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Sherlock Holmes, Tome 3 : L'Ombre de Menephta



Description ajoutée par solitaire 2014-04-12T22:58:36+02:00

Résumé

Depuis l'arrivée à Londres du tombeau de Menephta, exhumé quelques mois auparavant dans la Vallée des Rois, les membres de l'expédition Whitefield disparaissent, frappés d'une mort étrange.

Aux dires des témoins, ce serait une momie, celle du grand-prêtre lui-même dont le repos a été troublé, qui éliminerait un à un les profanateurs. A moins que cette mascarade ne serve à dissimuler le véritable motif de ces assassinats : récupérer des papyrus inestimables dont le contenu pourrait mettre en péril la paix du monde.

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Classement en biblio - 4 lecteurs

extrait

— J'espérais trouver en France une énigme à ma mesure... et je n'ai eu à m'occuper que d'un assassin de deuxième ordre.

— Qui a quand même fait huit victimes, ce n'est pas rien !

— La quantité importe peu. Le problème était médiocre.

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Pas apprécié

La couverture avec une momie en arrière-plan de Holmes, Watson et Big Ben ne laissait planer aucun doute et les deux premières pages m’ont fait soupirer.

Serait-il possible que les albums de bande dessinée avec Holmes commencent tout simplement par un bon crime, sans qu’interviennent un vampire, une momie, un rat géant, une béquille transformée en fusil, un fakir de méchante humeur, une secte satanique, … ?

C’est saoulant, à la fin. Les bons vieux assassins bien de chez nous et les bons vieux crimes habituels seraient-ils en voie de disparition ? Sans doute puisqu’il faut faire sans cesse faire appel à l’élément fantastique.

Oh, je viens de repérer un cliché hitchcockien avec ces ombres chinoises projetées sur le mur, ce poignard en suspension dans les airs et la victime qui reste pétrifiée de terreur comme un lapin ébloui par les phares d’une voiture.

Hélas, ici, ça fait trop, ça fait tache car le meurtrier fait durer le plaisir avant de planter le couteau dans sa victime, transformant la scène en grotesque, style série Z. On a envie de crier : « Mais poignarde-le, qu’on en finisse ».

Dans les pages suivantes, ce sont les références canoniques. Nous découvrons Holmes qui se fait remettre la légion d’honneur pour l’arrestation de Huret, l’assassin du boulevard.

Holmes porte un beau costume, mais quand on le retrouve sur le quai d’embarquement, il porte la macfarlane, comme par hasard !

Holmes se plaint ensuite de l’affaire, car il pensait trouver en France une énigme à sa mesure. Que nenni ! Il dit à Watson qu’elle ne présentait que quelques difficultés, une affaire banale, somme toute, celle de l’assassin Huret.

Watson lui rappelle, fort à propos, que l’assassin a fait huit victimes et Holmes aura cette réponse sur laquelle je tire à boulets rouges : « La quantité importe peu. Le problème était médiocre ». C’est faire peu de cas des victimes et c’est indigne de lui.

Malgré ma grogne, je soulignerai tout de même quelques bons points, tels que le fait de passer des bas-fonds londoniens à un salon richement pourvu, le tout en quelques cases.

« Nous nous élevons dans l’échelle sociale », dira Holmes. Encore un autre bon point qui relève le niveau : les petites phrases mi-humoristiques mi-sarcastiques qu’adressera Holmes à Watson ou à Lestrade, ainsi que son étalage de sa science du baritsu, combinée de combat à la canne et rehaussée de jiu-jitsu.

Sans oublier la présence des Irréguliers.

Une mention spéciale à un trait d’humour très noir (j’aime ça, mais certains le trouveront déplacé) quand un des protagonistes anglais signalera à son camarade allemand que « seul le travail rend libre ».

Le camarade allemand trouvera la formule jolie et pensera à s’en souvenir. Humour noir, je vous le disais.

Bon, passons aux mauvais points qui sont importants et font couler le tout. Commençons en douceur avec de la vaseline :

– Les archéologues qui manipulent des papyrus plus vieux que Mathusalem comme si c’était le journal du jour. Aucunes précautions lors de la manipulation !

– Le majordome du Diogenes Club qui ose dire, à voix haute, dans le salon où personne ne peut parler, que les règles du club sont la discrétion et le silence. Voilà qui est fort « anti-canonique » et à l’encontre de la règle du club.

Au Diogenes Club, on ne peut parler QUE dans le salon des étrangers. Et les autres regardent Watson de travers parce qu’il se mouche alors que l’autre à parlé ? Heu…

– Les dessins de la bédé ne sont pas terribles : lors de plan plus profonds, les détails ne sont pas détaillés, quant aux traits de Holmes… Bof, pas terribles avec son menton pointu.

– Les Allemands sont très clichés, ne manque que l’uniforme noir et on aurait déjà de parfait petits nazis.

– Encore et toujours le petit-fils turbulent et allemand de la reine Victoria et ses petits complots à l’arme secrète (on le sort dans toutes les bédés ou films avec Sherlock Holmes). Petit soucis, dans le récit, il est dit que le kaiser Guillaume II est le cousin de la reine Victoria, hors il était le fils d’une des filles de Victoria et Albert ! Confondre un cousin et un petit-fils, oups !

J’ai relevé aussi une grosse allusion au film « La vie privée de Sherlock Holmes » avec l’attitude de la reine dans les dernières cases. Mais celle-là, c’est à ranger dans les bons points qui sont peu nombreux.

– Beaucoup trop de fantastique et je ne sais pas ce qu’un peuple perdu vient faire dans tout ça. Que les légendes restent dans l’univers fantastique ou dans les fanfictions. Les armes fabuleuses aussi, même si celle là existe bel et bien.

Un bon meurtre, avec un bon vieux mobile, et ils auraient pu faire une chouette enquête, même sur fond de malédiction à la momie égyptienne.

Là, on sombre dans le grand n’importe quoi. En plus, Holmes tombe toujours sur des hommes de sa taille et de sa corpulence quand il doit se déguiser. Un peu trop facile.

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