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Il mesurait facilement plus d’un mètre quatre-vingt dix et il avait de larges épaules qui pouvaient sûrement supporter le poids d’une montagne. Un uniforme de shérif recouvrait son corps musclé et le mettait en valeur.

Déglutissant péniblement, Seth s’avança jusqu’à lui avec un léger sourire sur le visage.

— Est-ce qu’il y a quelque chose que je puisse faire pour vous aider ?

Instantanément, un regard hostile s’installa dans les yeux sombres qui le dévisageaient.

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— Es-tu certain que le fait de guérir ne provoque pas de dommages à ton corps ?

— Je suis un loup-garou, shérif. J’ai la capacité de guérir rapidement et nous ne tombons pas malade, donc je doute que cela ne me fasse plus mal qu’une session intensive devant un trône blanc et une massive gueule de bois après.

Seth essaya de se mettre debout mais se ravisa et s’adossa précautionneusement contre le divan.

— Kasey, insista le shérif.

— Quoi ? fit Seth d’un air confus.

Kasey repoussa la chaise vers le bureau du vétérinaire et relâcha lentement le bord du bureau pour se diriger vers le canapé.

— Mon nom est Kasey.

Seth déglutit avec difficulté à la tonalité rauque et devant la lueur étrange qui étincelait dans les yeux sombres. Kasey se laissa tomber sur le canapé à côté de lui, levant une main pour effleurer le visage de Seth.

— Tu continues de m’appeler shérif, expliqua-t-il comme Seth le regardait toujours confus.

Appelle-moi Kasey.

Il vit Seth hocher la tête. La pointe de sa petite langue rose glissa sur ses lèvres parfaites et attira son regard. Il fut presque choqué de ses pensées. Lèvres parfaites ? Il pouvait sentir la chaleur provenant du corps de Seth et savait que sa proximité affectait l’autre mâle.

— Dis mon nom, murmura-t-il d’une voix soyeuse, son souffle balayant ses mêmes lèvres roses.

Seth prononça son nom dans un soupir une fraction de seconde avant que la bouche de Kasey ne réclame la sienne. Sa main glissa sur la nuque de Seth, n’exerçant aucune pression, essayant de ne pas effrayer son compagnon capricieux. Kasey suivit la ligne des lèvres de Seth, demandant l’accès à la cavité chaude. Les lèvres de Seth se séparèrent alors que le vétérinaire émettait un petit bruit de gorge et la langue de Kasey envahit immédiatement la bouche entrouverte. Un sourd gémissement sortit de sa gorge. Seth avait le goût du soleil et de la cannelle, avec un parfum musqué de pluie qui se cramponnait à la terre après un orage. Le sexe de Kasey durcit, lui criant de prendre son compagnon.

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« Il serait tombé si Kasey ne l’avait pas soutenu.

— Ca va aller, chiot. Je te tiens.

La chaleur de Kasey et sa voix aussi douce que le miel se déversèrent en lui. Il n’avait pas la force de lutter contre lui, de le repousser, alors qu’il gisait passablement étourdi entre ses bras.

— Peux-tu te relever ? demanda Kasey gentiment.

— Non, croassa-t-il.

Seth émit une légère protestation choquée lorsqu’il se retrouva soudain soulevé dans les bras de Kasey qui le porta jusqu'à son bureau. Il le posa sur le petit divan situé sous la seule fenêtre de la pièce. Le shérif repoussa une mèche de cheveux du visage trempé de sueur de Seth. »

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Il y a dans le coeur de chaque vraie femme une étincelle de feu céleste qui se trouve inerte en pleine lumière un jour de prospérité; mais qui rallume ses rayons et ses flammes dans les heures sombres de l'adversité.

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— Je ne comprends pas pourquoi tu ne peux pas le sentir, chiot, mais c’est la vérité. Bien tangible et réelle, insista Kasey. Certains d’entre nous recherchent leur vrai compagnon sans jamais le trouver. Je vais te montrer ce que nous sommes censés être.

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- De toute façon, cela n’a pas d’importance shérif, dit-il d’une voix dépourvue d’émotion.

Maintenant, s’il te plaît, laisse-moi tranquille.

- Je ne peux pas faire ça, dit Kasey d’une voix rauque. Mon père aimerait te rencontrer. En tant que loup étranger sur le territoire de notre meute, même si tu ne fais pas partie de celle-ci, les autres membres vont tenter de te forcer à quitter les lieux s’ils savent que tu es ici.

Seth voulut crier. Il était si sûr que cet endroit serait parfait pour lui. Un endroit où il pourrait vivre sans avoir peur, sans la douleur qui accompagnait chacun de ses pas. Apparemment il avait eu tort.

- Très bien. Donne-moi quelques semaines pour mettre mes affaires en ordre et je partirai, déclara-t-il finalement.

Un regard paniqué passa sur le visage du shérif.

- Non !

La main de Kasey jaillit et encercla le poignet de Seth et le vétérinaire frémit sous la force de cette main.

- Tu ne peux pas partir. Seth, je...

Un grognement monta de la gorge du shérif lorsque le téléphone de Seth se mit à sonner.

- Ignore-le, demanda-t-il.

Seth le regarda et décrocha délibérément.

- Oui Chessie ?

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« Kasey était en colère, mais pas après son compagnon. Il était furieux après la personne qui avait blessé son chiot. Sa main palpitait, mais les traces des dents avaient déjà commencé à s’estomper. L’air abattu du loup noir lui fit mal au cœur. Il savait, sans aucun doute, que quelqu’un avait abusé de lui. Il jura violemment puis se réprimanda lorsqu’il vit que le loup ne bronchait pas. Il reprit immédiatement le contrôle de lui-même.

— Je ne suis pas en colère contre toi, chiot. J’en veux à celui qui t’a si mal traité. Tu ne m’aurais jamais blessé si tu n’avais pas fait de cauchemar. Sa voix était assurée et sincère. Tu vois ? Ma main va très bien. Je sais que tu ne m’aurais jamais blessé volontairement. Viens te recoucher.

Sa main caressa le lit à côté de lui alors que le loup noir le regardait avec méfiance. La mâchoire de Kasey se crispa à la vue de la lueur de méfiance dans les yeux bleus qu’il était déjà venu à aimer. Il était vraiment impatient de voir son compagnon sous sa forme humaine. Il était certain que l’autre mâle aurait une personnalité en rapport avec celle que son loup lui montrait déjà. Avec un sourire désarmant, il tapota le lit.

— S’il te plaît ? »

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Il se sentait abandonné. Nos loups sont entrelacés l’un avec l’autre. Tu es l’autre moitié de mon âme, Seth tout comme je suis à toi.

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La seule chose qui le troublait encore, c’était sa couleur de peau. La raison pour laquelle il avait toujours méprisé les hommes blancs, n’était pas tant à cause de la façon dont ils avaient traité ses ancêtres, ce qui aurait été une raison très valable, mais parce qu’ils ne se souciaient pas des autres êtres vivants. L’argent. Ils détruisaient des forêts et des terres qui renfermaient les habitats naturels des animaux pour l’amour de l’argent, par cupidité et au nom du progrès. Au rythme où ils allaient, il ne resterait plus rien de sauvage sur terre d’ici un millénaire.

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Apprends à juger avec tes yeux, ton esprit et ton cœur. Seuls les trois ensembles peuvent te permettre d’émettre un jugement équitable.

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