Réponses au commentaire de Melenda
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Bien que ce tome rattrape la fin par trop abrupte du volume précédent, où le brutal changement de ton n'était pas forcément bien amené, il y reste des rapidités qui peuvent gêner. La fluidité est un bienfait, mais du même coup beaucoup de choses se passent presque trop vite. Cette rapidité n'est pas totalement irréaliste, d'autant qu'elle est liée à des événements extérieurs : la causalité est bien faite et nous n'avons pas deux personnages avec une brutale intimité, mais deux personnages qui sont contraints de jouer au rythme de la musique. Je ressens quand même un manque de développement sur plusieurs points.
Les capacités martiales de Black m'ont déçue après le brillant éloge qui en avait été fait quelques pages plus tôt. De même, celles de la Bête du Gévaudan, le grand champion des arènes, m'ont parues subitement envolées. Certes, ses sceaux peuvent limiter sa rapidité, sa force et ses pouvoirs de régénération ou de contrôle du feu, mais ceci n'est pas excplicité, au profit d'une harangue sur l'orgueil et la confiance en eux excessive des lycans, ce qui est tout de même dommage.
Pour le dessin, il est toujours aussi bien. L'apparence des harpies m'a beaucoup plu, même si Aki trouve qu'elles sont laides : pour moi elles sont assez jolies.
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