Claude K. Dubois
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Note moyenne : 7.11/10Nombre d'évaluations : 47
0 Citations 35 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
C’est mignon.
Le graphisme est doux, léger, avec ses tons pastel…
Elle mignonne cette petite… Euh… Belette ? Hamster ? Bêbête… On a tout de suite plein de sympathie pour elle.
L’histoire, quant à elle, est gentillette.
J’ai pas forcément bien suivi le rapport avec le titre (vu que c’est plutôt une histoire d’aménagement dans une nouvelle maison et de parents très occupés à ranger… Ok, il y a un bisou trop court mais ça n’est pas vraiment le sujet…).
Bref, c’est charmant. Pas impérissable mais mignon.
Afficher en entierSuper charmante histoire, très réussie, sur l’arrivée d’un petit frère, la crainte d’être oublié ou mal aimé.
C’est traité avec tendresse et humour, avec des dessins fort sympathiques.
Afficher en entierJ'adorais ce livre étant petit, et aujourd'hui la jeune génération me le réclame ! N'est ce pas la meilleure façon de se dire qu'un livre est de qualité ?
Afficher en entierCe petit roman débutant tiré de la collection "Passerelle" aux Éditions Mijade, est destiné aux lecteurs de premier cycle primaire, soit les 6-7ans de la première et seconde année primaire.
Tout comme son frère "J'ai trop de chance" tiré de la même collection, "Pas facile d'être chevalier" traite de la différence dans un sens très positif. Comme le disent les autres lecteurs: ce récit a ceci d'intéressant qu'on ne nomme aucun handicap: l'armure peut représenter n'importe lequel.
Nous avons un garçon, Jojo, né avec une armure, impossible à retirer, qui a grandit normalement et avait même des amateurs de son costume. Cela n'a pas duré, quand les parents ont eu peur que leur fils se fasse juger. Ils l'ont alors affublés de vêtements par dessus son armure pour la cacher, mais cela à eu exactement l'effet contraire. Alors que son armure épatait les autres enfants, ses vêtements suscitait de la suspicion et du rejet. Jojo se sentait bien seul, jusqu'au jour où il croise la route d'une petit fille, aussi cachée que lui, dans un imperméable jaune. Les deux enfants se comprenaient dans leur différence et devinrent les meilleurs amis du monde. Un jour, la jeune fille décide de lui montrer qui elle est sous son imperméable et tout changea.
Inutile de mentionné à quel point de récit évoque de manière limpide le droit à la différence et le fait qu'il est assez absurde de tenter de le dissimuler. C'est d'autant plus vrai qu'au final, Jojo, même "camouflé" était rejeté.
C'est une réalité fréquente de voir des parents s’inquiètent de jugement des autres enfant sur le leur ( on peut comprendre) , mais leur tentative peut aussi se retourner contre l'enfant, comme c,est le cas ici. Après tout, entre revêtir de gros vêtements chauds et afficher sa belle armure, cette dernière plaisait plus.
J'aime aussi le fait que Jojo ait fait la connaissance de la jeune fille qui se cache pour les même raisons ( ou presque). Parfois, c'est notre différence qui va nous faire connecté avec d'autres, comme un élément rassembleur. Comme on dit: "Pour chaque Yin, il y a un yang".
Une belle histoire, qui malgré le fait qu'elle est courte, est très pertinente! C'est le genre de petit récit qui est aussi amusant que profond et comme il y en a relativement pas beaucoup pour cette tranche d'âge, je suis vraiment heureuse de l,avoir trouvée.
Avis aux professeurs de premier cycle, "Passerelle" est une collection à découvrir et à exploiter largement.
Afficher en entierIncontournable Août 2021
Lison est une chaperonne rouge qui va échanger sa famille avec celle de Maxime le louveteau. Durant quelques jours, ils vivront le quotidien d'une autre communauté, avec leurs moeurs, leur régime alimentaire, leurs codes sociaux et , bien sur, leurs activités, dans la famille de l'autre.
Ce petit album, devenu roman débutant grâce à la collection Passerelle des éditions Mijade, est, à l'instar de ses frères de collection, un vrai régal. C'est également l'un des trop rares romans de ce niveau sous forme épistolaire, c'est à dire un livre où des lettres constituent le récit. Un choix très intéressant puisque nous sommes donc directement dans leur regard et leur psyché. Ils partagent avec nous leur perceptions et leurs constats, c'est très immersif. Et ô combien touchant.
Fait cocasse, leurs écoles portent des noms de sommités en matière de contes et fables: L'école Charles Perrault et l'école Lafontaine.
Vous trouverez en outre des images au dessin sketchy, aux coloris pâles, très en phase avec le récit, signé Claude K.Dubois, qui a un talent certain pour les dessins doux.
Véritable ode au partage culturel, "L'échange scolaire" illustre avec humour et douceur l'importance de porter son regard au-delà du terrain connu, pour s'ouvrir aux autres et, qui sait, faire de belles rencontres?
Pour un lectorat à partir de la troisième année primaire (7-8 ans) environ.
Afficher en entierQu'est-ce que j'aime ce livre ! Il est si précieux... Petite, je n'avais pas conscience de l'importance des mots écrits dans ce livre, mais il est tellement important pour apprendre aux enfants à exprimer leurs émotions sans crainte ! Je le recommande vraiment.
Afficher en entierAlbum qui touche au coeur, à notre sensibilité, à notre incompréhension face à l'absurdité d'un enfant qui subit la guerre comme Akim. Il court quand sa maison est détruite, il court pour chercher ses parents, il court pour fuir les soldats, il court, il court… Les dessins illustrent parfaitement le texte en le renforçant encore. Alors si vos bambins vous demandent une explication sur les réfugiés qui arrivent sur des bateaux de fortune, il n'y a pas de meilleur livre que celui-là. Sujet difficile à traiter. Une réussite pour Claude K. Dubois.
Afficher en entierUn nouveau membre dans la famille Passerelle en ce début 2023 avec des airs de contes et une prémisse qui m'a évoqué "L'étrange histoire de Benjamin Button".
L'Altesse des maladresses fait les choses à l'envers, ce qui lui donne l'air de Maître Yoda quand elle parle, d'une Nocturne puisqu'elle dort le jour et vit la nuit et commet un nombre appréciable de maladresses, ce qui lui donne l'air un peu tête-en-l'air. Elle vit dans une cabane tout en rondeurs dans la forêt et passe pour une personne étrange.
À partir d'ici, il y aura des divulgâches et pleins de grenouilles.
Un jour, elle découvre une mare remplie de grenouilles, aux abords d'une cabane biscornue. Après avoir causé l'hilarité générale en glissant dans la marre parmi les petits amphibiens ( comme l'atteste la couverture) la princesse se fait inviter dans la cabane par sa propriétaire, une vielle femme qui serait, d'un avis autre que celui d'une demoiselle vivant seule dans la forêt et est de ce fait fort naïve , plutôt louche.
La femme a un dessein qu'on peut deviner facilement grâce au comportement des grenouilles, qui tentaient de prévenir la maladroite jeune femme, et les petits commentaires de la sorcière. Parce que oui, on s'en doute , il y a de la sorcellerie dans cette histoire. La princesse se fait embobiner avec une facilité déconcertante et accepte non seulement une tasse de thé qui est en réalité une potion, mais accepte aussi de lire une formule magique en pseudo-latin à voix haute telle que demandé. Elle aura pour but de transformer la demoiselle en grenouille, ce qui ajoutera cent ans au compteur de vie de la sorcière ( Oh, quand même, ça vaut la peine). Mais si vous avez suivi, notre altesse et sa singularité d'inversion lui font réciter les mots à l'envers. Mais la sorcière adapte de sortilèges batraciens ( comme un nombre phénoménal de sorcière, je remarque) a du boire la fameuse mixture qui se prend pour un thé afin d'endormir la vigilance de la future grenouille ( est-ce nécessaire, peut-être pas vu la naïveté du personnage) et du coup, quand la princesse aux maladresses récite les paroles en sens inverse, la potion agit en sens contraire aussi.
Résultat des courses, notre sorcière se transforme en grenouille et nos anciens humains coincés sous la forme de gobeurs de mouches retrouvent leur corps humain ( et la bêtise qui va avec- oups! Scusez moi). Heureux de renouer avec leur vie d'avant, il n'empêche que les gens veulent se venger de la sorcière en lui destinant un sort fort peu enviable: celui de met. ( Finalement, j'avais raison concernant la bêtise...) Mais princessitude oblige, notre demoiselle-catastrophe prend un avis plus louable: Elle propose de garder la sorcière amphibie comme compagnonne pour sa souris ( ou était-ce un furet?). Ce qui, de l'avis du narrateur, fut une bonne décision. Je le pense aussi, surtout que de traiter les gens comme aimerait être traité, et savoir faire preuve de compassion, sont autant de façon d'amenuiser la violence dans le monde.
J'aime bien les Passerelle de la maison Mijade, car ils offre de belles histoires à notre Lectorat débutant, le premier cycle du primaire. Il fait dire que madame Dubois sait nous faire rêver avec ses esquisses tout en douceur et en couleurs pastelles.
Bref, un autre bel ajout pour nos romans débutant, avec des personnages colorés et amusants dans un joli univers naturel.
À voir.
Pour un lectorat débutant, premier cycle primaire, plus spécifiquement la 2ème année, 6-7 ans. Il est également intéressant pour la 3e année ( 8 ans), avec son petit format.
Afficher en entierIdée et début intéressants, mais ensuite ça retombe comme un soufflet et c'est trop long. Dommage.
Afficher en entierJ'ai adoré les illustrations et les couleurs. Le texte est bref mais retranscrit bien les émotions de Lola, même si le manque d'écoute auquel elle se confronte m'a attristée.
Par contre la romantisation entre enfants et la discrimination basée sur la beauté auraient pu être évitées, c'est dommage !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Claude K. Dubois
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
L'Ecole des loisirs : 20 livres
Mijade : 4 livres
Pastel : 4 livres
Editions Mijade : 3 livres
Nathan : 1 livre
Moritz Verlag : 1 livre
Biographie
Claude K. Dubois est née en Belgique en 1960.
Elle vit actuellement près de Liège, à l’orée d’un bois. Elle a fait des études d’illustration à l’École supérieure des Arts Saint-Luc de Liège pour se consacrer ensuite au dessin sous toutes ses formes : albums, magazines, publicités, expositions…
Elle a réalisé environ quatre-vingts albums jeunesse, seule ou en collaboration avec des auteurs.
Claude K. Dubois aime parler de tendresse aux enfants comme aux adultes, parfois avec humour, toujours avec complicité. Elle souhaite partager les choses, parler au-delà des mots.
Elle publie principalement aux éditions Pastel-l’école des Loisirs. Ses livres sont édités dans plus de quinze pays.
Elle aime aussi se tourner, de temps en temps, vers la sculpture et la peinture et expose régulièrement ses œuvres dans des galeries et centres culturels, en Belgique et à l’étranger. Claude K. Dubois est titulaire d’un atelier d’illustration à l’École des Arts Saint-Luc. Elle a reçu plusieurs prix, dont le prix SCAM 2002 de l’Illustration jeunesse en Belgique. Elle a été membre de la commission Littératures de jeunesse au Centre national du Livre de 2001 à 2003.
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