Guillaume Vigneault

J'ai lu ce livre pour mon cours de français. Ce n'est pas ma lecture préférée.

La première moitié du livre, environ, était assez déprimante. Mais le reste était «correct». C'était bien, mais sans plus.

Il y avait bien ici et là certaines références amusantes, ce qui était très bien en fait.

Je ne pense pas que ce livre va laisser une très grande trace dans ma mémoire.

Malgré tout, j'ai plus apprécié ce livre que Carnet de naufrage, l'autre roman de Guillaume Vigneault.

J'ai lu ce livre pour mon cours de français. Je ne l'ai pas particulièrement apprécié, mais pas détesté non plus. Il était correct, sans plus. Pourquoi? Peut-être est-ce que c'était le personnage d'Alex, où les actions, les évènements. Peut-être était-ce également la trop grande ressemblance avec son autre roman que j'ai également lu pour même cours de français.

Bref, ce livre ne mérite pas d'atterir dans ma liste de « Je n'ai pas apprécié ». Mais ce n'était définitivement pas mon genre de roman.

Si vous vous lancez dans sa lecture, assurez-vous que vous aimez ce genre. C'est mon seul conseil.

J'ai trouvé que cette histoire était très réaliste et qu'elle dressait bien le portrait de la société et d'un personnage avec qui on se découvre des afinités. Même moi en lisant je venais à me questionner, aussi étrange cela puisse-t-il paraître. Parce que ce livre, c'est le tourbillon de la vie, qui déferle toujours et encore, c'est des gestes, de la remise en question, des idées, des rêves perdus... C'est très bien écrit et nuancé. Bref, pas super extraordinnaire, mais lecture agréable.

Lu pour le cours de français, je n'ai pas particulièrement aimé ce livre, mais je ne l'ai pas hais non plus. L'histoire se concentre surtout sur la psychologie du personnage, ce que j'aime moins dans les romans d'habitude.

C'est une lecture assez simple (et très québécoise).... L'histoire est plutôt déprimante et triste (pas très gai), mais j'ai bien aimé le style d'écriture de l'auteur!!!!

beaucoup de gens ont lu ce livre et l'ont détester mais moi je l'ai adoré!! Il n'y aucun suspense dans ce livre cest vraiment un livre "descriptif" sur la vie du personnage principal; Alexandre. Il tombe dans une dépression et on peut tout a fais comprendre ses sensations. wow vraiment bon

Après un début lent dans lequel j'ai eu du mal à me plonger, l'histoire s'est révélée de plus en plus intéressante du moment où Nuna est apparu. Ce livre est plein de beaux passages et l'écriture en général m'a plu. Pourtant, j'ai l'impression d'être passée à côté de ce que l'auteur a voulu communiquer et Jack reste un peu un mystère pour moi. Pas le livre du siècle, mais malgré tout une lecture agréable.

Chercher le vent par Guillaume Vigneault

Novembre 2015

2,5/5

*Lecture obligatoire pour mon cours de français*

Oh surprise, un autre roman de la route à analyser pour le cours de français! Je commence à en avoir marre des romans de la route moi… Mais bon, je suis ici pour critiquer le livre, pas le système scolaire québécois. Déjà j’ai beaucoup mieux aimé Chercher le vent que 178 secondes (Katia Canciani) dans le même genre. Les personnages de CLV sont détestables, un parfait exemple de ce que c’est être un anti-héros. Jack est le personnage le plus cynique, pessimiste, désagréable et baveux que j’ai eu l’occasion de suivre à travers les pages, à l’exception peut-être de son beau-frère, Tristan. Ils sont parfaitement haïssables, c’était voulu. On ne peut pas renaître des cendres sans avoir heurter le fond. Je les déteste tous les deux. Je comprends la belle métaphore, mais très peu pour moi les gens qui s’affaisse sur leur malheur. Lorsque Jack commence à mieux aller, déjà le roman s’améliore, mais il reste arrogant et lâche. Certains diront que cela le rend «humain», mais si Être Humain veut dire ne jamais faire le premier pas vers le futur, je pense que je suis une extraterrestre. Par contre l’écriture ne m’a pas plus du tout. Guillaume Vigneault fait honneur à son père, Gilles Vigneault, célébrité de la chanson et de la poésie québécoise, en écrivant un livre qui se lit presque en prose. Des phrases très courtes, bourrées de sous-entendus. Tellement de légères références aux événements que si l’on manque un détail, on manque un gros bout de l’histoire ou des prochaines péripéties. Autrement dit, à moins d’être 100% investi dans la lecture, vous allez en manquer des bouts. Évidemment on retrouve toutes les caractéristiques typiques des romans de la route, incluant celles qui sont tellement typiques que s’est exaspérant. L’eau, l’abandon, une vielle femme qui le remet sur le droit chemin, l’amour nouveau etc. Rien d’original au fond. Malgré tout il y avait de bons et beaux moments surtout vers la fin, et j’ai aimé analysé ce livre en classe.

Certaines nouvelles sont excellentes, d'autres moins bonnes. La qualité n'est pas la même pour tous les auteurs de ce recueil. Intéressant à lire si vous appréciez ces auteurs québécois.

Jacques, dit Jack, est le narrateur de ce récit. Il vit dans un chalet au bord d’un lac, loin de tout, dans une solitude et une léthargie qui ne l’ont pas quitté depuis qu’il est célibataire. Avec Tristan, qui est resté un ami après avoir été un beau-frère, il se retrouve sur la route, au volant de sa Buick bleue, comme fuyant quelque chose, quelqu’un, lui-même peut-être. Au fil du récit, on comprend qu’il a vécu une rupture douloureuse, conclusion d’une vie de couple devenue difficile suite à un accident. S’enfermant dans la solitude, en lui-même, leur route va croiser celle d’une jeune femme qui va éveiller quelque chose en lui, qui va l’effrayer un peu, raison pour laquelle il va continuer son roadtrip seul, jusqu’en Louisiane, où il va renouer avec une de ses anciennes occupations, la photographie.

On croise des personnages tout en simplicité, généreux, sincères, d’un réalisme émouvant. On s’attache à chacun d’eux. Ce roman est l’histoire d’un nouvel éveil à la vie, d’une renaissance après une longue fuite, comme un déni. Jack est comme l’avion qu’il pilotait, il cherche le vent pour redécoller, reprendre son envol.

Un récit simple, plein d’humanité, qui n’hésite pas à montrer les faiblesses de chacun, et le lecteur en apprécie davantage la force qu’ils déploient pour remonter la pente.