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Extrait ajouté par Lily01 2018-01-14T10:31:55+01:00

J’étais dans tous mes états en remontant dans ma voiture. Jay était là, dehors, et il me saluait avec un signe de la main. Il paraissait tout à fait détendu et, à dire vrai, je l’étais aussi, sauf que… je n’arrivais toujours pas à croire ce qui venait de se produire dans cet appartement ! Non seulement Jay m’avait fait le plus incroyable des repas, digne d’un super resto, mais il m’avait offert tellement d’orgasmes ! Je me sentais bien, à croire qu’il avait chassé toutes mes défenses. Peut-être que je n’aurais pas eu le courage de l’arrêter si...

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-30T19:42:30+02:00

’affichai un sourire lorsqu’il baissa les yeux pour chercher mon regard.

— Le problème, c’est que je suis en train de tomber amoureux de toi.

Je le fixai, le souffle court.

— Et je déteste ça, siffla-t-il, parce que je sais que tout va m’exploser à la figure !

Dans un grognement, il me repoussa et retourna servir les assiettes.

— Viens manger. Tu as faim. Et j’ai mis le paquet sur mon tartare ! J’espère vraiment que tu vas l’aimer !

J’avais un nœud au fond de l’estomac en prenant place sur un tabouret. Je ressentais l’angoisse de Jay et la façon dont il se percevait : comme un moins que rien. Mais comment lui montrer ce que moi, je voyais ?

Quand il poussa un plat magnifique dans ma direction, je demandai :

— Tu sais pourquoi je ne voulais pas attendre le bal pour coucher avec toi ?

Il tartina un morceau de pain grillé avec son tartare avant de répondre :

— Parce que tu te doutais que ton père m’interdirait de t’y accompagner ?

— Mais non, idiot ! rigolai-je. Mon père était juste inquiet parce que je n’emmène jamais de garçon à la maison, mais il va s’en remettre.

Je l’observai douter de mes paroles en croquant un bout de son toast avant de jeter :

— Je voulais qu’on couche ensemble avant de tomber amoureuse de toi, parce que je ne voulais pas te donner l’occasion de me briser le cœur.

Il avala sa bouchée de travers avant de se mettre à toussoter. Quand son regard revint vers moi, il parut dépité par mon explication.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-30T19:39:57+02:00

— Qu’est-ce que ça veut dire ? vérifiai-je en sentant l’angoisse m’envahir. Tu comptes te vanter de m’avoir pris ma virginité ?

Jay pivota pour me jeter un regard sombre.

— Qu’est-ce que tu vas t’imaginer ? Ce n’est pas ça du tout !

— Alors quoi ? insistai-je.

Il fronça les sourcils, puis il parut anxieux de me répondre. Il détourna même la tête avant de le faire :

— C’était la première fois que je faisais l’amour à une fille, c’est tout.

Mon cerveau eut un moment d’absence qu’il utilisa pour poursuivre, sur un ton énervé :

— Mais on s’en fout du sang ! Je vais changer les draps et puis voilà.

— Qu’est-ce que tu viens de dire ? demandai-je.

Il sortit un plat du frigo et le posa près de moi avant de grogner :

— Laisse tomber.

— Jay ! pestai-je. On ne sort pas un truc pareil à une fille pour changer de sujet juste après !

Ses doigts pianotèrent sur le rebord du comptoir et un silence passa.

— Si c’est une blague, elle n’est pas drôle ! jetai-je encore.

Je cherchai à retrouver ma robe quand il se décida enfin à ouvrir la bouche :

— Ce n’est pas une blague, se défendit-il.

Il attendit que je reporte mon attention sur lui avant d’ajouter :

— Ne va pas t’imaginer n’importe quoi, hein ! Je ne suis pas con, non plus. Je sais bien que ce n’est pas encore… de l’amour.

Comme je ne savais pas quoi répondre, il poursuivit :

— Je ne voulais pas que ça dure trente secondes, avoua-t-il avec un air pincé, ni que tu aies la sensation que je te baisais comme n’importe quelle idiote que j’aurais récupérée au bar…

Même si ses paroles étaient désagréables à entendre, je savais qu’elles étaient sincères, et c’est probablement pourquoi je répondis, surtout pour le rassurer :

— Je ne me suis pas sentie comme ça.

— Ouais, grimaça-t-il, mais j’aurais quand même pu faire mieux…

Je contournai le comptoir pour venir me serrer contre lui. Une fois que ses bras formèrent un étau réconfortant autour de moi, je dis :

— C’était très bien. Et je suis sûre que les choses iront de mieux en mieux, maintenant…

Remontant mon visage vers lui, il sembla vérifier ma sincérité.

— Tu dis ça, mais dans deux ou trois ans… est-ce que tu regretteras ta première fois ? Est-ce que tu ne seras pas déçue de ne pas avoir attendu ? Ou de ne pas avoir donné ce cadeau à un type bien ?

— Jay ! m’exclamai-je. Tu es un type bien !

— Pas vraiment. Et je ne suis certainement pas… un prince charmant.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:57:55+02:00

— Dans les faits, tu ne connais rien de ce type-là ! Il n’est peut-être pas aussi gentil qu’il en a l’air !

Jay ? Gentil ? Je pouffai.

— Peut-être qu’il veut juste… tu sais ? poursuivit-elle.

Son visage devint tout rouge lorsqu’elle laissa sa question en suspens.

Oui, je savais très bien. Et je n’allais pas lui dire qu’elle avait visé juste et qu’il ne s’en cachait pas ! Néanmoins, je me devais de rassurer mes copines et leur montrer que je n’étais pas totalement naïve.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:48:48+02:00

— Désolé, princesse, mais tu m’as mis dans un sale état. J’espère que tu ne vas pas me lâcher maintenant.

Je ne répondis pas, mais je restai surprise de voir son sexe émerger entre nous. Il était long et bien plus gros que ce à quoi je m’attendais. J’avais certes déjà touché un membre en érection, mais dans le noir et par-dessus des vêtements, et les dimensions ne m’avaient jamais semblé comparables à ça.

— T’en as déjà vu un, quand même ? me demanda-t-il dès qu’il vit l’affolement dans mon regard.

— Je… en fait… pas en vrai, avouai-je en me sentant rougir.

Peut-être était-il déçu, car ses lèvres se pincèrent, mais il se mit à se masturber doucement avant de chuchoter :

— Touche. Tu vas voir, c’est chaud.

Au lieu d’attendre que je m’exécute, il récupéra ma main et enroula mes doigts autour de sa queue raide. Je retins ma respiration. C’était très bizarre. C’était chaud, un peu humide, et doux. Il guida mes gestes de bas en haut sans jamais me quitter des yeux. Pour ma part, je fixais ce sexe d’homme gonflé entre mes doigts.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:47:00+02:00

— Tu ne veux pas jouir ? me demanda-t-il.

Je clignai des yeux à répétition. Jouir ? Était-ce là ce qu’il essayait de me faire ? Le souffle court, je secouai la tête :

— Je ne veux pas… perdre ma virginité. Enfin… pas comme ça.

Un sourire rassuré apparut sur son visage, et son autre main, qui était restée sur ma fesse, se remit à bouger.

— Ce n’est pas ça qui te fera perdre ta virginité, princesse. Je veux juste caresser ta petite chatte, histoire de la rendre bien chaude.

Comme pour me prouver ses dires, son doigt reprit son mouvement sur mon sexe et j’eus un autre sursaut. Mince ! Ça me faisait tout drôle quand il appuyait. Pourtant, il était toujours par-dessus ma culotte !

— Laisse-moi faire, susurra-t-il. Après un orgasme, tu seras bien plus détendue.

Je sursautai à nouveau sous sa caresse, puis je me penchai vers l’avant pour cogner ma tête contre la sienne. Il allait me donner un orgasme ? Juste comme ça ? Était-ce seulement possible ? Une chose était sûre : ses petits gestes n’étaient pas désagréables, et il ne semblait pas sur le point de commettre l’irréparable.

Tout en poursuivant, Jay chercha à reprendre ma bouche et je me perdis dans ses baisers pendant que mon corps frissonnait de plus en plus fort. Alors que je tentais de retrouver mon souffle, une plainte s’échappa de mes lèvres et il chuchota, moqueur :

— Oui… je sens que ça vient…

J’ouvris lourdement mes yeux. Qu’est-ce qui venait ? L’orgasme ? J’étais dans un état second, mais je n’étais pas tout à fait certaine que cette chaleur soit suffisamment intense pour me transporter au septième ciel. Pourtant, j’adorais la façon dont il dévorait ma bouche, et aussi quand il venait m’étourdir en léchant mon cou ou en mordillant mon lobe d’oreille.

Quand son pouce glissa sous le tissu et que je le sentis chercher à me pénétrer, je reculai mon bassin en grognant, avec une voix beaucoup moins ferme que je l’aurais souhaité :

— On a dit…

— Je ne toucherai pas à ta virginité, me coupa-t-il. Laisse-moi faire. Je suis doux, tu vois ?

Son pouce se promenait à l’entrée de mon sexe et un bruit affreusement gênant résonnait entre nous. J’étais tellement humide !

— Mon Dieu ! soufflai-je.

Ses doigts désormais bien lubrifiés remontèrent contre mon clitoris pour le frotter plus vivement. Je me tordis sur Jay et fermai les yeux pour savourer ce qu’il faisait naître dans mon ventre. Le désir. Et le plaisir aussi.

— Je ne te dis pas comme tu m’excites, Kate. J’ai tellement hâte que tu te lâches ! Je suis sûr que ce sera magnifique !

J’émis un gémissement ridicule, puis je m’empressai de venir écraser ma bouche sur la sienne. Notre baiser fut bruyant, car son doigt continuait de me rendre folle.

— Ça te plaît, princesse ? demanda-t-il lorsque je frissonnai sur lui.

Je luttai pour ouvrir les yeux et le fixai avant de répondre.

— Oui.

— Je continue, alors ?

Sa voix semblait railleuse, mais je n’étais pas certaine de tout comprendre. Ses caresses ralentirent et mon bassin se mit à bouger pour essayer de retrouver la fougue avec laquelle il m’embrouillait la tête. Quand il écrasa mon clitoris, je le suppliai :

— Ne t’arrête pas !

Un cri se forma dans mon ventre bien avant de remonter vers mes lèvres. Ça n’avait rien à voir avec ce que j’étais capable de m’offrir, seule dans mon lit. C’était chaud, excitant, et d’une intensité folle. Lorsque je lâchai ma plainte, je me jetai sur la bouche de Jay pour l’étouffer et je perçus que mon sexe pulsait contre sa main. Satisfait, il laissa son corps choir vers l’arrière, dans le canapé, et il m’entraîna dans ses bras.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:39:24+02:00

— Je peux le toucher ?

Le seul dragon que j’avais envie qu’elle touche se situait beaucoup plus bas, dans mon jean, mais je hochai la tête en guise de réponse. Il fallait que j’y aille doucement avec cette fille, sinon j’allais tout gâcher. En plus, j’avais fait suffisamment de bêtises pour avoir envie que ça rapporte. Sans attendre, elle prit place près de moi, sur le canapé, puis ses doigts glissèrent sur ma peau : de la base de mon cou jusqu’au-dessous de mon bras gauche, où se terminait la queue du dragon. Si elle descendait juste un peu plus bas, c’est mon autre dragon qu’elle risquait de réveiller.

— Tu es drôlement musclé ! souffla-t-elle.

— Ça te plaît ?

Elle reporta son attention sur moi avant de hocher timidement la tête.

— Oui. Je crois.

Même si j’avais vraiment envie de me jeter sur elle, je posai simplement mes doigts sur son genou. La respiration de Kate s’emballa, mais elle ne repoussa pas mon geste.

— Je peux t’embrasser ? lui demandai-je.

Ma question la fit rire, probablement parce qu’elle se doutait que ce n’était pas mon approche usuelle. Et pourtant, elle accepta d’un simple hochement de tête.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:31:21+02:00

Jay attacha son casque et qu’il démarra le moteur, je m’accrochai à lui en cherchant le meilleur endroit pour me retenir convenablement. Sa main guida les miennes autour de son torse et il lâcha, dans un rire :

— Tu pourras toucher plus bas tout à l’heure.

Sous mon casque, je rougis, puis je me raidis brusque ment lorsque la moto fila sur la route. Le bruit était assourdissant et le vent se faufilait partout sous ma jupe. Soudain, je fus ravie de porter ce blouson de cuir qui me protégeait du froid. Quand Jay accéléra et qu’il tourna dans la rue du fond, je retins un cri devant la vitesse avec laquelle la moto se baissa, nous faisant presque frôler le bitume. C’était du délire ! Nous n’étions pas attachés et nous pouvions si facilement déraper ! Lorsqu’il prit la route suivante, il fit rugir le moteur et j’eus la sensation que nous volions tellement le vent nous fouettait.

— Alors ? Ça te plaît, princesse ? me demanda-t-il en haussant la voix.

— Je… je ne sais pas, admis-je.

— Crois-moi : il n’y a rien de mieux que ça. Profites-en !

En prononçant ces derniers mots, il accéléra davantage et nous fit tourner sur la grande route qui nous ramenait en bas de High Valley.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:25:16+02:00

— On ira par étapes, poursuivit-il. La première semaine, tu me branles, et dans la seconde… on pourrait viser la bouche. Avec un peu de chance, tu voudras que je te déflore pour la fête de fin d’année…

Je blêmis devant son plan, puis secouai la tête.

— Sans façon.

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Extrait ajouté par carly359 2019-07-29T16:24:28+02:00

— Mais alors… on fera quoi ?

Son sourire m’effraya. Ce type avait déjà la sensation de gagner. Voilà qui ne me rassurait pas beaucoup ! Mais pourquoi est-ce que je ne fichais pas le camp de cet endroit avant de faire un truc complètement stupide ? Ma réputation ne valait pas autant, pas vrai ?

— Je viens te récupérer à ton école de snobinards, je t’embrasse et on se tripote gentiment devant tout le monde, puis je te ramène chez moi, où tu devras me branler jusqu’à ce que j’éjacule.

Je fermai les yeux devant l’odieuse proposition qu’il venait de me faire et tentai de chasser les images qui s’imposaient à moi. Je détestais ce langage cru ! Pourquoi ne prenait-il pas tout simplement l’argent ?

— Quoi ? À ton âge, tu n’as jamais branlé une queue ? me demanda-t-il, surpris.

— Ben… non, dus-je admettre, étrangement gênée de l’avouer.

— Bah ! Je te montrerai !

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