Peter Beagle

La dernière licorne vivait, en toute quiétude, au bord du monde dans une forêt de lilas...

jusqu'au jour où en espionnant la conversation de deux chasseurs elle se rendit compte qu'elle était peut-être la dernière de sa race. Alors elle se mit en route. Sur les chemins du monde, elle rencontra un papillon occupé a chanter des chansons idiotes, fut enfermée dans une cage par des Tziganes heureux d'en faire une attraction fort lucrative, puis fit la connaissance de Schmendrick, un magicien sympathique et pour le moins incompétant. Ensemble, ils décidèrent d'affronter Haggard, le méchant roi...

j'ai tout simplement adoré ce livre!! je regardais en boucle de dessin animé quand j'était petite ^^

Un livre que j'avais beaucoup aimé plus jeune, très poétique par moment.

Fantaisie féerique, une histoire merveilleuse. J'aime le film, animation américaine-japonaise qui a des couleurs et une musique magnifiques.

Une foule de personnages et d'êtres fantastiques et je suis devenu amoureux de la belle licorne aux traits féminins.

Pour avoir une idee du film: YouTube The Last Unicorn - The beginning.

Un joli recueil de six récits poétiques. Particulièrement Lady Death, que j'ai trouvé le plus proche des formes anciennes des contes, avec Le Naga. Magie ancienne et magie moderne se joignent agréablement pour des moments de lectures épisodiques du à la longueur de ces nouvelles.

J'ai bien aimée ce livre nous y retrouvons tous les ingrédients des contes, mais je trouve que ce n'est pas un contes comme les autres, je me demande même si parfois l'auteur ne se moque pas des contes, "toujours un prince qui sauve une princesse du danger", "un enfant malheureux qui trouve sont bonheur" etc bref très sympa

J'ai adoré cette histoire merveilleusement fantastique même si l'auteur se prend à pasticher les contes de fées.

"Ils rencontrèrent une jeune fille qui se précipitait vers eux en courant. Sa robe était déchirée et tachée, mais la richesse de sa façon était encore visible ; bien que ses cheveux fussent emmêlés et couverts de ronces, ses bras écorchés et son clair visage tout maculé de boue, aucune méprise n'était possible ; c'était une princesse en détresse."

C'était assez similaire au film que j'ai adoré. Il est rare qu'un roman et un film soient aussi identiques.