pris trop de peine pour cela.

Il faut croire, dit-elle en souriant, que j’ai plus d’orgueil que vous tous, mais j’avoue que je suis vexée de cet empressement à faire connaître notre parenté, qui doit leur être parfaitement indifférente.

— Pardonnez-moi, ma chère cousine ; vous êtes injuste dans votre propre cause.

Peut-être qu’à Londres, avec notre simple train de vie, il en serait ainsi ; mais à Bath, Sir Walter Elliot et sa famille seront toujours appréciés à leur valeur.

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Elle ne s'était pas bien conduite envers lui, l'avait trahi et déçu. Pis que cela, elle avait montré par son comportement une faiblesse de caractère que sa nature confiante et décidée ne pouvait pas supporter. Elle avait renoncé à lui pour obliger les autres. Elle avait succombé à la persuasion. Elle avait été pusillanime et timorée.

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Pour une ses filles, son aînée, il eût renoncé à n'importe quelle chose qui ne l'eût pas beaucoup tenté.

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Mais un devoir à remplir l'appela ailleurs. Mary, qui était souvent souffrante, et qui s'écoutait beaucoup, avait besoin d'Anne à tout propos. Elle se trouva indisposée et , ou plutôt réclama, la compagnie de sa soeur. "Je ne puis m'en passer écrivait Mary; Elizabeth avait répondu :"Anne n'a rien de mieux à faire que de rester avec vous ; on n'a pas besoin d'elle à Bath."

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-J'appelle bonne compagnie, dit-elle à M. Elliot, les personnes instruites, intelligentes et qui savent causer.

-Vous vous trompez, répondit-il doucement. Ce n'est pas là la bonne compagnie : c'est la meilleure. La bonne compagnie demande seulement de la naissance, de bonnes manières et de l'éducation, et même, elle n'est pas exigeante sur ce dernier point : très peu d'instruction ne fait pas de mal du tout . Ma cousine Anne secoue la tête : elle n'est pas satisfaite : elle est difficile. Ma chère cousine, dit-il en s'asseyant près d'elle, vous avez plus de droits qu'une autre d'être difficile. Mais cela vous servira-t-il à quelque chose ? En serez-vous plus heureuse ? N'est-il pas plus sage d'accepter la société de ces bonnes dames, et d'en avoir les avantages ? Soyez sûre qu'elles brilleront aux premières places cet hiver, et cette parenté donnera à votre famille (permettez-moi de dire à "notre famille") le degré de considération que nous pouvons désirer.

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Non, ce n'était pas le regret qui, en dépit d'elle-même, faisait battre le coeur d'Anne et lui mettait la rougeur aux joues, quand elle pensait que Wentworth était libre ! Elle avait honte d'analyser ses sentiments. Ils ressemblaient trop à de la joie : une joie immense.

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