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La formule de téléprojection était difficile, les magiciennes devaient prononcer d'une seule voix, en unissant leurs mains et leurs pensées. Même ainsi, elles constatèrent que l'effort à fournir était diablement compliqué. Il est vrai que la distance mentale à franchir était non négligeable. Les paupières serrées de Filippa Eilhart frémissaient , Triss Merigold haletait, la sueur perlait sur le haut front de Keira Metz. Seul le visage de Margarita Laux-Antilles n'exprimait aucune fatigue.

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- [...] Tu sais quoi ? On va aussi lui donner un nom, à ma jument elfique. Voyons...

- Ablette, peut-être ? ironisa le troubadour.

- Va pour Ablette, accepta le sorceleur. C'est mignon.

- Geralt ?

- Oui ?

- As-tu jamais eu un cheval qui se soit appelé Ablette ?

- Non, répondit le sorceleur après avoir réfléchit un instant. Jamais.

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Le sorceleur sentit un liquide chaud couler le long de sa nuque.

- Tiens bon! (Il saisit le poète par le coude et le cala contre son dos.) Tiens bon, Jaskier!

- Ils m’ont tué! beugla le poète d’une voix étonnamment puissant pour un homme qui avait cessé de vivre. Je saigne! Je meurs!

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_ Geralt..., dit tout bas la jeune fille, dame Yennefer... pardonnez-moi... il le fallait. Tu sais bien...

_ Ciri, dit le sorceleur.

Yennefer fit un pas en direction de la jeune fille, mais elle se ravisa. Elle se taisait.

"Vers qui se tournera-t-elle? de demandait Jaskier. Ni le sorceleur, ni la magicienne ne feront le premier pas, le premier geste. Vers qui ira-t-elle en premier? Lui ou elle?"

Ciri n'alla vers aucun des deux. Elle ne pouvait choisir. Finalement, elle tourna de l'oeil.

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- Que devons-faire alors ? tiqua Milva. Le sorceleur s'entête à vouloir aller vers le sud.

- Pour lui, répondit Régis en souriant, les directions du monde n'ont pas de significations particulières. Peu lui importe où il va, du moment qu'il ne reste pas assis à ne rien faire. C'est un véritable principe chez les sorceleurs. Le Mal est partout en ce monde, il suffit donc d'aller où les yeux se posent et d'éradiquer en chemin les monstres rencontrés, contribuant ainsi à la cause du Bien. Le reste viendra tout seul. Autrement dit : tout est dans le mouvement, l'objectif n'est rien.

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Merci pour ton aide. Merci pour tout.

Elle ne répondit pas.

— J’ai une dette envers toi, reprit le sorceleur. Comment puis-je m’en acquitter ?

— Comment ? En t’en allant enfin loin d’ici ! s’écria-t-elle en se soulevant sur son coude et en tiraillant violemment la couverture. Moi, j’ai besoin de… de dormir. Prends un cheval… et va-t’en… À Nilfgaard, en enfer, au diable, ça m’est égal ! Pars ! Laisse-moi tranquille !

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Toute dette contractée, nous la payons à nous-même. En chacun de nous se trouve à la fois un créancier et un débiteur. Le problème est de s'y retrouver dans ses calculs.

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"Haine, ignominie, jalousie, lamentations, désir, trahison. La véritable nature humaine se dévoile quand on est dos au mur. Notre vraie valeur est mise en question. Tu as eu le temps de t'en apercevoir, non ? Un monde d'hypocrisie et de faux-semblants, où on blesse ses prétendus amis sans aucun scrupule pour se protéger ou assouvir ses désirs."

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Chacun de nous a une dette[…] Ainsi va la vie[…]. Les dettes et les créances, les obligations, la reconnaissance, le remboursement… Faire quelque chose pour quelqu'un. Ou peut-être pour soi-même ? Parce qu'en réalité, c'est toujours soi que l'on rembourse, et personne d'autre. Toute dette contractée, nous la payons à nous-même. En chacun de nous se trouve à la fois un créancier et un débiteur. Le problème est de s'y retrouver dans ses calculs. Lorsque nous venons au monde, nous ne possédons qu'une infime parcelle de notre vie, ensuite nous ne cessons de contracter des dettes et de les rembourser. À soi-même. Pour soi-même.

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Dans la forêt, là-bas, danse un grand loup, visez un peu !

Il montre ses crocs, remue la queue, allègrement sautille.

Pour quelle raison est-elle donc cette bête des bois aussi joyeuse ?

C’est sûr, pour s’agiter ainsi, elle ne doit pas être mariée pour l’heure !

Boum da di da di boum, ah, ah !

Jaskier se mit soudain à rire ; sans prêter attention aux chouinements du sorceleur et de Milva, il sortit son luth de sous son manteau mouillé, pinça les cordes de son instrument et entreprit d’accompagner le choeur inconnu en chantant à gorge déployée :

Dans le sous-bois, là-bas, erre un pauvre loup, visez un peu !

La gueule courbée, la queue basse, de son oeil coule une larme.

Pour quelle raison est-elle donc cette bête aussi chagrine ?

C’est sûr, elle doit bien être ou fiancée ou mariée à cette heure !

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