Commentaires

Je n'ai malheureusement pas vraiment accroché au livre bien que tous les ingrédients d'un bon SK soient présents: Deuil, écrivain, amourette, fantômes, violence... J'ai trouvé beaucoup de longueurs et le nihilisme du tout m'a franchement rebuté, exactement comme l'a fait ''Simetierre''.

Je crois que je n'ai pas lu plus de 100 pages de ce livre. Je ne pense pas que se soit un mauvais livre, je l'avais pris pour changer de type de lecture mais je ne suis pas vraiment faite pour le genre de Stephen King ou je n'ai tout simplement pas eu le courage de lire jusqu’à ce que le livre démarre vraiment. Je n'ai juste pas accroché.

Je n'ai pas finit ce livre qui me semblait ne pas être à la hauteur du grand auteur Stephen King. Beaucoup trop long et trop lent à mon gout.

ce n'est pas le roman de SK que j'ai préféré, même si je l'ai globalement apprécié. je ne lui mettrai qu'une médaille d'argent

Long a se mettre en place, tout d'un coup on s'aperçoie que ca fuse, que les evenements s'enchainent vite.

Le pavé devient un petit livre trop vite fini

Mickaël Noonan est un romancier à succès. Il partage son temps entre Derry et leur maison du bord du lac, Sara Laughs, dans le TR- 90. Mais sa femme meurt soudainement. Dès lors l’écrivain ne peut plus écrire une ligne. Il arrive, pendant 4 ans, a publié des romans car il en avait, si je puis dire, économiser en les écrivant à l’avance. Puis, suite à des rêves et cauchemars, il décide de retourner dans leur maison d’été. Peut-être pourra-t-il réécrire ? Là dans le TR 90, il rencontre une jeune mère, Mattie, élevant seule sa petite fille de 3 ans Kyra depuis le décès de son mari. Il va s’attacher à elles et leur venir en aide.

J’avais déjà lu ce roman, il y a plus de 16 ans et je n’en avais aucun souvenir. Et pour cause, malgré le temps passé, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire. Quand je préfère regarder la télévision plutôt que lire c’est mauvais signe. King installe trop doucement son récit. Pourquoi autant de pages sur le romancier en manque d’inspiration appréhendant la page blanche ? Le lecteur découvre facilement qu’il va rejoindre sa maison d’été à cause des rêves mais King prend son temps pour que son personnage y aille. Ensuite, je ne me suis pas attachée aux personnages à part celui de la petite fille. Le final, par contre, est très bien ce qui a fait remonter la note. Là je ne souhaitais plus lâcher le livre afin de savoir et comprendre.

En conclusion, une lecture mitigée qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.

J'ai accroché au début mais pas a la fin.

Soyez avertis, Sac d'os est un ouvrage long et au rythme très, très, très lent. Il faut plus de deux cent septante pages pour que l'intrigue se lance réellement, et encore une centaine de plus pour que le rythme accélère enfin. Ce sens du détail que j'apprécie en général tant chez King m'a ici fait l'effet d'une chape de plomb. La première moitié du récit donne l'impression de n'être qu'une immense digression. Cela me chagrine de le dire, mais durant cette première moitié, King m'a donné l'impression de se parodier lui-même.

Mais si le lecteur parvient à s'accrocher et à tenir le coup, il est récompensé à la mesure de son effort. Une fois le récit réellement lancé, on ne l'arrête plus. Les pièces du puzzle angoissant de King s’agencent les unes aux autres au fil du pages, et finissent par s'emboîter avec un style reconnaissable entre mille. La conclusion du roman est aussi inattendue et surprenante qu'elle est maîtrisée ; tout comme le chemin qui y mène, bien que jonché d'innombrables fioritures.

Stephen King est connu pour la crudité des mots qu'il choisit d'employer. Un trait particulièrement frappant dans ce roman-ci, et dont il use ici afin de provoquer chez le lecteur une réaction d'antipathie immédiate envers certains protagonistes. Comprenez par là que l'auteur rend volontairement les "méchants" vulgaires, tandis les "gentils" demeurent presque irréprochables dans leurs paroles. Une façon de manipuler le lecteur et de le ranger à son point de vue que j'ai trouvé grossière, offensante et réductrice.

Dans Sac d'os, on trouve donc du très bon, comme du très moyen. Mais dans l'ensemble, malgré des longueurs interminables, le récit proposé par King est cohérent et abouti.

Chronique complète : https://la-choupaille-lit.blogspot.be/2018/03/sac-dos-de-stephen-king.html

J’irai pas jusqu’à dire que je n’ai Pas aimé. Cependant j’ai été un peu déçue, le résumé m’avait tant emballé’. Je trouve que King fait souvent du « blabla » pour « rien ». J’ai du mal... c’est assez long pour que les choses bougent et qu’on comprenne vraiment bien les choses.

J’ai surtout eu du mal dans les derniers chapitres.. mais sinon je dirai aux gens de faire leur propre avis et de le lire.

Je serais plus tentée de regarder du King que de le lire