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-Croyez-moi , j'ai voulu changer . J'ai beau essayer, j'ai autant de charisme qu’une moule qui attend la marée sur son rocher.

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-combattre? Vous m’avez bien regardée? Je suis aussi molle qu’une guimauve et aussi vive qu’un escargot!

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- T’inquiètes pas ! On s’occupera d’elle après en avoir fini avec toi, lança le deuxième complice, un homme brun, pas très grand, mais incroyablement musclé.

Comprenant que ces fous furieux allaient de nouveau se sauter à la gorge, je voulus m’enfuir pour ne pas être une deuxième fois un dommage collatéral. Mais j’avais surestimé mes forces : à peine deux pas effectués, je commençais à avoir le tournis. Je ne pouvais pas me permettre de rester là, d’autant que dans mon dos, la bagarre avait repris de plus belle, donc je m’évertuais à avancer pour quitter cet endroit maudit et appeler à l’aide. Dire que je n’avais jamais pris le temps d’aller m’acheter un téléphone portable ! J’aurais pu appeler la police ! Je voulus me retourner pour vérifier que j’avais mis de la distance avec mes agresseurs, c’est alors que j’écarquillai les yeux d’horreur.

La tête du grand brun costaud venait d’être arrachée de son corps par le type à la voix de velours, dans une espèce de bruit horrible de craquement d’os. La seconde suivante, le cadavre se transforma en une fine poussière qui s’envola au gré du vent. Estomaquée, je voulus courir de nouveau…

Mais je sentis le temps d’une respiration, qu’on m’attrapait par le bras, celui qui par miracle, tenait encore mon sac à main.

Je n’eus rien le temps de voir venir, je fus soulevée de terre puis projetée droit sur Voix de Velours. J’étais devenue un boulet de canon humain moi aussi, et l’impact nous fit rouler tous deux à terre.

Alors que je m’enfonçais dans le néant, j’entendis quelque chose qui m’assura que ma vie insipide était belle et bien terminée et que j’allais retrouver mes parents.

- Surveille tes arrières Phoenix. En attendant, n’oublies pas, pas de témoin !

2

Je suis morte.

C’est ça le Paradis ? Ou alors je suis en Enfer… il n’y a que du noir autour de moi. C’est ça, je suis morte. Alors pourquoi j’ai l’impression d’être dans un lit ? Sont-ce les tortures infligées aux pécheurs dans le Monde Souterrain ?

Franchement, avant de se réveiller parfois, on a vraiment de drôles d’idées ! J’étais juste inconsciente mais il me fallut un certain temps avant de le comprendre. Mais enfin la lumière se fit.

Je sentais des draps, un oreiller, un matelas moelleux. Les yeux toujours fermés, je me sentis sourire béatement car tout ça n’était qu’un simple cauchemar. Enfin, un horrible cauchemar mais qui venait de se terminer. Il fallait vraiment que j’arrête de m’endormir en regardant des séries de science-fiction. N’importe quoi ! Comme si un surhomme capable d’envoyer dans les airs deux grands costauds aux yeux luminescents, ça existait !

Rassurée, je me blottis davantage contre mon oreiller. Toutefois, je fus surprise des courbatures que je ressentis partout dans mon corps à ce simple mouvement. Bon sang ! J’avais dû vraiment me crisper pendant la nuit ! Sûrement quand Voix de Velours avait lancé ses menaces. J’espérais ne plus jamais l’entendre…

- Eh bien, notre Belle-au-Bois-Dormant décide enfin de se réveiller, je commençais à m’impatienter !

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- Joyeux Nöel Samantha.

Son murmure fut comme une caresse.

Pourtant, rien ne m'aurait pu être comparé à la sensation que j'éprouvai au contact de ses lèvres sur les miennes. Le corps d'un vampire est froid puisqu'il se relève d'entre les morts, cependant, chaque fois que j'avais touché la peau de Phoenix, je n'avais jamais ressenti que la douceur de la soie. Je ne m'étais jamais demandée si ses lèvres avaient ce même pouvoir mais force m'était de constater qu'elles surpassaient de loin en toucher le peu de que j'avais connu auparavant. C'était comme un avant-goût du paradis.

Perdue et prête à tomber dans une gouffre de béatitude absolue, je flottais littéralement hors de la réalité et du coups du temps. Tout mon être n'était plus qu'un brasier incandescent et incontrôlable, soumis au bon vouloir de celui dont les lèvres posées sur les miennes en un premier vrai, et pur baiser, me brûlaient de leur magnifique volupté.

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Alors là, imaginer Daniel Craig en James Bond vampire sexy, c’était tout à fait faisable, mais à cette image, vint se superposer celle d’Elisabeth II d’Angleterre, crinière grise au vent et tous crocs dehors ! Brrrrrr ! « God save the Queen ».

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- Angela, Matthew, salut, je vous présente…

Je n’eus pas le temps de terminer que Karl attrapa la main d’Angela, la baisa et se présenta en hypnotisant mon amie de son regard de Dom Juan.

- Karl Sarlsberg, pour vous servir ! Je suis un lointain cousin de Samantha.

- D’une branche d’attardés…

Je n’avais pas pu m’empêcher de siffler cela entre mes dents, pensant que personne ne m’entendrait. Résultat, Karl profita que j’étais juste à côté de lui pour m’envoyer un coup de pied dans les tibias à la vitesse de l’éclair.

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- Impressionnant, murmurai-je.

- Merci, mais c’est mon travail. Je dois être impitoyable pour être crédible.

Il haussa les épaules.

- Si seulement ils savaient…

- Savoir quoi ?

- Qu’en fait vous êtes quelqu’un de bien, conclus-je en finissant ma flûte de champagne.

Il secoua la tête.

- Ne me voyez pas ainsi. Ce serait une erreur. Je suis un vampire, donc du côté du Mal, vous vous en souvenez ?

- Tout ça, ce sont des balivernes. Vous venez de sauver la vie de cette fille je vous rappelle. Alors ce discours sur les vampires qui sont une engeance du Mal, vous pouvez vous le garder. Je ne prétends pas vous connaître, mais si je sais une chose, c’est que vous êtes quelqu’un de bien. Peu importe ce que vous direz pour me convaincre du contraire.

Il prit un air sévère et exaspéré.

- Vous… commença-t-il, mais je plaquai ma main sur sa bouche.

- Taisez-vous. Ce sujet est clos. Et à moins que vous n’ayez envie de vous éterniser ici, vu qu’il n’y a pas l’ombre d’un vampire chinois dans le coin, je vous propose d’aller ailleurs

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Quand Phoenix me rejoignit dans la cuisine, je ne pus m’empêcher de regarder s’il tenait une enveloppe à la main. Ce n’était pas le cas. Comment lui en parler ?

- Vous vous rendez compte que nous sommes déjà fin mars ? Ça fait trois mois que nous nous connaissons ! m’exclamai-je tout sourire.

Phoenix leva les yeux de son journal.

- Bien, que voulez-vous ?

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- J’ai failli attendre… si je ne vous connaissais pas, je dirais que vous ne l’avez pas fait exprès, me dit-il de dos.

Je voyais qu’il commençait à bien cerner mon personnage et lui servis un grand sourire innocent.

- Vous ne m’avez pas dit de me dépêcher.

- Mettez-vous en place, soupira-t-il.

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- Vous ne serez pas déçu ! Je vous le garantis ! mentis-je.

- J’espère bien.

- Et je serai payée combien ?

- Oh mon Dieu ! dit-il en se retournant.

Lorsqu’il sortit de la pièce, je ne pus m’empêcher de rire, ravie de lui taper sur les nerfs, en oubliant que les vampires avaient des supers pouvoirs, comme l’ouïe très fine. Evidemment, je fus rappelée à l’ordre par une voix lointaine.

- Ne vous réjouissez pas trop vite, je vous attends en bas dans quinze minutes !

S’il restait une trace de sourire sur mon visage, elle s’évanouit aussitôt.

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