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Un tome un peu en dessous du précédent mais nécessaire en ce qui concerne l'évolution de la princesse Néférouré auprès de Senmount mais surtout l'évolution du prince qui se forme de plus en plus à l'art de la guerre et dont le caractère s'affirme de plus en plus. C'est un tome charnière qui risque de mettre en branle des événements importants par la suite...

Je viens de remarquer que j'avais beaucoup aimé les 4 premiers tomes, le 5 et 6 un peu moins : les négociations commerciales ne m'ont pas intéressées et le nouveau personnage (Panéhésy) ne me plaît pas.

Ce 7ème tome est dans la lignée des 2 derniers. Ça se lit bien mais j'ai perdu l'engouement que j'avais ressenti dans les premiers tomes.

La reine est soi-disant pour la paix pourtant au début du tome, elle n'hésite pas à Spoiler(cliquez pour révéler)décapiter un homme...

Je me suis toujours mefiée de Spoiler(cliquez pour révéler)Hapouseneb. La scène avec les message montre qu'il ressemble à Varys dans Game Of Thones. Je pense qu'il joue le double jeu et qu'il se tient informé de tout le monde. A mon avis il n'est pas totalement fiable.

Seul bon point de ce tome : l'évolution des 2 enfants qui pourraient bien devenir les nouveaux espoirs de l'Égypte.

En fait ce qui ne me plaît plus dans ce manga c'est l'absence de fil conducteur.

J'ai l'impression de lire un tranche de vie : les chapitres n'ont pas vraiment de liens entre eux. Certaines scènes sont longues pour pas grand chose au final.

J'ai le sentiment que la mangaka veut évoquer tellement de rites et pratiques de l'époque (momifications, construction d'autel de prières, obélisque, rituels de passage à l'âge adulte...) qu'elle le fait au détriment de l'histoire.

Il manque clairement un fil conducteur pour moi et je suis malheureusement en train de décrocher de la série.

Je déclasse donc cette série en argent et je pense m'arrêter ici pour cette série, plus les tomes avancent et moins j'apprécie malheureusement.

Autant l’art sait ravir les cœurs sur un point commun, le plus souvent, autant la religion et les us qui s’y rapportent savent comment diviser le monde. Toujours aussi riche en informations, ce 7e tome de Reine d’Egypte permet d’en apprendre plus, que ce soit sur le passage à l’âge adulte d’un Pharaon, sur les monuments montrant la force de l’Egypte et les techniques qui s’y réfèrent, ou sur les liens forts se tissant et faisant dépasser des liens de sang envers ceux que l’on considère comme sa famille.

L’héritage postérieur des pharaons était d’une importance essentielle : c’était le souvenir indélébile qu’il laisserait dans l’histoire ou non. On se rappellerait de certains comme des puissants souverains ayant permis à l’Egypte de grandir et de déployer ses ailes, tandis que d’autres verraient leur nom effacer de partout, car la mémoire laissé ne serait qu’à peine plus marquante qu’un toucher invisible.

C’est ce que se démène à faire Chepsout, par son sexe et son genre, par son statut et idéaux, elle tend à marquer l’Egypte de façon à ce qu’on ne l’oublie jamais, à ce qu’on se souvienne d’elle comme d’un pharaon ayant toujours été aussi bienveillant qu’une mère pour son peuple et impitoyable, quand nécessaire, qu’une lionne défendant ses petits (,le règne animal montre assez souvent que c’est la mère la plus hargneuse).

Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/23/reine-degypte-tome-7/

Personnellement, je ressens çe tome plus comme une transition pour préparer le terrain des tomes suivants.

Après ce n'est aucunement une critique, et j'ai trouvé très intéressant ce côté diptyque avec d'un côté la reine et de l'autre son fils. En plus, on voit vraiment qu'ils ne se haïssent pas et d'ailleurs j'ai été surprise de voir les différentes réactions de Thoutmosis III, c'est vraiment quelqu'un d'intelligent et pas brutal comme je l'imaginais au début. Donc je pense que tout cela va donner des choses tout à fait intéressantes dans les prochains tomes.

Les choses vont commencer à s'envenimer. Espérons juste que ça ne va pas se terminer en guerre ouverte entre Chepsout, Djehouty et Senmout. La reine pourrait bien tomber de son pied d'estale.

Je trouve fascinant ce manga, c'est rare d'en voir sur l'histoire et encore plus sur cette période. Grâce à ça, j'ai découvert la pharaon Hatchepsout et son destin hors du commun. Celle qui voulait être l'égale des hommes, montre à travers cette histoire qu'elle les a dépassé et même surpassé. On découvre aussi l'histoire de l'égypte avec ses divinités, ses rituelles, ses croyances sans être ennuyant, bien au contraire. Dans ce manga, on a énormément de sous-entendu ou de démonstration du rôle de la femme et du peu de pouvoir. Et comment, elle devait faire pour monter les échelons de la société à comparer des hommes.

Les couvertures sont souvents dans les tonts froid, un peu bleu avec à chaque fois cette reine d'Égypte qui représente son évolution au fils du temps. Quand au dessin, ils sont vachement bien travaillés, et à certain passage, on voit les moindre détailles d'un décors ou d'une tenus. Les personnages sont trés réaliste dans leur expression, leur maquillages...

http://lecholitteraire.e-monsite.com/blog/manga-bd-et-comics/reine-d-egypte.html

Je me sens seule d'avoir aimé ce tome comme les précédents? En tout cas nous sentons que Hatchepsout arrive au pique de sa gloire en tant que monarque, comme prouve les différentes constructions monumentales à la mémoire de cette dernière.

La présence de Djehouty et Neferoure m'ont beaucoup plu, et commencent à entrer dans la sphère politique. Cela devient plus intéressant. Dans ce tome, nous commençons à s'apercevoir que le manga est une fresque familiale de la famille royale (logique, après tout il faut avancer l'Histoire).

Vivement de connaître la suite pour l'évolution des deux enfants, espoirs de l'Egypte.

J'ai trouvé les graphismes un peu en dessous des précédents tomes. Le tome donne l'impression d'un saut dans le temps avec une multiplication des théâtres d'action. L'aspect de césure est omniprésent, les deux derniers tomes vont devoir résoudre bien des conflits et rivalités.

Bon, j'ai pas mal décroché de la série depuis quelques tomes, surtout parce que 'l'évolution du personnage principal ne me va pas. Je dois admettre que ça était pareil pour ce tome mais plusieurs choses me permettent d'être optimiste pour la suite de la série.

L'auteur se consacre à deux personnages secondaires jusque là, qui sont les enfants et du coup, ça apporte de la profondeur au récit et ça remet en question ce que Hatchepsout pensait avoir accompli.

A voir dans la suite de la série donc !

Le royaume d’Égypte est désormais divisé en deux :

d'un côté l reine-phron Htchepsout, et sa volonté de poursuivre une politique axée sur le commerce et l’art d'un autre côté : son fils thoumosis III et s volonté de renouer avec le passé guerrier de son père et de son grand-père.

Une nouvelle lutte d'influence arrive dans ce tome, déjà initiée dans le livre précédent, la reine est divisée et devra faire preuve de courge pour arriver à ses fins.