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Liste des extraits

Piria était immobile et essayait de ne pas regarder les cinq hommes restants. Mais elle n’y parvint pas, et elle s’aperçut qu’ils la dévisageaient.

— Tu lui as coupé les cheveux ? demanda un des hommes à Calliadès, un type de petite taille, au visage rond et au nez aplati. Par les dieux, déjà qu’elle était ordinaire avant, maintenant elle est carrément laide !

— Je la trouve dotée d’une grande beauté, dit Calliadès. Et un homme dont le visage ressemble à un cul de cochon devrait y réfléchir à deux fois avant de parler de laideur.

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- A t’écouter, tout serai si simple Gershom ! Mais c'est faux. J'ai été élevé, comme tous les fils de maisons nobles, dans la croyance que la famille et l'honneur sont plus important que tout. L'honneur exige la vengeance contre ceux qui se dressent contre un des nôtres.

- Il me semble, dit Gershom, que vous autres gens de la mer passez beaucoup trop de temps à parler d'honneur, mais une fois les grands mots envolés vous n'êtes pas différents de toutes les autres races. La famille ? Priam n'a-t-il pas fait tuer plusieurs de ses fils qui s'étaient révoltés ? Quand un roi meurt, ses fils ne se font-ils pas la guerre pour lui succéder ? Les gens parlent de la façon dont vous n'avez pas ordonne l’exécution de votre petit frère. Votre race aime le sang et la mort, Hélicon. Vos vaisseaux dont des raids sur les côtes d'autres nations, enlèvent des esclaves, pillent et brûlent. Les guerriers se vantent du nombre d'hommes qu'ils ont tués et du nombre de femmes qu'ils ont violées. Presque tous vos rois sont des hommes qui se sont emparés du trône de la même manière ! Alors, mettez de côté cette curieuse notion d'honneur.

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- Alors, laissez tomber. Un homme qui vous méprisait est mort. Un homme qu vous aime est vivant. Vos dieux comprendraient surement que vous renonciez à votre serment.

- Ils ne sont pas connus pou leur compréhension des dilemmes humains.

- Exact, dit Gershom. Ils préfèrent se déguiser en cygnes ou en taureaux et coucher avec des mortelles et des mortels, ou se disputer comme des gamins? Je n'ai jamais entendu parler d'immortels aussi irresponsables !

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Tous les ennemis de Troie étaient invités à un mariage. Et, durant leur séjour, ils seraient protégés par des soldats troyens, comme s'ils étaient des amis. Quel sens cela a-t-il ? se demanda-t-il. Les ennemis devaient être éliminés et leurs carcasses laissés sans sépulture. Mais non ! Ils amèneraient leurs suites, participeraient aux jeux nuptiaux, la course, le lancer, la lutte, les courses de chevaux. Et pour quelle récompense fabuleuse ces guerriers lutteraient-ils ? Pas les anneaux d'or, les trophées ou les ornements en argent. Pas les casques luxueux, les épées à la magnifique facture ou les boucliers étincelants.

Non, les guerriers se battraient pour obtenir les petites couronnes de feuilles d laurier rapportées des arbres qui poussaient au pied du mont Olympe, et placées sur la tête des vainqueurs.

Ils lutteraient, s'évertueraient et parfois mourraient pour quelques feuilles à moitié fanées...

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J'en ai bien peur, dit Ulysse. Ce sont tous des rois d'îles lointaines au-delà de Charybde et de Scylla. Chacun d'entre eux est venu sur l'île pour lui faire la cour. Pourtant leurs espoirs étaient vains, car la reine avait déjà donné son cœur à un séduisant marin, un homme doté de beaucoup de charmes, d'esprit et d'intelligence.

- Ah ! Toi, je suppose ?

Ulysse gloussa.

- Tu n'as pas reconnu la description ? Bien entendu, c'est moi !

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Je suis peut-être idiote, comme vous le pensez, de croire à l'honneur, à l'amitié et à la loyauté indéfectibles. Mais ce sont des vertus précieuses, car sans elles nous ne sommes pas mieux que des bêtes sauvages écumant la contrée.

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- J'avais un frère, dit le premier homme d'une voix tremblante. Il a été écorché vif. Et une sœur dont on a coupé la gorge parce qu'elle avait osé regardé le visage d'un prince égyptien. Mon père s'est fait couper les mains parce qu'il s'était plaint qu'il n'y avait pas assez de paille pour faire des briques.

- Et moi, j'avais un chien qui est tombé dans un trou, dit Gershom. C'était dommage, car j'aimais ce chien.

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Achille, ne s’étant pas aperçu du changement d’attitude de son adversaire, fonça vers lui. Hector avança, bloqua son direct du droit et flanqua un uppercut dans le ventre d’Achille. Les poumons du Thessalien se vidèrent de tout leur air. Puis un crochet du gauche s’abattit sur son front, déchirant la peau de son arcade sourcilière droite. Achille tenta de reculer, mais Hector le frappa d’un gauche féroce, puis d’un droit qui lui éclata les lèvres contre les dents. Achille essaya désespérément de passer sous la garde de son adversaire tout en se protégeant le visage de l’avant-bras. Un uppercut passa entre ses bras levés, et la tête d’Achille fut repoussée violemment en arrière. Il tituba, recula, mais il ne put échapper à la suite. Hector le suivit, frappant encore et encore son visage tuméfié et ensanglanté. Du sang coulait dans ses deux yeux, et Achille ne vit pas venir le coup qui termina le combat. Hector recula d’un pas, puis, de toute sa force, il frappa son adversaire d’un direct du droit explosif qui fit faire un tour complet au Thessalien avant qu’il s’affale, inconscient, dans la poussière.

Des acclamations montèrent de la foule. Hector se tourna et revint vers l’estrade, où il souleva la couronne de laurier. Puis il revint vers Achille et laissa tomber la couronne sur sa poitrine. Ensuite, il fit face à Ulysse et aux rois de l’Ouest. Quand les vivats se calmèrent, il désigna du doigt le héros déchu. Quand il parla, sa voix était froide comme la glace.

— Honneur au puissant Achille, dit-il. Honneur au Champion des jeux.

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