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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:31:42+02:00

Nous sommes tous des farceurs:nous survivons à nos problèmes.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:31:32+02:00

Combien j'aime les esprits de second ordre(Joubert,entre tous)qui,par délicatesse,vécurent à l'ombre du génie des autres et,craignant d'en avoir,se refusèrent au leur!

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:31:23+02:00

Le poète : un malin qui peut se morfondre à plaisir, qui s’acharne aux perplexités, qui s’en procure par tous les moyens. Ensuite, la naïve postérité s’apitoie sur lui.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:31:09+02:00

Chaque pensée devrait rappeler la ruine d’un sourire.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:31:00+02:00

La malhonnêteté d’un penseur se reconnaît à la somme d’idées précises qu’il avance.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:30:49+02:00

Si je puis lutter contre un accès de dépression, au nom de quelle vitalité m’acharner contre une obsession qui m’appartient, et qui me précède ? Que je me porte bien, j’emprunte le chemin qui me plaît ; « atteint », ce n’est plus moi qui décide : c’est mon mal. Pour les obsédés, point d’option : leur obsession a déjà opté pour eux, avant eux. On se choisit quand on dispose de virtualités indifférentes ; mais la netteté d’un mal devance la diversité des routes ouvertes au choix. Se demander si on est libre ou non, -vétille aux yeux d’un esprit qu’entraînent les calories de ses délires. Pour lui, prôner la liberté, c’est faire montre d’une santé déshonorante.

La liberté ? Sophisme des bien portants.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:30:34+02:00

Si je puis lutter contre un accès de dépression, au nom de quelle vitalité m’acharner contre une obsession qui m’appartient, et qui me précède ? Que je me porte bien, j’emprunte le chemin qui me plaît ; « atteint », ce n’est plus moi qui décide : c’est mon mal. Pour les obsédés, point d’option : leur obsession a déjà opté pour eux, avant eux. On se choisit quand on dispose de virtualités indifférentes ; mais la netteté d’un mal devance la diversité des routes ouvertes au choix. Se demander si on est libre ou non, -vétille aux yeux d’un esprit qu’entraînent les calories de ses délires. Pour lui, prôner la liberté, c’est faire montre d’une santé déshonorante.

La liberté ? Sophisme des bien portants.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:30:23+02:00

Avec chaque idée qui naît en nous, quelque chose en nous pourrit.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T18:30:10+02:00

Ce besoin de remords qui précède le Mal, que dis-je ! qui le crée…

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-14T17:02:12+02:00

Jeune encore, on s’essaie à la philosophie, moins pour y chercher une vision qu’un stimulant ; on s’acharne sur les idées, on devine le délire qui les a produites, on rêve de l’imiter et de l’exagérer. […]

Son idolâtrie de la force relève moins d’un snobisme évolutionniste que d’une tension intérieure qu’il a projetée au-dehors, d’une ivresse qui interprète le devenir, et l’accepte. Une image fausse de la vie et de l’histoire devait en résulter. Mais il fallait passer par là, par l’orgie philosophique, par le culte de la vitalité. Ceux qui s’y sont refusés ne connaîtront jamais le retombement, l’antipode et les grimaces de ce culte ; ils resteront fermés aux sources de la déception.

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