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Commentaire ajouté par LilyChagnon 2021-07-01T16:09:12+02:00
Or

Avant de commencer, une petite précision qui m’a été rappelée il y a une demi-heure et dont je n’aurais de toute façon pas tenu compte, à quoi bon me donner quelque chose à lire si c’est pour ne pas le lire! Bref, il n’est pas nécessaire de lire la première partie du livre pour lire la seconde. En quoi est-ce important? Soyons honnêtes… Le début est plutôt aride. N’en déplaise à cet adjectif très bien choisi et plutôt péjoratif, il ne doit pas être pris de manière négative. Le récit factuel de la création de Vandi’a n’a rien de très enlevant, je dois le reconnaître. Cela étant, il n’est pas non plus censé l’être. L’auteur en est conscient, sinon il n’aurait pas mis cet avertissement. Il n’est pas pour autant inintéressant, bien au contraire. Cette première partie de Vandi’a : l’Origine de Markus Charret est très bien faite. C’est passionnant de voir comment il a construit son univers, de découvrir tout ce qui sous-tendra la suite. Ça n’en reste pas moins une lecture qui s’apprécie à petite dose.

Entre cela et le temps qu’il fallait à la seconde partie pour se mettre en place, au moins le quart du livre était passé avant que je n’arrive vraiment à y accrocher. Un peu long? Oui. Mais… J’ai beau retourner cela en tous les sens, c’est ainsi qu’il est conçu et vouloir le changer ne lui rendrait pas service. Il est très bien tel qu’il est. Toutes les hypothèses issues de mon petit cerveau torturé en sont venues à la même conclusion, elles ne l’amélioreraient pas. Alors à quoi bon essayer? Pourquoi ne pas plutôt prendre le temps de se laisser raconter une jolie histoire?

Car sur ce point, Markus Charret est plutôt doué. Il a une belle plume, agréable à lire et très poétique. La description de ses décors nous donnerait davantage l’impression qu’il nous peint un tableau et il sait très bien nous faire ressentir les émotions de ses personnages.

Des personnages fort attachants au demeurant. Ils sont complexes. Courageux et effrayés. Faibles et forts. Déterminés et hésitants. Humains et surtout crédibles. Avec chacun une personnalité propre bien campée qu’on prend plaisir à découvrir.

Jusque-là, ce n’est pas si mal, n’est-ce pas? Je ne dirai pas le contraire. Sauf que… Il est une vérité universelle. On ne peut pas plaire à tout le monde. Dans la même ligne d’idées, aucun livre n’est pour tout le monde. Certains, celui-ci en l’occurrence, plus que d’autres. Je vais briser le suspense, personnellement, je l’ai trouvé excellent. J’ai davantage de bonnes choses à dire que de mauvaises. Je n’en suis pas moins lucide. Si vous aimez les histoires avec de l’action sans relâche, des combats sans fin et un rythme effréné, passez votre tour. Vandi’a : l’Origine de Markus Charret ne sera pas pour vous et le commentaire que vous pourriez en faire ne rendrait pas justice au très bon travail qu’a fait l’auteur.

Par contre, si vous avez envie de vous faire raconter une jolie histoire, de prendre le temps d’apprécier le voyage, vous pourriez l’aimer. D’ailleurs le terme voyage est bien choisi, puisqu’à la base ça en est un pour rejoindre le but de la quête que Garman et Évéal se sont fixé. Un voyage qui se veut également initiatique pour Garman et le plongera dans les méandres de secrets teintés d’intrigues politiques. Entre déboires, malheurs et heureuses rencontres, il en apprend autant sur lui-même que sur le monde qui l’entoure. Comme quoi, il s’en passe tout de même des choses.

En résumé, si le synopsis et ce que je dis de Vandi’a : l’Origine de Markus Charret vous a donné envie d’en savoir davantage, n’hésitez pas. En tout cas, pour moi, ce fut une belle découverte.

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Commentaire ajouté par Shury 2021-01-16T12:50:46+01:00

Il y a deux parties dans ce roman. L’auteur précise qu’il n’est pas obligatoire de lire la première partie pour comprendre la seconde. Dans celle-ci, on met en place l’univers de l’auteur. Un peu comme si on assistait au big bang ou alors à la création du monde dans la Bible en sept jours. Ici, on voit la création de ce monde d’où se déroule Ao. Au départ, j’ai pris cette partie comme une explication de l’univers.

La seconde partie raconte l’histoire des héros et de leurs quêtes. C’est le héros qui le raconte. Donc on se place comme une personne qui trouverai un manuscrit ou un journal intime romancé. On suit la vie de chaque personnage par le biais d’une histoire racontée. On le remarque surtout par l’absence de dialogues. J’ai trouvé cette partie assez longue. Comme il n’y a pas vraiment de rebondissements ou d’actions. C’est comme une promenade dans le récit.

Il faut le prendre comme un récit contemplatif. C’est ce que j’ai fait après quelques pages d’incompréhension. Je m’attendais à quelque chose qui bouge mais après avoir compris cela, on se laisse porter. Pourtant, l’auteur m’avait prévenu. Mais on se fait toujours des idées soi-même. J’ai aimé le lire mais lentement n’ayant pas l’habitude de ce genre de récit. Il faut prendre son temps pour l’apprécier.

https://shurylecture.com/2021/01/16/fantsy-vandia-tome-1-lorigine/

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Commentaire ajouté par Gorneval 2021-04-21T19:35:26+02:00

Je suis tombé dans Vandi’a un peu par hasard. J’en conviens bien volontiers. En tant qu’adepte de romans policiers et de Fantasy, je n’ai d’ailleurs pas saisi immédiatement de quoi il retournait vraiment. J’ai compris cependant assez rapidement que quelque chose de grand se dessinait au fil des pages.

Et puis elles ont défilé, ces pages … de plus en plus vite ! Je me suis alors laissé conquérir par ses mots si bien choisis, ses tournures nouvelles et l’intelligence de son humour. Sa force tranquille a ainsi capté mon attention jusqu’à la dernière page avec un plaisir toujours croissant.

Certes le récit prend son temps et ne conviendra sans doute pas aux adeptes d’action à tout crin (quoique ?).

Vandi’a est un voyage. Un voyage qu’apprécieront celles et ceux qui ne planifient pas leur vacances, ceux qui aiment flâner, sans plan, dans les rues d’une ville inconnue ou encore ceux qui aiment, comme moi, ne pas connaitre leur destination.

Vandi’a est une promesse. Celle d’un bon moment qui s’étire et qu’on voudrait qui jamais ne s’arrête.

Mais Vandi’a ne se révèle qu’à ceux qui lui donnent sa chance.

En serez vous ?

Personnellement je n’attend que la suite pour me replonger tout à la fois dans son univers unique et dans la folie de ses mots qui m’ont fait rêver.

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Bronze

Après un mois de silence pour cause de lecture d’un beau pavé de sept cents pages, me voici de retour pour vous partager ma chronique. Vandi’a : l’Origine séduira les adeptes de fantasy et de cosmogénèse. Si, comme moi, vous ne connaissiez pas cette dernière catégorie littéraire, laissez-moi vous l’expliquer brièvement.

La première partie de Vandi’a : l’Origine narre la création du monde Vandi’a. Et quand je vous parle de « création », attendez-vous à voir éclore ce monde, et bien, bien avant lui, les entités primitives du cosmos. Vous l’aurez compris, c’est la genèse même de son monde que Markus Charret rapporte dans cette partie.

Ces quelques centaines de pages sont ainsi racontées comme une sorte de conte avec beaucoup de descriptions (imagées ou nébuleuses, en fonction du moment). Intéressant, parfois avec quelques longueurs, cette cosmogénèse peut se lire indépendamment du récit purement fantasy. Elle sert notamment à comprendre la quête des personnages principaux, ou plutôt, son but ultime : révéler au monde ce que le lecteur ou la lectrice découvre en premier lieu. Fait original pour moi qui lit pas mal de fantasy : j’ai apprécié connaître l’entièreté de cette quête, la raison qui pousse Garman et Evéal a enduré toutes ces épreuves.

Cette cosmogénèse n’est ainsi pas obligatoire à lire (si vous n’accrochez pas, vous pourrez sans problème la sauter pour lire la deuxième partie qui elle, est un récit de fantasy), mais elle offre sans conteste un bonus pour comprendre les « dessous » de la quête des héros.

Cette fameuse quête, donc, quelle est-elle ? Vandi’a : l’Origine, nous parle ni plus ni moins que de la naissance d’une foi. Evéal, le maître spirituel de Garman, reçoit l’Illumination de la part des Dieux et est désigné pour découvrir la Vérité (celle sur les origines de son monde et de ses peuplades.) Garman, qui raconte l’histoire, est lui aussi un élu, mais avec une autre mission (que je vous laisse découvrir.) Ces deux compagnons entament ainsi leur quête spirituelle en suivant une unique direction et… advienne que pourra !

C’est ainsi que les péripéties font leur entrée. Elles apparaissent plus comme appartenant à leur chemin de vie que comme de réels retournements de situation, ce qui m’a beaucoup plu ! Garman et Évéal en bavent, ils vivent des évènements très difficiles, parfois plus doux, mais toujours, leur foi en Ao reste intacte (quoique plus ou moins oubliée pour Garman à certains instants, ce qui offre au récit une dimension « réelle » appréciable.) C’est ainsi que leur voyage se déroule, le destin les guidant et les surprenant tout autant que le lecteur !

Les descriptions, une fois de plus, sont remarquables quoique parfois un peu longues pour moi. Les décors sont dressés dans leurs fidèles détails, sans pour autant devenir soporifiques, rassurez-vous !

La plume de Markus Charret est très, très riche. Les tournures de phrases, le vocabulaire font appartenir Vandi’a : l’Origine au langage soutenu. L’ensemble est agréable à lire, malgré quelques fautes ici où là qui ne gêne pas la lecture. Le message écologique se révèle puissant (un point que j’aime particulièrement quel que soit le récit) et le côté spirituel, avec lequel nous pouvons parfois faire le parallèle avec la religion, reste axé sur le respect de la Vie. Il est d’ailleurs intéressant de noter l’évolution de la foi d’Ao sur l’ensemble de la population. (Je n’en dis pas plus, mais, une fois de plus, j’ai trouvé les derniers chapitres assez réalistes.)

L’univers entièrement construit, avec son propre vocabulaire, s’adresse aux fans de fantasy qui ont l’habitude de lire ce type d’histoire. C’est un avis très personnel, évidemment, mais l’univers pourra paraître (trop) complexe aux novices et ainsi les décourager. Ce qui serait bien dommage, car Vandi’a : l’Origine est un excellent bouquin !

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