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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-04-13T12:50:40+02:00

Au moment où j’entends la porte d’entrée se fermer, j’ai l’impression que mon cœur vient de se briser. Je tombe au sol et fonds en gros sanglots. J’ai la tête qui tourne, je ne me sens vraiment pas bien. Je me demande ce qui a bien pu se passer. Comment en sommes-nous arrivés de révision entre copains à moi par terre en train de pleurer et le cœur en miettes ?

Je ne sais pas combien de temps se passe avant que je sente ses mains sur mes joues. Il essuie tendrement mes larmes.

– Don’t cry my star.

Il dépose de tendres baisers là où étaient mes larmes. Il me caresse les lèvres en me regardant droit dans les yeux, son regard est voilé par un sentiment nouveau que je n’avais jamais vu dans ses yeux… l’amour.

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Extrait ajouté par vivie2508 2016-03-28T21:00:27+02:00

– Quand tu veux, mon grand !

Il se met à jouer et sa voix fluette résonne dans la chambre.

Tu dors encore et encore

Je te regarde et donnerais tout mon or

Pour te voir ouvrir les yeux

Pour que nous soyons à nouveau tous les deux

...

Ouvre tes jolis yeux maman

Je chante en t’attendant

Mais j’ai besoin de toi pour devenir grand

Maman au bois dormant.

...

Nous sommes là, on te regarde, endormie,

Ensemble enfin notre famille est réunie

Il ne manque que toi pour notre bonheur,

Maman réveille-toi, il est l’heure.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-04-11T16:19:11+02:00

– Et tu crois qu’elle va accepter ? Hank m’a dit qu’elle avait un petit ami…

Je lance un regard blasé à Hank.

– Quoi ? On vit par procuration, mon pote ! T’es le seul encore célibataire, t’es notre feuilleton à nous !

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Extrait ajouté par keleana4 2017-06-22T22:50:47+02:00

Octobre 2004

Voilà l’année du bac a commencé, cette année sera décisive pour moi. Mes notes détermineront si je peux aller étudier à Sydney ou pas. J’attends Jack, nous devons réviser ensemble notre contrôle d’anglais. Il a de toute évidence plus de facilités que moi et du coup il m’aide beaucoup. Pourtant chose exceptionnelle, il est en retard. J’attrape mon manuel et commence sans lui.

Au bout de dix minutes, il faut bien que je me l’avoue, ces révisions n’étaient encore qu’un prétexte pour être avec Jack, alors sans lui cela n’a aucun intérêt. Je pousse mon livre et l’aperçois appuyé

contre l’embrasure de la porte, il me regarde visiblement ému.

– Tiens te voilà, j’ai eu peur que tu ne viennes pas. Ça va ?

– Pas vraiment. Ma mère a voulu me parler au moment où je venais te rejoindre.

– Vous vous êtes encore disputés ?

Jack et sa mère ont une relation très compliquée et les disputes sont monnaie courante. Mais je n’ai jamais vu Jack aussi bouleversé par l’une d’elles.

– Il faut que je te parle, Ella.

– Je t’écoute.

Il vient s’asseoir à côté de moi et me prend les mains. Il me les embrasse l’une après l’autre, inspire profondément. L’espace d’une seconde, je me dis qu’il va enfin me dire qu’il est amoureux de moi, qu’il veut que l’on soit plus que des amis, bien plus. Il me regarde et se lance :

– Ma mère a rempli sa mission à Paris, elle a eu sa promotion…

Il baisse les yeux, il cherche ses mots.

– C’est super, elle veut que vous fêtiez ça ? demandé-je voyant toujours le verre à moitié plein.

– Nous déménageons dans un mois…

– Oh ! Dans quel quartier allez-vous ?

– Estella, tu entends ce que je te dis ?

Il s’énerve, mais pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ?

– Oui, vous allez déménager et après, ce n’est…

– Nous retournons à New York, Ella ! Il élève la voix et mon cerveau s’est mis sur pause.

– Quoi ? Ma voix se brise sous le coup de l’émotion. Juste pendant les vacances, hein ?

Il baisse les yeux secoue légèrement la tête. La panique m’envahit.

– Jack ? Ce n’est que pour les vacances n’est-ce pas ?

– Non, ce n’est pas temporaire.

Je me lève d’un bond, je ne peux plus rester en place. J’arpente la pièce en essayant de mettre de l’ordre dans mon esprit.

– Mais ce n’est pas possible ! On est en plein milieu de l’année scolaire et il y a le bac à la fin de l’année.

– Elle a tout arrangé, mon dossier scolaire a été transféré et j’ai déjà acquis presque toutes les matières…

– Je m’en fous ! crié-je fort, les larmes se sont mises à couler, je suis au bord de la crise de panique.

Tu ne peux pas partir, tu ne peux pas me laisser !

Il se lève et m’arrête pour me prendre dans ses bras.

– Ça va aller Ella, on s’appellera tous les jours, s’il le faut, il y a les mails et je ne sais pas, on trouvera un moyen de maintenir notre amitié même à distance.

– Notre amitié ? C’est tout ce que nous sommes pour toi, des amis ?!

Il me lâche et fait un pas en arrière, il me regarde comme si je parlais une langue étrangère.

– Pour moi tu n’es pas seulement un ami, tu es plus, beaucoup plus et je ne sais pas comment je vais pouvoir faire pour vivre sans toi…

Il recule encore d’un pas. Il secoue la tête et regarde ses pieds, j’ai l’impression de l’avoir frappé.

– Je ne comprends pas, dit-il tellement bas que j’ai du mal à l’entendre.

Je fais un pas vers lui. C’est le moment ou jamais de lui dire ce qu’il représente pour moi.

– Je t’aime Jack ! Je t’aime depuis le jour où tu as fait ton entrée dans ma vie. Je t’aime plus que tout.

J’avais trop peur pour te le dire avant, mais aujourd’hui, il est temps, je veux que tu saches à quel point je t’aime…

Je fais encore un pas vers lui. Il ne bouge pas, nous ne sommes qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Il me regarde comme s’il me voyait pour la première fois. Je m’avance encore un peu, je lève les mains pour entourer son beau visage. Mais il les attrape et se recule. Il me regarde droit dans les yeux quelques secondes, me lâche et sort de la chambre, sans un mot, sans se retourner.

Au moment où j’entends la porte d’entrée se fermer, j’ai l’impression que mon coeur vient de se briser. Je tombe au sol et fonds en gros sanglots. J’ai la tête qui tourne, je ne me sens vraiment pas bien. Je me demande ce qui a bien pu se passer. Comment en sommes-nous arrivés de révision entre copains à moi par terre en train de pleurer et le coeur en miettes ?

Je ne sais pas combien de temps se passe avant que je sente ses mains sur mes joues. Il essuie tendrement mes larmes.

– Don’t cry my star.

Il dépose de tendres baisers là où étaient mes larmes. Il me caresse les lèvres en me regardant droit dans les yeux, son regard est voilé par un sentiment nouveau que je n’avais jamais vu dans ses yeux…

l’amour.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-04-13T20:10:07+02:00

Toutefois, depuis quelque temps, les garçons tournaient comme des lions en cage. Le studio ne les intéressait plus, les ennuyait même. Il était évident qu’ils avaient besoin de remonter sur scène. Mais comme ils nous avaient promis trois ans de relâche, ils ne voulaient pas revenir sur leur promesse. Alors après un conseil de guerre strictement féminin où il en est sorti que soit : ils remontaient sur scène soit nous irions toutes en prison pour meurtre collectif voire rituel – quoiqu’avec nos circonstances atténuantes (maris plus qu’insupportables) pas sûr qu’un juge nous ait mis en prison – nous avons décidé de réunir la Cour suprême RS (maris + épouses) pour les obliger à remonter sur scène. Inutile de vous dire qu’ils ont dû mettre à peu près une seconde et demie à accepter.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-04-13T19:01:21+02:00

Je réunis toutes mes forces, toute la colère que j’ai pour cette femme, la pitié n’a plus de place. Et je lui envoie un coup de béquille en plein visage. Elle est stoppée net et tombe au sol.

– Waouh ! Ça c’est du swing ! s’écrit Cooper qui avait déjà bondi pour l’arrêter.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2019-10-29T23:58:20+01:00

Nous passons le début de soirée avec le reste du groupe. Ils me racontent qu’ils se sont connus au lycée puis ils sont allés dans la même université à New York. Ils ont rapidement monté le groupe et fait des petits concerts sur le campus où ils ont été repérés par un producteur.

Je sais déjà tout ça par la presse et leur attaché de presse, mais les entendre raconter cette histoire où chacun prend le relais de l’autre en la ponctuant d’anecdotes gênantes ou amusantes, c’est autre chose, ça les rend plus réelles.

Je fais plus ample connaissance avec les garçons et je crois que c’est le groupe pop le moins rock’n roll de l’histoire de la musique.

À l’exception de Jack, ils sont tous mariés ou presque et déjà pères de famille.

– Alors aucune histoire de désintox ou autre soirée défoncée à saccager des chambres d’hôtel ? Je suis déçue. Je m’attendais à rencontrer un vrai groupe de rock, dis-je en riant.

– C’est clair que nous ne sommes pas très drôles ! Nous avons presque tous connu nos femmes à la fac ! dit Bo en attrapant son portable qui vient de se mettre à sonner.

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Extrait ajouté par Pegh 2018-12-29T14:55:08+01:00

La tournée nord-américaine touche à sa fin, nous sommes à Miami pour notre dernier concert et demain direction Londres. Peut-être parce que c’est la dernière, peut-être parce qu’Estella est avec moi, mais cette tournée est différente des autres. Même pour les gars, j’ai l’impression que quelque chose a changé. Nous sommes plus sereins, d’habitude à cause du stress et/ou de la fatigue nous arrivons toujours à nous engueuler au moins une fois, mais pas cette fois-ci, on se croirait en lune de miel, tout va pour le mieux.

C’est même plus que cela, j’ai l’impression d’avoir couru pendant dix ans et d’être enfin à destination. Je n’ai plus besoin de courir, je suis là où j’ai toujours voulu être, entre les… bras d’Estella.

C’est là où je suis, nous nous sommes échappés un moment sur une pelouse derrière la salle de spectacle pour déjeuner, elle relit l’article qu’elle va faire paraître dans le prochain numéro du magazine pour lequel elle travaille. Je lui chante les dernières compos que j’ai écrites, elles parlent évidemment toutes d’elle.

– Tu sais que tu vas passer pour une vraie midinette, si tu chantes ça en public ! Elle ricane puis m’embrasse. Mais merci, c’est magnifique.

Je suis couché, ma tête repose sur sa cuisse, elle est obligée de se tordre en deux pour que nos lèvres se touchent, j’ai ainsi tout le loisir de lui caresser la poitrine en plongeant la main dans son décolleté, avant qu’elle ne se relève.

Je n’ai jamais été du genre fleur bleue, pour moi les moments passés avec une femme se résumaient à être dans une chambre à coucher, mais même si j’apprécie particulièrement d’être au lit avec Estella, j’apprends aussi à apprécier ces petits instants volés entre deux balances ou prises de son. J’aime être avec elle tout simplement, dans n’importe quel endroit, dans n’importe quelle position.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-04-13T13:55:14+02:00

La porte s’ouvre, ce ne sont pas mes amours, mais Madame Nolls qui entre. À ma plus grande surprise, elle me sourit.

– Bonjour Estella, puis-je entrer ?

Qui est cette femme qui me demande l’autorisation d’entrer et me sourit ? Qu’avez-vous fait de la mégère de mes souvenirs ?

– Bien sûr… réponds-je tout de même un peu méfiante.

Elle pose un vase rempli de pivoines rose pâle.

– Jacob m’a dit que c’était vos fleurs préférées.

Je lui souris timidement. Je me demande toujours quand vont sortir les insultes.

– Je suis venue un peu en avance, je dois aller au MET avec Jacob après sa visite… Puis je le ramènerai pour qu’il vous dise au revoir.

Elle regarde son manteau en cachemire Camel impeccable, elle a l’air mal à l’aise, elle cherche ses mots. Une première.

– Vous aviez quelque chose à me demander Madame Nolls ?

Elle lève ses grands yeux bleus vers moi.

– Appelle-moi Élisa… En fait, je… je voulais te présenter mes excuses Estella pour… tout. Mon attitude à ton égard à Paris… Pour celle que j’ai eue à la naissance de Jacob.

Ai-je bien entendu ? Elisa Nolls qui s’excuse. Il faudrait peut-être que je l’enregistre, des fois que la mégère réapparaîtrait, genre dédoublement de la personnalité.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2016-04-13T01:39:29+02:00

Dans l’avion, les gens nous dévisagent certains nous prennent même en photo, le magazine incriminé se trouve sur toutes les dessertes. Au bout d’un moment, je me fâche et préviens l’hôtesse que si elle ne demande pas aux passagers de respecter notre vie privée, j’attaque la compagnie et elle-même pour non-respect de la vie privée.

– Tu as le droit de faire ça ? me demande Jack, amusé de ma tirade contre l’hôtesse.

– Je n’en sais rien et je m’en fous. Je veux juste passer deux heures et demie de vol sans craindre de chopper un cancer de la rétine à cause des flashs !

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