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Je regardais dans la mauvaise direction. Parce que les monstres n viennent pas toujours de l'obscurité. Parfois, ils se cachent en plein jour.
Afficher en entierJe fonctionne à la caféine et au déni.
Afficher en entierJe suis l’esclave de ce qu’il me fait ressentir.
Afficher en entierIl m’embrasse.
Il me ramène à la vie avant que je ne meure à nouveau dans ses bras.
Afficher en entierCet homme est mon tourmenteur, ma plus grande source de douleur et de peur. Mais d'une certaine manière, il est aussi devenu mon sanctuaire.
Afficher en entier-On devrait le savoir, depuis le temps, mon amour. Le destin à une façon bien à lui de nous surprendre.
Afficher en entier-Tu es toujours mon monstre, me dit-elle.
Je l'embrasse à nouveau, histoire qu'elle sache que je suis très sérieux, avant de répondre :
-Et toi, tu es à moi. Pour toujours.
Afficher en entierC'est un monstre. Un monstre à la fois chaud et glacial. Et je le désir, à tel point que ça me fait mal au plus profond de moi. Cet homme va mâle détruire, me démolir. Physiquement et mentalement. Je le sais. Et pourtant, je le supplie alors qu'il me pousse pour me mettre à genoux devant lui.
-Embrasse-moi.
Afficher en entierElle lève les yeux vers moi, indignée.
-Je n'écrirai plus. Tu n'aurais jamais dû lire ce journal.
-Alors, tu n'aurais pas dû le laisser trainer.
-Tu veux dire dans l'intimité de ma propre maison ?
-Ecris encore, répété-je. Sinon, j'écrirai l'histoire à ta place.
Afficher en entierSa bouche est avide et la mienne tout autant. Je le bois. Je le goûte. Et je bouge contre lui. Nous devenons frénétiques, oubliant tous les deux l’étendue de ses blessures jusqu’à ce que l’une de ses plaies se rouvre et qu’il se remette à saigner. Je propose d’arrêter et me répands en excuses, mais Javi me retient les hanches et me force à continuer. — J’aime ça, me dit-il. La douleur. Il aime la douleur. Ça m’inquiète autant que ça m’excite. Ça me donne envie de lui faire mal et de lui donner du plaisir en même temps. Mais Javi a le contrôle, maintenant, en dépit de sa position. Il attrape mes hanches et force mes mouvements. Il m’utilise, produisant la chaleur et la friction dont il a tant besoin. À nouveau, je suis prisonnière dans ses bras. Et pourtant, je suis libre. Libre de mes désirs sordides. Je me penche en arrière et presse ma main contre son entaille, exerçant une pression. Trop de pression. Je lui donne la douleur qu’il réclame, puis je m’écarte. Ses yeux s’assombrissent lorsqu’il voit son sang sur ma peau. Il retrouve toute sa sauvagerie. Saisissant ma paume ensanglantée, il l’étale entre mes seins, me marquant de son sang. Je gémis, et enfin, il jouit. Pendant ce qui semble être une éternité, comme si son corps se purgeait de la douleur qui l’habite. Il m’embrasse une dernière
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