Marc Lavoine

e connaissais Marc Lavoine acteur, chanteur,et j'apprécie l'image que nous renvoie cette personne publique, aussi c'est avec beaucoup de curiosité que je me lancée dans la lecture de ce roman

Pour autant je reste assez décontenancée, d'un coté il se dit qu'il s'agit d'un roman inspiré de son enfance dans lequel l'auteur se livre avec beaucoup de pudeur et de l'autre qu'il s'agit d'un récit "basé sur une histoire fausse"

le tout étant assez troublant. Il me semble toutefois que Marc Lavoine nous entraine dans son enfance , dans une histoire émouvante,et touchante.

Issu d'un milieu modeste,avec un père militant mythomane,flamboyant et drôlement cavaleur, gonflé au point rendre ses garçons complices de ses relations adultérines ( quelle horreur), de ces pères que quoi qu'ils fassent aux quels on peut tout pardonner par amour. Enfin presque

Heureusement que l'auteur fait la part belle à sa mère , parce que s'en serait presque choquant. Toutefois le talent inné du père, qui semblait posséder un charisme effrayant fait passer la pilule.

Peut être le tout est il un peu exagéré , enfin je souhaite le croire , car vu de l’extérieur, Lulu le tombeur de ses dames ne m'est guère sympathique.

le style narratif est également assez déconcertant, alternant coté chronologique et coté actuel dans lequel l'auteur s'adresse directement à ses parents.

Toutefois la plume de l'auteur est très belle, très poétique,avec quelques petites pointes d'humour, ce qui rend le tout très aisée et agréable à lire malgré le style narratif auquel je fait allusion.

C'est un vibrant hommage à sa famille , de son père à sa mère , en passant par les grands parents, et son très protecteur frère.

Une famille qui a fait de lui ce qu'il est, une homme sensible et qui prône les valeurs familiales.

peut être cette autobiographie lui a t elle permis de se trouver lui même et de déculpabiliser

Une lecture avec un avis assez mitigé, j'ai aimé oui mais pas plus que çà ,

j'ai lu ce livre avec avidité. Emporter par les mots de Marc, sincères, chauds et émouvants.

Rien à dire sauf à conseiller

Marc Lavoine a eu certainement besoin de raconter son père dans cette biographie, pour régler des comptes. Car il éprouve des sentiments mêlés vis à vis de lui. Ce livre vient pour reparer tout cela, enfin c est le sentiment que j'ai eu pendant toute ma lecture. J'ai meme ete presque gênée d'être là à écouter ses dialogues intimes avec son père où il s 'adressait directement à lui par l'emploi du prononcé "tu" J'espère qu'il a trouvé une paix intérieure. Ce livre nous plonge dans une France communiste, d'alcool, des campings, des vacances dans le sud ouest, de la sexualité permise... bref, un peu loin de ma France à moi dans les îles, mais très instructive bien que très intimiste.

Tu étais un homme à femmes, tes copains ne se gênaient pas non plus et ne se mouchaient du pied. A la fête de l'Huma par exemple, le stand CGT PTT Paris 14 devenait le soir un hôtel de passe, à même le sol.

J'ai beaucoup apprécie la plume de Marc Lavoine, sa façon de s'amuser avec les mots.

ce livre est une belle déclaration d'amour à ses parents et à son frère il se dégage beaucoup d'émotion de ce texte

L'homme qui ment, c'est "Lulu", Lucien Lavoine, camarade du PCF et employé aux PTT, père charismatique et volage de Marc, l'auteur.

Entre souvenirs d'enfance et chronique sociale des années 70 et 80, exagérant ici et ajoutant là, peut-être, on ne sait pas, Marc Lavoine nous trimballe sur le fil d'une langue de banlieue, pas celle des wesh d'aujourd'hui, plutôt celle des titis encore un peu campagnards.

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce livre. Marc Lavoine passe de la description à l'apostrophe, de la métaphore astucieuse au détail redondant. Au fur et à mesure de ma lecture, je me suis habituée aux effets littéraires utilisés, parfois à outrance, jusqu'à la banalité de certaines tournures qui peuvent paraître poétiques mais qui m'ont semblé maladroites ou banales. J'ai surtout peiné à ressentir les émotions que le narrateur prétend éprouver au sujet de Lulu, cette fascination qui pardonne et qui empêche le rejet. Lulu est un traître, Lulu embarque ses garçons dans ses mensonges, Lulu entraîne sa femme dans la dépression et l'aigreur ; et son fils a beau répéter qu'au fond, il ne lui en veut pas, les mots accusent, trainent dans la boue et salissent.

Ce livre est une thérapie à laquelle nous sommes invités à assister. Fondée sur le mensonge du père, elle réplique par le mensonge du fils, celui qui ne pardonne pas vraiment.

A lire au fond d'un PMU.

Je connaissais Marc Lavoine comme chanteur et comédien.

Sa musique n'est pas de celle que j'écoute mais je l'ai toujours trouvé sympathique, généreux et engagé.

Bien qu'il est déjà publié un livre, un recueil de textes écrit par de jeunes autistes, je ne connaissais pas son style d'écriture.

J'ai donc acheté ce livre sans savoir vraiment à quoi m'attendre et je n'ai vraiment pas été déçue .

Dans ce livre, Marc Lavoine nous livre une partie de sa vie et de sa jeunesse. Mais ce livre n'est pas centré sur lui, le vrai personnage principal de ce livre est son père, Lucien, travailleur aux PTT, communiste engagé mais surtout homme à femmes.

Son père ne peut se contenter d'une seule femme ,il aime les femmes et ne s'en cache pas vraiment ( à part à sa femme), ses fils sont d'ailleurs les complices involontaires des errances amoureuses de leur père.

Mais là où l'on pourrait s'attendre à ce que Marc Lavoine juge son père et lui fasse porter le chapeau de certaines de ses souffrances, il n'en ai absolument pas le cas ici.

Ce texte est celui d'un fils qui ai profondément son père, qui ne le juge pas et qui a pardonné à son père toutes ces histoires.

Ce roman est un roman sincère, tendre et bienveillant sur la famille et l'amour filial.

Marc Lavoine a un vrai talent d'auteur et j'ai déjà hâte de vouloir lire son prochain ouvrage.

Il y a des bouquins, qui même s’ils te font de l’œil, tu n’en attends pas grand chose. Tu te balades en librairie, tu passes une fois devant, tu lis la 4ème de couverture, tu es tentée, mais tu le reposes. Et puis le lendemain, tu repasses une 2ème fois devant ce livre, et puis finalement, tu te dis « pourquoi pas », sans grandes attentes.

C’est finalement comme cela que se produisent les agréables surprises.

Marc Lavoine a toujours su éveiller en moi, ma mini part de midinette, ses chansons je les aime, j’aime l’homme, et son physique -soyons honnête- Mais, aussi doué soit-il qu’il pour la musique, je me demandais si le charme allait opérer de la même façon, avec son livre « l’homme qui ment ».

Dans celui-ci, Marc Lavoine se livre à nous, et nous découvrons une partie de sa vie et de sa jeunesse. « L’homme qui ment » fait référence à son père, Lucien, communiste engagé, travailleurs aux PTT, et surtout… Grand amoureux des femmes.

Marc et son frère subissent malgré eux, l’amour de leur père pour les femmes, et se trouvent dans la confidence à chaque fois. On y trouve une certaine souffrance chez l’enfant qu’est Marc à l’époque, mais celui-ci, n’arrive pas à en vouloir à son père si charismatique. Ainsi, Marc ne cessera jamais d’aimer son père, bien que celui-ci ait fait du mal à sa mère.

Véritable coup de Coeur, Marc Lavoine nous offre un récit intime tout en délicatesse et avec une certaine pudeur. Une nouvelle fois, l’auteur nous prouve son talent des mots.

J'attendais beaucoup plus de ce livre. Ce que nous raconte Marc Lavoine en 200 pages pourrait tenir en un chapitre. Je me suis plutôt ennuyée en lisant, bref une déception.

Un bel hommage à sa famille en général et à son père en particulier, mais aussi à l'enfant et l'adolescent qu'il était à cette époque-là . Un peu décousu parfois mais très joliment écrit, l'auteur nous dévoile très intimement mais très pudiquement son histoire. Un joli moment passé à lire cette tranche de vie.