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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:43:18+02:00

— Vous savez que ces ascenseurs sont illégaux, dit Graham. D’après les règlements, aucun ascenseur en verre ne peut monter au-delà du quatre-vingt-dixième étage, et cette tour en fait quatre-vingt-dix-sept, c’est le plus haut gratte-ciel de Los Angeles. Mais il faut dire qu’ici tout est particulier. Par exemple, ils l’ont montée en six mois. Vous savez comment ? Ils ont amené des éléments préfabriqués de Nagasaki et les ont assemblés ici. Sans ouvriers américains. Ils ont obtenu une dérogation pour passer outre nos syndicats en prétextant des problèmes techniques que seuls pouvaient résoudre des ouvriers japonais. Vous vous rendez compte, la connerie 

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:43:07+02:00

Je coupai le contact, un voiturier ouvrit les portières et nous foulâmes une épaisse moquette. Connor et moi nous dirigeâmes ensuite vers les ascenseurs au son d’une musique douce, croisant des hommes en smoking et des femmes en robe longue qui quittaient les lieux. Devant l’ascenseur, un homme vêtu d’une veste de velours douteuse fumait nerveusement une cigarette. C’était Tom Graham

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:54+02:00

— Quand vous commencerez à traiter avec les Japonais, rappelez-vous qu’ils n’aiment pas négocier. Ils trouvent ça trop agressif. Dans leur propre société, ils l’évitent chaque fois que c’est possible. — D’accord. — Maîtrisez vos gestes. Gardez les bras le long du corps. Les Japonais jugent menaçants les grands mouvements de bras. Parlez lentement, d’un ton calme et mesuré

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:46+02:00

Sur ces cartes il y avait écrit : « Lieutenant Peter J. Smith, officier de liaison des services spéciaux. Police de Los Angeles. » La formule était rédigée en anglais d’un côté et en japonais de l’autre. Connor examina les cartes. — Comment comptez-vous aborder la situation, lieutenant ? Avez-vous déjà négocié avec des Japonais ? — Non, pas vraiment, dis-je. Quelques arrestations pour conduite en état d’ivresse, c’est tout

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:39+02:00

Pendant tout le temps que dura mon récit, Connor écouta sans m’interrompre. Je ne comprenais pas les raisons d’un tel intérêt, et il ne m’en fit pas part. — Hoffmann ne vous a pas dit qui avait réclamé le silence radio ? me demanda-t-il lorsque j’eus terminé

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:31+02:00

Non. C’est même la première fois que j’entends parler d’une chose pareille. D’habitude, ce sont les inspecteurs qui font appel à un officier de liaison quand ils ont besoin d’un interprète, et je n’ai jamais entendu dire que des Japonais aient eux-mêmes fait la demande. — Moi non plus, dit Connor. C’est Graham qui vous a demandé de m’amener avec vous ? Si je vous demande ça, c’est que Graham et moi n’avons pas énormément d’estime l’un pour l’autre

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:18+02:00

 Écoute, Pete, je crois que cette fois-ci tu vas avoir besoin d’aide. — Et pourquoi ? — Apparemment, des citoyens japonais sont impliqués dans cette affaire d’homicide. Ça peut être délicat. Ça fait combien de temps que tu es officier de liaison ? — Environ six mois. — Si j’étais toi, je demanderais l’aide d’un gars plus expérimenté. Va chercher Connor et amène-le avec toi

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:11+02:00

C’est alors que je reçus l’appel de Tom Graham. — Encore ces putains de Japonais ! lança Graham. Eux et leurs conneries ! Tu ferais bien de te radiner, Petey-san. C’est au 1100 Figueroa, au coin de la 7e. C’est la nouvelle tour Nakamoto

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:42:03+02:00

Ainsi, le premier appel que je reçus en ce 9 février concernait Fernando Conseca, le vice-consul du Chili. Trop ivre pour conduire, il avait été interpellé par une voiture de patrouille et se retranchait bruyamment derrière son immunité diplomatique. Je dis aux agents de le raccompagner chez lui et rédigeai une nouvelle note que je comptais envoyer au consulat le lendemain matin

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-29T21:41:48+02:00

« Il y aura une réunion à deux heures. » Les photos sur mon lit ne correspondaient plus à la réalité. Quatre mois plus tard, Michelle avait complètement changé. Elle avait tellement grandi que la coûteuse robe de fête en velours noir avec un col de dentelle blanc que lui avait offerte mon ex-femme ne lui allait plus

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