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Liste des extraits

p.169 (Cahl, Beth)

- Je te trouve dur...!

- Si tu faisais des efforts en ce sens, je le serais réellement, rétorqua-t-il d'un ton moqueur et en se relevant.

Il me fallut plusieurs secondes pour comprendre le sous-entendu.

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d'accord. on ne peut pas êtres beau et sympa.

dame nature a ses propres cahiers des charges a respecter

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p.150 (Cahl)

- Brr... j'ai peur du grand méchant loup ! Euh... attends, non, c'est vrai, c'est moi le grand méchant loup, ajouta-t-il suave.

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p.150 (Cahl, Ulrich)

- Ulrich ! s'exclama Cahl en constatant la présence de son frère.

Ce dernier lui lança une œillade réfrigérante.

- Satan...quel déplaisir de vous revoir, mon cher.

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« Ce n’est pas vraiment le moment pour m’amuser, mais… il peut… merde ! Je passe un bon moment avec lui, là. C’est un véritable miracle !

J’accordai la grâce d’un regard à l’instrument de billard prisonnier de mes doigts.

— C’est un jeu très phallique. Pas étonnant que les mecs l’adorent. Tripoter des queues, des boules… entrer tout ça dans des trous, rien de très inhabituel pour le genre masculin. »

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« — Monsieur Erwan Fraut, quel plaisir de vous avoir dans mon cours ! Un événement si rare que j’ai presque envie de le célébrer ! clama le professeur sans lever les yeux du livre qu’il tenait. À quoi devons-nous cet honneur ?

Quelques élèves gloussèrent nerveusement.

— Je voulais juste traîner avec Bébé. C’est un pur hasard si c’est tombé durant vos leçons, monsieur Radom.

Le professeur détacha le regard de son ouvrage puis haussa un sourcil, la mine intriguée.

— Et qui est… « Bébé » ?

Je fermai les yeux en intimant mentalement au pervers à la chevelure ébène de se taire car je ne voulais surtout pas attirer ce genre d’attention sur moi. Peine perdue, je sentis les doigts d’Erwan se mêler à la queue de cheval censée retenir ma chevelure châtain foncé, pour en ébouriffer vivement quelques mèches. »

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- Ah, l'esprit de la meute... ça vous réchauffe le cœur, lança Ulrich, le visage à nouveau caché par son livre.

Le méta-loup au look de rebelle baissa la tête vers le frère de Cahl.

- Je t'aime beaucoup, Ulrich...

- Moi aussi, mon chou.

- ...mais je ne cherche pas à te séduire, t'es pas mon genre.

- Tu viens de briser tous mes rêves secrets, je ne suis pas sûr de m'en remettre.

Erwan se pencha afin de tapoter gentiment ses mollets entrecroisés.

- Mais sache que je ne suis pas insensible au charme de ton regard azur, mon louloup.

Ulrich feignit de se pâmer en poussant un long soupir. Les trois mâles s'esclaffèrent et moi-même je ne pus m'empêcher de rire bêtement face à cet échange tout en légèreté.

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« — Un petit câlin ?

— Alors là, même pas en rêve ! m’exclamai-je tout en m’efforçant de ne regarder que son visage, et non laisser mes yeux dériver plus bas.

— Vous êtes cruelle, madame… je viens de me battre contre une étrange entité avec le courage d’un preux chevalier et vous me refusez une tendre étreinte ? Quelle déception !

Le ton moqueur ne m’échappa pas et je levai les yeux au ciel.

— Certes, monsieur le chevalier, mais dois-je vous rappeler que vous êtes homme à adorer la chasse et que je ne vous ai fourni qu’une banale excuse pour combler vos instincts ?

Cahl grimaça puis s’humecta brièvement la bouche, se retenant visiblement d’éclater de rire. Son regard doré pétillait, démontrant ainsi qu’il appréciait le fait que j’entre dans son jeu.

Le loup-garou accomplit subitement une révérence digne d’une autre époque, tout en grâce, sans porter un seul habit sur le dos.

— Je reste tout de même votre dévoué serviteur… clama le méta loup avec emphase et ferveur.

— N’importe quoi ! m’esclaffai-je malgré moi.

Cahl redressa légèrement la tête et m’octroya un clin d’œil. »

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Une fois à l'abris des regards, Koran se dirgea vers son lit pour s'assoir sur le bord. Les avants-bras reposaient sur ses cuisses, il fixait le sol sans vraiment le voir.

Puis elle tomba... Suivie d'une autre...

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(Cahl et Beth)

-Pourquoi es-tu systématiquement sur la défensive ?

-Parce qu'il me manque un char d'assaut pour vous attaquer. J'arrive à peine à lever ma tasse de café le matin, alors vous foutre une baigne... soyons réalistes.

-Ah. J'oubliais aussi le sarcasme. Tu en abuses sans modération.

-Chacun son truc, mon bon monsieur ! Moi c'est l'ironie, et toi, dévorer les gens.

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