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je ne crois pas que ton joueur averti soit en état de me surprendre. Pas après ce que je viens d'endurer. Des espions se sont jetés sur moi, des reptiles en voies de disparition et des hermines me sont tombés dessus. On m'a donné à manger du caviar qui n'existait pas. Des nymphomanes qui ne goûtaient pas les hommes ont mis en doute ma virilité, menacé de me violer sur un hérisson, m'ont mis la pression en parlant de grossesse, et même, tiens, d'orgasme, d'un genre qui ne nécessite pas de recourir aux gestes rituels.

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Dire que je la connaissais serait exagéré. Je pense que, hormis le sorceleur et la magicienne, personne ne la connaissait vraiment. Lorsque je l'ai vu pour la première fois, elle ne m'a pas réellement fait grande impression, bien que les circonstances liées à cette première fois aient été plutôt insolites. J'en ai connu certains qui affirmaient avoir immédiatement ressenti, dès leur première rencontre avec elle, le souffle de la mort qui se déplaçait derrière la jeune fille. Pour ma part, elle m'avait semblé tout à fait ordinaire, et je savais pourtant qu'elle n'avait rien d'ordinaire; aussi m'efforçai-je instamment de découvrir en elle, de déceler, de ressentir ce qu'elle avait d'inhabituel. Mais je n'ai rien trouvé, rien perçu. Rien qui aurait pu être le signal, l'annonce ou le présage des évènements tragiques qui suivirent.

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Geralt eut un léger mouvement d’humeur. Codringher aurait bien fait mine de n’avoir rien remarqué, mais cela lui fut impossible, car son chat, lui, l’avait remarqué. Il écarquilla tout grands ses yeux et émit un sifflement quasi silencieux en découvrant ses petites canines blanches.

- N’agace pas mon chat, dit l’avocat en caressant l’animal pour le calmer. C’est le mot « collègue » qui t’a ému ? C’est pourtant la vérité. Moi aussi, je suis un sorceleur. Moi aussi, je libère les gens des monstres et des soucis qui les accablent. Et moi aussi, je fais ça pour de l’argent.

- À quelques différences près, marmonna Geralt, toujours sous le regard désagréable du grippeminaud.

- En effet, acquiesça Codringher. Toi, tu es un sorceleur anachronique, et moi un sorceleur moderne qui suit l’air du temps. Voilà pourquoi tu te retrouveras bientôt au chômage, tandis que moi j’irai en prospérant. Les stryges, les wyverns, les endriagues et les loups-garous disparaîtront bientôt. Mais des salopards, il y en aura toujours.

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Il est précisément en train de la prier de lui pardonner ses diverses paroles et actes stupides. Il lui demande pardon pour son impatience, pour son manque de confiance et d'espoir, pour son obstination, son acharnement, ses bouderies et ses attitudes, indignes d'un homme. Il lui demande pardon pour ce qu'il n'a pas compris autrefois, pour ce qu'il ne voulait pas comprendre... […] Il lui demande pardon pour ce qu'il vient à peine de comprendre. […] Pour ce qu'il voudrait comprendre mais qu'il craint de ne pas avoir le temps de comprendre... et pour ce qu'il ne comprendra jamais.

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Finalement, le courrier, vaincu par la fatigue, cessa de prêter l’oreille aux conversations des voyageurs. Il alla dans la chambre à coucher commune, s’affala sur sa paillasse et dormit comme une souche.

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-Serait-il possible que vous n'ayez pas compris? On m'a envoyé, à la place de la véritable Cirilla de Cintra, une tocarde quelconque. Ces traites espéraient que je ne la reconnaitrais pas. Mais moi je reconnaitrai la véritable Ciri. J la reconnaitrai n'importe ou, au bout du monde comme dans les ténèbres de l'enfer.

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-(...) Amèene votre fameux mage, là... Comment s'appelle-t-il déjà?

-Xarthisius, Votre Grandeur. Il habite dans une tour en dehors de la ville...

-Peu m'importe son domicile. Envoie des gens le chercher, qu'ils me l'amènent dans mes appartements.

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-Hummmm... oui... vous avez probablement raison. Comment s'appelle cette... princesse?

-Xerella, ou quelque chose comme ça.

-Mais non, pas du tout. Elle s'appelle... Zirilla. Oui, c'est ça.

-Un prénom barbare.

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-Cette fille... je voulais dire, cette... princesse. Elle est laide, parait-il... Lorsque l'empereur la verra...

-Vous voulez dire qu'il ne l'a pas encore vue?

Il n'en a pas eu le temps. Il est revenu de Darn Ruach il y a tout juste une heure.

-Emhyr n'a jamais apprécié les laides.

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-Toi, tu n'as rien, ajouta Gisler en lui remettant une ceinture incrustée d'argent. Prends donc au moins ça.

-Tu n'as rien ni personne, dit Mistle avec un sourire en jetant un petit caban vert satiné sur ses épaules et en lui fourrant dans les mains une blouse brodée.

-Tu n'as rien, dit à son tour Kaleigh. (Son présent à lui était un petit stylet enveloppé d'une gaine serti de pierres précieuses). Tu es seule.

-Tu n'as personne, répéta après lui Asse.

De sa part, Ciri reçut un ceinturon décoratif.

-Tu n'as pas de proche, dit Reef avec son accent nilfgaardiens en lui remettant une paire de gants en cuir très fin. Tu n'as personne et...

-Partout tu sera une étrangère, acheva Étincelle nonchalamment. (D'un geste un peu cérémonial, elle plaça sur la tête de Ciri un petit béret orné de plumes de faisan.) Jamais à ta place et toujours différente. Comment devons-nous t'appeler, Petit Faucon?

Ciri la regarda dans les yeux.

-Gvalch'ca.

L'elfe se mit à rire.

-Une fois que tu te mets à parler, tu parles plusieurs langues, Petit Faucon ! Eh bien, soit ! TU porteras le nom du Peuple ancien, le nom que tu t'es toi-même choisi. Tu sera Falka.

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