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La liste des tomes


Le 11 décembre 1966, un meurtre est commis dans la banlieue de Los Angeles. La victime est un jeune homme tranquille, sans ennemi connu. Il a été tué de cinq balles à bout portant et sa maison incendiée. Pas de suspect, pas d'arme du crime, pas d'indice, pas de témoin juste une police d'assurance sur la vie souscrite au nom de sa femme. Seize mois plus tard une jeune femme est trouvée assassinée dans le parking d'une résidence de luxe. Là encore aucun indice. Mais une police d'assurance sur la vie souscrite au nom de son mari. Les enquêteurs découvrent quelques éléments : notes dans un agenda, écoutes téléphoniques, transactions bancaires prouvant la collusion de la femme de l'un avec le mari de l'autre. Ce sera le départ d'une enquête et d'un procès qui engendreront tant de tensions et de rebondissements que la réalité, comme d'habitude, dépasse la fiction.
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Le 11 décembre 1966, un meurtre est commis dans la banlieue de Los Angeles. La victime est un jeune homme tranquille, sans ennemi connu. Il a été tué de cinq balles à bout portant et sa maison incendiée. Pas de suspect, pas d'arme du crime, pas d'indice, pas de témoin juste une police d'assurance sur la vie souscrite au nom de sa femme. Seize mois plus tard une jeune femme est trouvée assassinée dans le parking d'une résidence de luxe. Là encore aucun indice. Mais une police d'assurance sur la vie souscrite au nom de son mari. Les enquêteurs découvrent quelques éléments : notes dans un agenda, écoutes téléphoniques, transactions bancaires prouvant la collusion de la femme de l'un avec le mari de l'autre. Ce sera le départ d'une enquête et d'un procès qui engendreront tant de tensions et de rebondissements que la réalité, comme d'habitude, dépasse la fiction.
Little Washington, Caroline du Nord. Par une nuit torride de l'été 1988, Lieth Von Stein et son épouse Bonnie sont sauvagement attaqués pendant leur sommeil, à coups de couteau et de batte de base-ball. Seule Bonnie survivra à ses blessures. Or c'est elle que l'on va tout d'abord soupçonner ! Son mari venait d'hériter de deux millions de dollars et, selon la rumeur, le couple ne s'entendait pas. Mais bientôt, la police, intriguée par l'incohérence des témoignages de Chris Pritchard, le fils de Bonnie, s'oriente vers une tout autre direction : a-t-il voulu tuer sont beau-père et sa propre mère pour s'approprier l'héritage ? A-t-il été influencé par deux de ses camarades, passionnés comme lui par le jeu de rôle Donjons et Dragons ? Les trois jeunes gens sont inculpés. Mais, à l'issue du procès, un doute demeure : qui était le véritable instigateur de ce massacre ?
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Little Washington, Caroline du Nord. Par une nuit torride de l'été 1988, Lieth Von Stein et son épouse Bonnie sont sauvagement attaqués pendant leur sommeil, à coups de couteau et de batte de base-ball. Seule Bonnie survivra à ses blessures. Or c'est elle que l'on va tout d'abord soupçonner ! Son mari venait d'hériter de deux millions de dollars et, selon la rumeur, le couple ne s'entendait pas. Mais bientôt, la police, intriguée par l'incohérence des témoignages de Chris Pritchard, le fils de Bonnie, s'oriente vers une tout autre direction : a-t-il voulu tuer sont beau-père et sa propre mère pour s'approprier l'héritage ? A-t-il été influencé par deux de ses camarades, passionnés comme lui par le jeu de rôle Donjons et Dragons ? Les trois jeunes gens sont inculpés. Mais, à l'issue du procès, un doute demeure : qui était le véritable instigateur de ce massacre ?
Serge de Lenz, né en 1894, a tout du héros de Maurice Leblanc. Comme Arsène Lupin, d'ailleurs, il commence ses exploits avant la guerre de 14. Entre deux cambriolages dans les beaux quartiers, il s'affiche à Monmartre, et il mène grand train. Sa vie mouvementée fait le bonheur de la presse d'entre-deux-guerres.
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Serge de Lenz, né en 1894, a tout du héros de Maurice Leblanc. Comme Arsène Lupin, d'ailleurs, il commence ses exploits avant la guerre de 14. Entre deux cambriolages dans les beaux quartiers, il s'affiche à Monmartre, et il mène grand train. Sa vie mouvementée fait le bonheur de la presse d'entre-deux-guerres.
L’Étrangleur de Boston retrace l’histoire des meurtres commis par Albert DeSalvo à Boston. D’emblée, on pense à de nombreux films classiques mettant en scène des personnages de tueurs compulsifs, comme La Cinquième Victime (While the City Sleeps, 1956) par exemple, qui montre le phénomène de propagation de la terreur collective. Entre raconter les meurtres du point de vue du serial killer ou de l’enquêteur, Fleischer ne choisit pas. Il fait les deux. En son exact milieu, le film change de voie, et reprend la même histoire vue différemment. La question de la multiplication des points de vue transparaît dans l’utilisation du split-screen, notamment lors de scènes au montage rapide et très virtuose, dans lesquelles le procédé est exacerbé au point de faire apparaître jusqu’à dix images en même temps. L’éclatement des images montre alors simultanément plusieurs policiers anonymes prêts à mettre sous les verrous tout délinquant sexuel en puissance. Le montage des plans au sein même du cadre exprime très clairement l’idée que la montée de la paranoïa induit toujours naturellement la même logique d’une débauche de prévention et une fièvre de répression. Face à cette répétition quasi-mécanique des meurtres, chacun devient suspect. Les victimes restent anonymes, les meurtres totalement dédramatisés, le suspense inexistant, car ce n’est pas cela qui intéresse le cinéaste, mais plutôt les répercussions sur la société de cette violence, et des peurs qu’elle engendre. L’enquête menée par les policiers les conduit à explorer les milieux cachés de la société, les quartiers noirs, les cabarets homosexuels, les bars de prostituées. En pénétrant dans tous ces immeubles, chez toutes ces victimes, chez tous ces suspects, c’est comme si le cinéaste utilisait cette affaire policière comme prétexte à effectuer de son côté une enquête sur la diversité des questions sociales émergentes dans la société américaine de ces années là, sur le surgissement du refoulé social.
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L’Étrangleur de Boston retrace l’histoire des meurtres commis par Albert DeSalvo à Boston. D’emblée, on pense à de nombreux films classiques mettant en scène des personnages de tueurs compulsifs, comme La Cinquième Victime (While the City Sleeps, 1956) par exemple, qui montre le phénomène de propagation de la terreur collective. Entre raconter les meurtres du point de vue du serial killer ou de l’enquêteur, Fleischer ne choisit pas. Il fait les deux. En son exact milieu, le film change de voie, et reprend la même histoire vue différemment. La question de la multiplication des points de vue transparaît dans l’utilisation du split-screen, notamment lors de scènes au montage rapide et très virtuose, dans lesquelles le procédé est exacerbé au point de faire apparaître jusqu’à dix images en même temps. L’éclatement des images montre alors simultanément plusieurs policiers anonymes prêts à mettre sous les verrous tout délinquant sexuel en puissance. Le montage des plans au sein même du cadre exprime très clairement l’idée que la montée de la paranoïa induit toujours naturellement la même logique d’une débauche de prévention et une fièvre de répression. Face à cette répétition quasi-mécanique des meurtres, chacun devient suspect. Les victimes restent anonymes, les meurtres totalement dédramatisés, le suspense inexistant, car ce n’est pas cela qui intéresse le cinéaste, mais plutôt les répercussions sur la société de cette violence, et des peurs qu’elle engendre. L’enquête menée par les policiers les conduit à explorer les milieux cachés de la société, les quartiers noirs, les cabarets homosexuels, les bars de prostituées. En pénétrant dans tous ces immeubles, chez toutes ces victimes, chez tous ces suspects, c’est comme si le cinéaste utilisait cette affaire policière comme prétexte à effectuer de son côté une enquête sur la diversité des questions sociales émergentes dans la société américaine de ces années là, sur le surgissement du refoulé social.
24 mai 1983, Aix-en-Provence, Luc Tangorre est condamné à quinze ans de réclusion pour viols, sur la foi de témoignages controversés. Bénéficiant d'une grâce présidentielle, il n'en fera que cinq. 23 mai 1988, à Nîmes, deux Américaines portent plainte pour viols dans une voiture. Malgré leur forte commotion, elles parviennent à relever de nombreux détails sur l'agresseur et son véhicule. Luc Tangorre est arrêté. Récidiviste, il sera condamné à dix-huit ans de réclusion sans que le doute ait été levé. La cour d'assise n'éclaircira pas les ombres du dossier.
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24 mai 1983, Aix-en-Provence, Luc Tangorre est condamné à quinze ans de réclusion pour viols, sur la foi de témoignages controversés. Bénéficiant d'une grâce présidentielle, il n'en fera que cinq. 23 mai 1988, à Nîmes, deux Américaines portent plainte pour viols dans une voiture. Malgré leur forte commotion, elles parviennent à relever de nombreux détails sur l'agresseur et son véhicule. Luc Tangorre est arrêté. Récidiviste, il sera condamné à dix-huit ans de réclusion sans que le doute ait été levé. La cour d'assise n'éclaircira pas les ombres du dossier.
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Alpin Manor, Grand Rapids, Michigan. Un établissement hospitalier de première classe pour personnes âgées. Un endroit idéal pour finir ses jours. En 1988, on y meurt beaucoup, cinq vieilles dames sont étouffées dans leur lit. Après plusieurs semaines d'enquête, la police arrête Catherine May Wood et Gwendolyn Gall Graham, toutes deux aides-soignantes. Ont-elles voulu abréger les souffrances des résidentes, ou ont-elles tué par plaisir ? Laquelle a entraîné l'autre dans ce pacte diabolique.
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Alpin Manor, Grand Rapids, Michigan. Un établissement hospitalier de première classe pour personnes âgées. Un endroit idéal pour finir ses jours. En 1988, on y meurt beaucoup, cinq vieilles dames sont étouffées dans leur lit. Après plusieurs semaines d'enquête, la police arrête Catherine May Wood et Gwendolyn Gall Graham, toutes deux aides-soignantes. Ont-elles voulu abréger les souffrances des résidentes, ou ont-elles tué par plaisir ? Laquelle a entraîné l'autre dans ce pacte diabolique.
Le 24 juillet 1991, la police de Milwaukee (Wisconsin) pénètre dans l'appartement d'un jeune homosexuel. Ce qu'elle découvre dépasse toute mesure. L'odeur est abominable. Partout, en effet, sont entreposés les restes des cadavres en décomposition. Dahmer choisissait ses victimes dans les bars gays de la ville. Il les ramenait chez lui où elles étaient droguées avant d'être étranglées, puis violées et démembrées. A chaque étape de son entreprise, il les photographiait. De 1978 à 1991, comment Dahmer a-t-il pu échapper à toute surveillance ? Dans cette affaire très largement médiatisée, les communautés noire et homosexuelle accuseront les autorités de ne se préoccuper que de la sécurité des "autres". Car le procès de Dahmer est aussi celui de tout un système.
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Le 24 juillet 1991, la police de Milwaukee (Wisconsin) pénètre dans l'appartement d'un jeune homosexuel. Ce qu'elle découvre dépasse toute mesure. L'odeur est abominable. Partout, en effet, sont entreposés les restes des cadavres en décomposition. Dahmer choisissait ses victimes dans les bars gays de la ville. Il les ramenait chez lui où elles étaient droguées avant d'être étranglées, puis violées et démembrées. A chaque étape de son entreprise, il les photographiait. De 1978 à 1991, comment Dahmer a-t-il pu échapper à toute surveillance ? Dans cette affaire très largement médiatisée, les communautés noire et homosexuelle accuseront les autorités de ne se préoccuper que de la sécurité des "autres". Car le procès de Dahmer est aussi celui de tout un système.
A Nice, le 18 juillet 1976, "sans haine, sans violence et sans arme", Albert Spaggiari réalise une opération sans précédent, montée façon commando : pénétrer dans la salle des coffres de la Société Générale, en passant par les égouts. Sa tête est mise à prix, il est arrêté, mais il parvient à s'évader du palais de justice, pour ne plus jamais être rattrapé. Un casse spectaculaire, une cavale réussie, l'histoire d'un voleur plus politique que truand, dont les révélations, s'il avait pu parler, auraient peut-être été fort gênantes.
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A Nice, le 18 juillet 1976, "sans haine, sans violence et sans arme", Albert Spaggiari réalise une opération sans précédent, montée façon commando : pénétrer dans la salle des coffres de la Société Générale, en passant par les égouts. Sa tête est mise à prix, il est arrêté, mais il parvient à s'évader du palais de justice, pour ne plus jamais être rattrapé. Un casse spectaculaire, une cavale réussie, l'histoire d'un voleur plus politique que truand, dont les révélations, s'il avait pu parler, auraient peut-être été fort gênantes.
Henri Lafont ne s'intéresse pas à la politique. Pourtant, il veut le pouvoir, l'argent, les plus belles femmes : toutes choses que les Allemands lui offrent sans compter. Et il trahit. La Gestapo française de la rue Lauriston-la Carlingue, c'est lui. Associé à l'ex-inspecteur de police Bonny, il recrute des centaines de truands et règne sans partage sur la capitale, pillant, rançonnant, traquant les maquisards et les agents de la France libre. A sa table dîne le Tout-Paris. Dans son lit défilent les belles aristocrates, les vedettes de cinéma et les aventurières. Un livre qui n'a pas peur des noms et qui prouve que tout le monde ne mangeait pas des rutabagas pendant les années noires.
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Henri Lafont ne s'intéresse pas à la politique. Pourtant, il veut le pouvoir, l'argent, les plus belles femmes : toutes choses que les Allemands lui offrent sans compter. Et il trahit. La Gestapo française de la rue Lauriston-la Carlingue, c'est lui. Associé à l'ex-inspecteur de police Bonny, il recrute des centaines de truands et règne sans partage sur la capitale, pillant, rançonnant, traquant les maquisards et les agents de la France libre. A sa table dîne le Tout-Paris. Dans son lit défilent les belles aristocrates, les vedettes de cinéma et les aventurières. Un livre qui n'a pas peur des noms et qui prouve que tout le monde ne mangeait pas des rutabagas pendant les années noires.
Le Coz, inconnu dans la région de Loches, mais séduisant, l'homme ne tarde pas à se constituer en chef. Afin de participer à la lutte contre l'ennemi, des jeunes gens nombreux choisissent de le rejoindre, et son maquis est bientôt reconnu par Londres. Certes les combattants placés sous ses ordres réalisent des coups d'éclat contre les nazis. Mais on murmure aussi que le Coz serait responsable de l'arrestation des 64 Français déportés à Ravensbrück. Dès juillet 1944, les informations les plus contradictoires commencent à circuler sur le maquis le Coz. Pourtant il faudra attendre la Libération et son procès devant les assises d'Angers pour découvrir la véritable identité du faux capitaine qui l'avait entraîné en enfer.
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Le Coz, inconnu dans la région de Loches, mais séduisant, l'homme ne tarde pas à se constituer en chef. Afin de participer à la lutte contre l'ennemi, des jeunes gens nombreux choisissent de le rejoindre, et son maquis est bientôt reconnu par Londres. Certes les combattants placés sous ses ordres réalisent des coups d'éclat contre les nazis. Mais on murmure aussi que le Coz serait responsable de l'arrestation des 64 Français déportés à Ravensbrück. Dès juillet 1944, les informations les plus contradictoires commencent à circuler sur le maquis le Coz. Pourtant il faudra attendre la Libération et son procès devant les assises d'Angers pour découvrir la véritable identité du faux capitaine qui l'avait entraîné en enfer.
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Faux marquis mais véritable assassin, il est condamné a la guillotine. Sa vie par le commissaire le taillanter. Pendant l'Occupation, Bernardy de Sigoyer fait outrageusement fortune en commerçant avec les Allemands. Quand sa femme disparaît, ni la police française ni la Gestapo ne parviennent à le confondre. Mais en 1945, il est écroué pour collaboration avec l'ennemi. C'est alors que rebondit l'enquête sur l'assassinat de son épouse. Avec l'affaire de la Villa rouge en 1937, puis celle du Fauteuil rouge en 1944, la vie du marquis semble étrangement marquée au sceau de la couleur du sang. Ou du diable. Source : Fleuve Noir
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Faux marquis mais véritable assassin, il est condamné a la guillotine. Sa vie par le commissaire le taillanter. Pendant l'Occupation, Bernardy de Sigoyer fait outrageusement fortune en commerçant avec les Allemands. Quand sa femme disparaît, ni la police française ni la Gestapo ne parviennent à le confondre. Mais en 1945, il est écroué pour collaboration avec l'ennemi. C'est alors que rebondit l'enquête sur l'assassinat de son épouse. Avec l'affaire de la Villa rouge en 1937, puis celle du Fauteuil rouge en 1944, la vie du marquis semble étrangement marquée au sceau de la couleur du sang. Ou du diable. Source : Fleuve Noir
Waco, Texas. Depuis le 28 février 1993, 96 personnes s'étaient retranchées dans leur ferme-forteresse du Mount Carmel autour de leur leader, David Koresh. Le 19 avril, après 7 semaines de siège et de négociations infructueuses, le FBI lance une offensive qui s'avère désastreuse: 86 adeptes dont 17 enfants périssent dans les flammes d'un gigantesque incendie. Dès lors, les questions affluent. Pourquoi avoir donné l'assaut de cette manière ? Pour prévenir quels risques avoir choisi d'interrompre le siège ? Le FBI était-il habilité à traiter uneaffaire de secte ? L'échec de l'opération policière, en tout cas, témoigne d'une regrettable erreur de stratégie, et apparaît comme le premier drame de la présidence Clinton.
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Waco, Texas. Depuis le 28 février 1993, 96 personnes s'étaient retranchées dans leur ferme-forteresse du Mount Carmel autour de leur leader, David Koresh. Le 19 avril, après 7 semaines de siège et de négociations infructueuses, le FBI lance une offensive qui s'avère désastreuse: 86 adeptes dont 17 enfants périssent dans les flammes d'un gigantesque incendie. Dès lors, les questions affluent. Pourquoi avoir donné l'assaut de cette manière ? Pour prévenir quels risques avoir choisi d'interrompre le siège ? Le FBI était-il habilité à traiter uneaffaire de secte ? L'échec de l'opération policière, en tout cas, témoigne d'une regrettable erreur de stratégie, et apparaît comme le premier drame de la présidence Clinton.
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Seattle, début 1981. Un viol vient d'être commis. Le coupable s'enfuit à bord d'une voiture bleue. Steve Titus, un homme jovial qui prend toujours la vie en plaisantant, en possède une semblable. Il pense à une mauvaise plaisanterie quand la police vient l'arrêter. Il a tort. Titus, enfermé, clame son innocence face à une police manipulatrice. Paul Henderson, journaliste, qui le croit non coupable, tente de le sauver des griffes de la justice. Pendant ce temps-là, le véritable violeur, Edward Lee King, fait d'innombrables victimes...
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Seattle, début 1981. Un viol vient d'être commis. Le coupable s'enfuit à bord d'une voiture bleue. Steve Titus, un homme jovial qui prend toujours la vie en plaisantant, en possède une semblable. Il pense à une mauvaise plaisanterie quand la police vient l'arrêter. Il a tort. Titus, enfermé, clame son innocence face à une police manipulatrice. Paul Henderson, journaliste, qui le croit non coupable, tente de le sauver des griffes de la justice. Pendant ce temps-là, le véritable violeur, Edward Lee King, fait d'innombrables victimes...
BOULEVERSANT. INCROYABLE. CHOQUANT. IL DEPEÇAIT SES VICTIMES COMME DES BËTES ET IL DETERRAIT DES CADAVRES. Meurtrier, pilleur de tombes, nécrophile et anthropophage, Edward Gein attirait la sympathie de ses voisins, qui plaignaient plutôt le vieux garçon resté seul après la mort de sa mère. Dans la maison de l'horreur, on retrouverait les restes de quinze corps différents : des organes féminins dont il s'affublait dans son monstrueux désir de transformation sexuelle. On ose à peine imaginer le dégout et l'effroi rétrospectifs de ceux à qui il apportait des pièces de "gibier"...
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BOULEVERSANT. INCROYABLE. CHOQUANT. IL DEPEÇAIT SES VICTIMES COMME DES BËTES ET IL DETERRAIT DES CADAVRES. Meurtrier, pilleur de tombes, nécrophile et anthropophage, Edward Gein attirait la sympathie de ses voisins, qui plaignaient plutôt le vieux garçon resté seul après la mort de sa mère. Dans la maison de l'horreur, on retrouverait les restes de quinze corps différents : des organes féminins dont il s'affublait dans son monstrueux désir de transformation sexuelle. On ose à peine imaginer le dégout et l'effroi rétrospectifs de ceux à qui il apportait des pièces de "gibier"...
Sous prétexte de mariage, il entraîne les veuves dans sa villa de Gambais. Landru! D'une affaire crapuleuse, les évènements feront une affaire d'Etat. Parce que Landru, exécuté en février 1922, a toujours clamé son innocence, une partie de l'opinion continue de croire à l'erreur judiciaire. Landru a-t-il servi d'alibi ou de dérivatif aux difficultés politiques du moment? Séduit par la faconde du petit homme à la barbe pointue, Christian Gonzalez reprend l'histoire de ces pauvres femmes envolées en fumée. C'est l'occasion, pour le journaliste qu'il est, de lancer un réquisitoire contre l'arbitraire.
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Sous prétexte de mariage, il entraîne les veuves dans sa villa de Gambais. Landru! D'une affaire crapuleuse, les évènements feront une affaire d'Etat. Parce que Landru, exécuté en février 1922, a toujours clamé son innocence, une partie de l'opinion continue de croire à l'erreur judiciaire. Landru a-t-il servi d'alibi ou de dérivatif aux difficultés politiques du moment? Séduit par la faconde du petit homme à la barbe pointue, Christian Gonzalez reprend l'histoire de ces pauvres femmes envolées en fumée. C'est l'occasion, pour le journaliste qu'il est, de lancer un réquisitoire contre l'arbitraire.
Quel drôle de type Arthur Shawcross ! Bizarre, excentrique, parfois tendre, attentionné et ce, depuis son enfance. Bien sûr, il pensait être un enfant illégitime, il avait tué une petite fille au Viêt-nam, il passait ses nuits à rôder, il avait des sautes d'humeur, des accès de fureur. Début des années 70, un garçonnet disparaît. Peu après une petite fille est retrouvée violée et assassinée... Condamné pour ces deux meurtres à 25 ans de prison, il est libéré 14 ans plus tard et s'installe à Rochester. Soudain, un tueur en série sévit. Il tue des prostituées, c'est Shawcross. Les psychologues s'interrogent. Difficile de trouver des réponses. Le jury le condamne à 250 ans de prison.
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Quel drôle de type Arthur Shawcross ! Bizarre, excentrique, parfois tendre, attentionné et ce, depuis son enfance. Bien sûr, il pensait être un enfant illégitime, il avait tué une petite fille au Viêt-nam, il passait ses nuits à rôder, il avait des sautes d'humeur, des accès de fureur. Début des années 70, un garçonnet disparaît. Peu après une petite fille est retrouvée violée et assassinée... Condamné pour ces deux meurtres à 25 ans de prison, il est libéré 14 ans plus tard et s'installe à Rochester. Soudain, un tueur en série sévit. Il tue des prostituées, c'est Shawcross. Les psychologues s'interrogent. Difficile de trouver des réponses. Le jury le condamne à 250 ans de prison.
SECTE ET SACRIFICES HUMAINS : 15 VICTIMES SELON LA VERSION OFFICIELLE, MAIS UNE RÉALITÉ PLUS TERRIBLE ENCORE. Adolfo Constanzo, chef d’un important réseau mexicain de trafiquants de drogue, tient ses hommes par la peur et par les promesses les plus folles : n’est-il pas en effet un grand sorcier capable d’attirer sur ses fidèles la bonne volonté des puissances des ténèbres ? Bientôt, les sacrifices d’animaux ne suffisent plus à cet homme qui a réuni autour de lui, dans une complicité monstrueuse, les adeptes de sa secte folle… Mais l’erreur de Constanzo est de s’en prendre un jour à un Américain. Lorsque Mark Kilroy disparaît, sa famille remue ciel et terre pour le retrouver. Une enquête effarante menée des deux côtés de la frontière, qui s’achève en avril 1989 au ranch Santa Helena. Là, dans un chaudron, flottent des restes humains mêlés à des herbes magiques…
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SECTE ET SACRIFICES HUMAINS : 15 VICTIMES SELON LA VERSION OFFICIELLE, MAIS UNE RÉALITÉ PLUS TERRIBLE ENCORE. Adolfo Constanzo, chef d’un important réseau mexicain de trafiquants de drogue, tient ses hommes par la peur et par les promesses les plus folles : n’est-il pas en effet un grand sorcier capable d’attirer sur ses fidèles la bonne volonté des puissances des ténèbres ? Bientôt, les sacrifices d’animaux ne suffisent plus à cet homme qui a réuni autour de lui, dans une complicité monstrueuse, les adeptes de sa secte folle… Mais l’erreur de Constanzo est de s’en prendre un jour à un Américain. Lorsque Mark Kilroy disparaît, sa famille remue ciel et terre pour le retrouver. Une enquête effarante menée des deux côtés de la frontière, qui s’achève en avril 1989 au ranch Santa Helena. Là, dans un chaudron, flottent des restes humains mêlés à des herbes magiques…
L'avocat de Wichita, Robert Beattie, a publié un livre sur BTK avant sa capture. Dennis Rader a tué plus de dix personnes sur une période de trente ans sans jamais avoir été ni soupçonné ni inquiété. Beattie a tenté de le faire sortir de sa tanière, s'il était encore vivant, en lui volant son histoire. BTK est tombé dans le piège. L'auteur raconte par le détail les méfaits terribles de Rader, sa capture et son procès. Steven Goldstein, éditeur spécialisé dans les histoires criminelles vraies, auteur radiophonique d'histoires criminelles et ancien réalisateur à " Europe N° 1 " à Paris, suit dans sa narration le tueur pas à pas.
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L'avocat de Wichita, Robert Beattie, a publié un livre sur BTK avant sa capture. Dennis Rader a tué plus de dix personnes sur une période de trente ans sans jamais avoir été ni soupçonné ni inquiété. Beattie a tenté de le faire sortir de sa tanière, s'il était encore vivant, en lui volant son histoire. BTK est tombé dans le piège. L'auteur raconte par le détail les méfaits terribles de Rader, sa capture et son procès. Steven Goldstein, éditeur spécialisé dans les histoires criminelles vraies, auteur radiophonique d'histoires criminelles et ancien réalisateur à " Europe N° 1 " à Paris, suit dans sa narration le tueur pas à pas.
De 1974 à 1978, le serial killer Ted Bundy s'en prend à plus de trente jeunes filles, dont très peu auront la vie sauve. Ce très beau garçon à l'allure engageante d'un étudiant sérieux et de bonne famille n'inspire en effet aucune méfiance à ses victimes. En 1989, Ted Bundy achève son parcours monstrueux par la chaise électrique. Il aura fallu quinze années d'enquête pour venir à bout de ce séducteur qui n'avoua jamais.
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De 1974 à 1978, le serial killer Ted Bundy s'en prend à plus de trente jeunes filles, dont très peu auront la vie sauve. Ce très beau garçon à l'allure engageante d'un étudiant sérieux et de bonne famille n'inspire en effet aucune méfiance à ses victimes. En 1989, Ted Bundy achève son parcours monstrueux par la chaise électrique. Il aura fallu quinze années d'enquête pour venir à bout de ce séducteur qui n'avoua jamais.
Orgueilleuse et perverse, intelligente et belle, Pauline Dubuisson se joue de son amant Félix, comme elle étudiant en médecine. Elle le trompe, il vit l'enfer, il la supplie de l'épouser mais elle se moque de lui. Pourtant deux ans plus tard, en 1951, quand elle apprend qu'il en épouse une autre, l'idée lui est insupportable. Elle part à sa recherche, et l'abat de trois coups de feu. Assassinat ou accident ? Pour juger d'une affaire, encore faut-il la connaître.
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Orgueilleuse et perverse, intelligente et belle, Pauline Dubuisson se joue de son amant Félix, comme elle étudiant en médecine. Elle le trompe, il vit l'enfer, il la supplie de l'épouser mais elle se moque de lui. Pourtant deux ans plus tard, en 1951, quand elle apprend qu'il en épouse une autre, l'idée lui est insupportable. Elle part à sa recherche, et l'abat de trois coups de feu. Assassinat ou accident ? Pour juger d'une affaire, encore faut-il la connaître.
Le 12 février 1987, au cour d'une nuit brumeuse et sans lune, un jeune homme découvre dans une forêt de l'Aisne la carcasse fumante d'une voiture accidentée. Muni d'une torche, il s'approche. L'effroi le tétanise : à l'intérieur, il distingue un humain aux membres rongés par les flammes ; sa tête a presque éclaté. En matinée, un gendarme annonce à Ginette Daussy la mort de son mari Jean-Paul. La veuve s'effondre. Sa fille Paola prend les choses en mains, malgré son immense chagrin : elle adorait son père. Tandis que les enquêteurs tentent d'éclaircir plusieurs détails mystérieux, la vie reprend son cours dans la villa avec piscine des Daussy, à Urcel. Les voisins jasent : d'où provient tout cet argent qui permet à Ginette et à Paola de multiplier les voyages et les réceptions? Dans le village, on les surnomme les " veuves joyeuses ". En septembre, le procureur ordonne le classement sans suite du dossier. Sa décision fait bondir l'un des trois assureurs du défunt. Un expert de la compagnie reprend les investigations. Bientôt, il est convaincu que Jean-Paul Daussy a été assassiné par un tueur. Un être si machiavélique qu'il est passé à deux doigts du crime parfait. A Urcel, les langues se délient. Serait-il possible que...? Non, Ginette était si malheureuse... et Paola était si proche de son père.
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Le 12 février 1987, au cour d'une nuit brumeuse et sans lune, un jeune homme découvre dans une forêt de l'Aisne la carcasse fumante d'une voiture accidentée. Muni d'une torche, il s'approche. L'effroi le tétanise : à l'intérieur, il distingue un humain aux membres rongés par les flammes ; sa tête a presque éclaté. En matinée, un gendarme annonce à Ginette Daussy la mort de son mari Jean-Paul. La veuve s'effondre. Sa fille Paola prend les choses en mains, malgré son immense chagrin : elle adorait son père. Tandis que les enquêteurs tentent d'éclaircir plusieurs détails mystérieux, la vie reprend son cours dans la villa avec piscine des Daussy, à Urcel. Les voisins jasent : d'où provient tout cet argent qui permet à Ginette et à Paola de multiplier les voyages et les réceptions? Dans le village, on les surnomme les " veuves joyeuses ". En septembre, le procureur ordonne le classement sans suite du dossier. Sa décision fait bondir l'un des trois assureurs du défunt. Un expert de la compagnie reprend les investigations. Bientôt, il est convaincu que Jean-Paul Daussy a été assassiné par un tueur. Un être si machiavélique qu'il est passé à deux doigts du crime parfait. A Urcel, les langues se délient. Serait-il possible que...? Non, Ginette était si malheureuse... et Paola était si proche de son père.
Jack L'éventreur était-il le neveu de la reine ? Etait-il médecin ou franc-maçon ? Du 31 août au 9 novembre 1888, cinq femmes sont épouvantablement massacrées. Cinq misérables victimes et dix semaines de terreur sont à l'origine d'un mythe qui dure depuis un siècle. Stéphane Bourgoin, le grand spécialiste de l'Eventreur, fait ici le point sur la légende à partir d'archives inédites et de nouvelles méthodes d'investigation. Au fil des pages, il dresse le portrait-robot de l'assassin.
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Jack L'éventreur était-il le neveu de la reine ? Etait-il médecin ou franc-maçon ? Du 31 août au 9 novembre 1888, cinq femmes sont épouvantablement massacrées. Cinq misérables victimes et dix semaines de terreur sont à l'origine d'un mythe qui dure depuis un siècle. Stéphane Bourgoin, le grand spécialiste de l'Eventreur, fait ici le point sur la légende à partir d'archives inédites et de nouvelles méthodes d'investigation. Au fil des pages, il dresse le portrait-robot de l'assassin.

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