Gilbert Gallerne

Voici un roman au scénario intéressant et addictif, le rythme est nerveux et le suspense excellent.

Le style d'écriture ne s'encombre pas de détails inutiles et l'auteur va droit au but.

Cette lecture rapide a le mérite de retenir notre attention et c'est bien là son objectif.

Une réussite.

C'est un ebook que j'ai obtenu gratuitement avec les opérations du confinement. N'étant pas très fan des romans policier je ne l'aurai sans doute jamais acheter mais j'ai voulu en profiter pour élargir un peu mes horizons de lecture.

Je n'ai pas vraiment accroché ni au scénario (que je trouve bien alambiqué) ni aux personnages. Globalement il n'y a que Laura qui m'ait touchée bien que je ne la trouve pas très efficace dans ses démarches à se lancer à cœur perdu dans sa quête sans savoir où elle va ni comment. Cela s'explique sans doute par sa détresse et sa méfiance vis à vis de la police mais ça ne l'aide pas. D'ailleurs parlons un peu de la police, c'est à se demander s'ils réfléchissent ou s'ils trouvent simplement une hypothèse unique qu'ils suivent aveuglément sans se poser plus de questions.

C'était une lecture facile mais elle ne m'a pas convaincue car il n'y avait ce suspense et cette émotion qui vous prend aux tripes et font tout l'intérêt des romans.

Un polar assez prenant avec un turn over qu'on n'imagine pas.

J'ai eu un peu de mal avec le personnage de Carole, qui me donnait bien envie de la secouer par moments.

Cette enquête policière n'est pas vraiment prenante. C'est un peu léger et ça manque de profondeur.

Laura est une mère désespérée mais je trouve qu'elle part dans tous les sens dans ses recherches...Les policiers n'ont vraiment pas le beau rôle dans ce livre. Ils ne cherchent pas forcément plus loin que leur bout du nez... pas très crédible...

Premier roman de cet auteur que je lis et j'ai beaucoup aimé. Bien que je sois claustrophobe, j'ai accompagné le commissaire Lionel Jonzac, dans les méandres des sous-sols parisiens, comme les catacombes, mais aussi plus particulièrement les tréfonds du métro, ceux que l'on ne voit pas, que l'on ne connait pas. Dès les premières pages, nous sommes immergés dans l’abomination que représente le personnage de Michael. Un garçon, dont le tragique destin a fait de lui l'homme qu'il est devenu. Une enquête menée tambours battants, qui touche ce commissaire au plus profond de son âme, déjà perturbée par un Cold Case, que nous découvrons au fil des pages. Pas de temps morts, un rythme effréné qui vous emporte jusqu'au bout. Un très bon polar.

Ce roman est d'une nullité ahurissante. Les ficelles sont tellement grosses qu'on pourrait se pendre avec. Aucun suspense, aucun intérêt. Les personnages ne suscitent aucune empathie. On pourrait s'attacher à Carole, mais... rien n'est fait pour, entre ses hésitations et doutes permanents. Seule la journaliste tire à peu près son épingle du jeu.

Un polar dont le scénario s’essouffle assez vite car la fin est vite prévisible. Se lit très facilement mais l’intrigue ne nous tient pas en haleine et c’est dommage !

Un prix du quai des orfèvres très "addictif" mais aussi très 'prévisible'.

Je n'ai pas réussi à adhérer. Les ficelles étaient trop grosses à mon sens et, contrairement à la tradition dans ces récits-là, je n'ai pas réussi à me sentir dans la "vraie vie".

Nonobstant, Il se lit très vite et on ne s'ennuie pas.

L'auteur nous raconte la folie meurtrière guidée par le pouvoir de l'argent... Une écriture simple, des personnages atypiques, un scénario accrocheur, tout cela en fait un bon roman avec une envie de tourner les pages avec avidité pour en savoir la fin. La ténacité de Laura est touchante.

Son instinct et son amour de maman vont il lui donner raison ?

Abandon avant la moitié du livre.

Je n'ai absolument pas accroché avec Laura, qui cherche sa fille disparue depuis 5 ans. Un jour qu'elle reçoit son ours en peluche, elle est persuadée que sa fille est en vie et se décide à mener l'enquête seule parce qu'elle ne fait pas confiance à la police et malgré le très peu d'indice qu'elle a.

On doit attendre presque 90 pages avant d'avoir un gros indice en tant que lecteur et mon intérêt s'est arrêté là. Je ne sais pas si j'ai deviné à 100% les rouages de l'enlèvement mais je pense avoir compris le plus gros et n'ai pas envie de lire 200 pages de plus pour qu'enfin Laura trouve elle aussi.