Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
William Saroyan est un écrivain arméno–américain, auteur de nombreuses pièces de théâtre et de nouvelles basées sur son expérience de fils d’immigrants arméniens. En 1921, il suit les cours de l’Ecole Technique pour apprendre la typographie. A l’âge de 15 ans, il quitte l’école. Sa mère lui a montré des écrits de son père, et il décide de devenir écrivain.
Saroyan continue son éducation tout seul, par des lectures et des écrits, et en vivant de petits boulots. A la Compagnie du Télégraphe de San Francisco, il est chef de service. Quelques-uns de ses premiers articles paraissent dans The Overland Monthly. Ses premières nouvelles commencent à apparaître dans les années 1930.
Comme écrivain, Saroyan fait sa percée dans le Story Magazine, avec « Le Jeune homme au trapèze volant » (1934), le titre d’une chanson connue. Un grand nombre des ses nouvelles sont basées sur son enfance, sa vie parmi les exploitants fruitiers américano-arméniens de la San Joaquin Valley, ou traitent de l’absence de racines de l’immigré. Le recueil de nouvelles « Mon Nom est Aram » (1940) un best-seller international.
Comme auteur de théâtre, ses œuvres sont tirées de sources très personnelles.« Mon Cœur dans les montagnes » (1939), sa première pièce, est une comédie mettant en scène un jeune garçon et sa famille arménienne.
« La Comédie Humaine » (1943) se passe à Ithaca, dans la San Joaquin Valley de Californie, où le jeune Homer, petit télégraphiste, est le témoin des peines et des joies des habitants d’une petite bourgade pendant la Seconde Guerre mondiale. Le récit fut acheté par la MGM, et améliora la situation financière bancale de Saroyan. La fin sentimentale de ce film vainqueur des Oscars, avec pour interprètes Mickey Rooney et Frank Morgan, a été considérée comme « la scène la plus gênante de toute l’histoire du cinéma ».
Saroyan travaillait rapidement, sans beaucoup corriger ses textes. Une grande partie de son argent est employée à boire et à jouer. À partir de 1958 il vit à Paris, où il a un appartement. Dans les années 1960–1970, Saroyan arrive toutefois à régler ses dettes et à se procurer des revenus substantiels. À l’âge de 72 ans, il meurt en 1981 d’un cancer, dans sa ville natale de Fresno.
Peu convaincue au début du roman, je suis finalement tombée sous le charme de ce récit atypique et poétique, très profond sous les mots simples. J’ai été touchée par ce père – pas si fou – qui tente de transmettre l’essentiel à son fils. Un très beau moment de lecture.
Biographie
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Fresno, Californie , le 13/08/1908
Mort(e) à : Fesno, Californie , le 18/05/1981
Biographie :
William Saroyan est un écrivain arméno–américain, auteur de nombreuses pièces de théâtre et de nouvelles basées sur son expérience de fils d’immigrants arméniens. En 1921, il suit les cours de l’Ecole Technique pour apprendre la typographie. A l’âge de 15 ans, il quitte l’école. Sa mère lui a montré des écrits de son père, et il décide de devenir écrivain.
Saroyan continue son éducation tout seul, par des lectures et des écrits, et en vivant de petits boulots. A la Compagnie du Télégraphe de San Francisco, il est chef de service. Quelques-uns de ses premiers articles paraissent dans The Overland Monthly. Ses premières nouvelles commencent à apparaître dans les années 1930.
Comme écrivain, Saroyan fait sa percée dans le Story Magazine, avec « Le Jeune homme au trapèze volant » (1934), le titre d’une chanson connue. Un grand nombre des ses nouvelles sont basées sur son enfance, sa vie parmi les exploitants fruitiers américano-arméniens de la San Joaquin Valley, ou traitent de l’absence de racines de l’immigré. Le recueil de nouvelles « Mon Nom est Aram » (1940) un best-seller international.
Comme auteur de théâtre, ses œuvres sont tirées de sources très personnelles.« Mon Cœur dans les montagnes » (1939), sa première pièce, est une comédie mettant en scène un jeune garçon et sa famille arménienne.
« La Comédie Humaine » (1943) se passe à Ithaca, dans la San Joaquin Valley de Californie, où le jeune Homer, petit télégraphiste, est le témoin des peines et des joies des habitants d’une petite bourgade pendant la Seconde Guerre mondiale. Le récit fut acheté par la MGM, et améliora la situation financière bancale de Saroyan. La fin sentimentale de ce film vainqueur des Oscars, avec pour interprètes Mickey Rooney et Frank Morgan, a été considérée comme « la scène la plus gênante de toute l’histoire du cinéma ».
Saroyan travaillait rapidement, sans beaucoup corriger ses textes. Une grande partie de son argent est employée à boire et à jouer. À partir de 1958 il vit à Paris, où il a un appartement. Dans les années 1960–1970, Saroyan arrive toutefois à régler ses dettes et à se procurer des revenus substantiels. À l’âge de 72 ans, il meurt en 1981 d’un cancer, dans sa ville natale de Fresno.
Afficher en entier