Terry Pratchett
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Note moyenne : 7.95/10Nombre d'évaluations : 2 538
7 Citations 1 076 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Ce tome n'était peut-être pas le plus adapté pour découvrir les livres de Terry Pratchett. L'univers est extrêmement inventif et tout aussi loufouque que ses personnages, mais l'histoire n'a pas vraiment de fil rouge ou d'enjeu qui m'aurait donné envie de lire plus que quelques pages à la fois. Je lirai quand même la suite, quitte à les prendre dans le désordre puisque certains cycles semblent plus appréciés que celui-ci.
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Encore un livre de Gaiman qui m'a plu du début à la fin, l'humour est bon et il est plutôt facile à lire.
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Septième tome des annales du disque monde, et je retrouve ce qui fait le charme de cette série : des persos ambigus, un peu drôles, souvent justes, et qui sont dépassés par ce monde un peu bizarre. Ici, on nous présente une aventure un peu dans une sorte d’Egypte, avec des momies, des pyramides, et des règles à respecter, encore et toujours. J’ai beaucoup aimé le personnage principal de cette aventure. Teppic est… Normal. Dans le sens, où malgré son éducation, il n’a rien d’un roi et il semble un peu insouciant. Il m’a rappelé le héros dans Trois soeurcières, à ceci près qu’il était plus ambigu en terme d’alignement. J’ai beaucoup aimé ce personnage, et ce qui lui arrive. Tout est mélangé avec le spatio temporel, et on fait aussi des parallèles avec les cultures anciennes. J’ai aimé le déroulement, et surtout la conclusion de fin. J’ai bien rigolé, malgré quelques passages un peu longuets, et je l’ai terminé assez vite. Ma chronique est assez courte, mais en vrai, si vous aimez les annales du disque monde, on est sur du classique, et j’ai bien aimé ma lecture. Ce que j’ai aimé aussi, c‘est que je me suis rendu compte que Pratchett faisait parler ses personnages de façon différente, et c’est appréciable.
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Pas mal, mais sans plus.
L'écriture est assez brouillonne et, des fois, j'ai eu du mal à suivre.
Quant à la fin Spoiler(cliquez pour révéler)on a l'impression que tout les personnages ne servent à rien. Tout le monde accourt en catastrophe pour arrêter l'apocalypse, mais l'antéchrist l'arrête tout seul en un claquement de doigts. Donc, que tout les autres rappliquent ou pas, ça ne change rien au dénouement final.
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Depuis le début, à la fois j'ai envie de lire et connaître cette série relativement culte, mais j'ai aussi parfois du mal à la lire, surtout avec Rincevent dont je trouve souvent les histoires "trop".
De plus, je pense qu'il me manque des références, à commencer par Faust ! :)
Bref, pas mon préféré, mais il se laisse lire facilement et sans se prendre la tête. Très bien pour s'endormir. :)
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Un tome que j'ai beaucoup apprécié. J'avais déjà beaucoup aimé le guet, mais plus on avance et plus j'aime les personnages qui le composent, les nouveaux comme les anciens.
L'intrigue est vraiment intéressante à suivre, on se prend au jeux de l'enquête et la partie résolution est vraiment cool.
J'ai évidemment beaucoup rigolé pendant ma lecture, cette écriture est toujours absolument inimitable et tellement intelligente.
On trouve des scènes un peu plus sérieuses dans ce tome, ou simplement moins déguisées que dans les précédents.
Et puis, sincèrement, vive Carotte, et Vimaire, et le Patricien, et tous les autres !
Un réel plaisir de lecture dont je ne veut jamais me lasser !
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C'est le premier livre de Terry Pratchett que je lis, et franchement je dois dire que j'ai adoré.
On retrouve un peu les coulisses du joueur de flûtes de Hamelin, et pourtant l'auteur a su en faire une histoire propre. Le joueur de flûte n'est qu'une base mais ne constitue pas toute l'intrigue, ce qui est chouette ! J'ai parfois un peu de mal avec les réécritures parce qu'on connaît déjà toute l'histoire.
Le livre est plein d'humour et de références. On voit que c'est un livre qui peut s'adresser aussi bien à des jeunes qu'à des adultes et il se lit très facilement.
J'appréhendais un peu la lecture car on dit tellement que Terry Pratchett est un maître de la fantasy que j'avais peur d'être déçue. Pourtant, j'ai été agréablement surprise et je pense donc m'attaquer aux autres romans du Disque-Monde.
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Je ne suis vraiment pas bon public, je ris assez rarement quand je lis, mais là, c'était vraiment une pépite que je recommande absolument, c'était drôle et rafraîchissant
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Première incursion dans l'univers de Terry Pratchett, et je dois dire que c'est vraiment particulier quand même. Il faut arriver à suivre l'imagination totalement débridée de l'auteur. Niveau humour, il y a des perles. Mais si certains moments dans l'histoire m'ont bien plu, d'autres m'ont moins convaincu. Je verrais avec les prochains tomes si la saga se bonifie.
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Dans ce tome, Terry Pratchett manie les références pseudo-quantiques à la perfection. Ces phrases semblent exprimer des vérités scientifiques que l'on ne peut mettre en doute et c'est très bien. Ce mélange déroutant de référence à notre monde dans un univers parallèle est toujours source de comique. C'est toujours fin, suggéré et franchement drôle.
Afficher en entierOn parle de Terry Pratchett ici :
2020-06-21T03:02:12+02:00
2019-05-19T14:23:13+02:00
2018-07-15T06:00:13+02:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2013-06-15T17:52:36+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Terry Pratchett
et autres évènements
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Editeurs
L'Atalante : 104 livres
Pocket : 89 livres
J'ai lu : 23 livres
Corgi books : 5 livres
Au Diable Vauvert : 4 livres
Doubleday : 4 livres
HarperTorch : 2 livres
Doubleday Children's Books : 2 livres
Biographie
Le plus grand humoriste anglais depuis P.G. Wodehouse est un auteur de fantasy : est-ce l'effet du hasard ? Terry Pratchett est né en 1948 dans le Buckinghamshire ; nous n'en savons pas davantage sur ses origines, ses études ou sa vie amoureuse. Son hobby, prétend-il, c'est la culture des plantes carnivores. Que dire encore de son programme politique ? Il s'engage sur un point crucial : augmentons, dit-il, le nombre des orangs-outans à la surface du globe, et les grands équilibres seront restaurés. Voilà un écrivain qui donnera du fil à retordre à ses biographes !
Sa vocation fut précoce : il publia sa première nouvelle en 1963 et son premier roman en 1971. D'emblée, il s'affirma comme un grand parodiste : La face obscure du soleil (1976) tourne en dérision L'univers connu de Larry Niven ; Strata (1981) ridiculise une fois de plus la hard SF en partant de l'idée que la Terre est effectivement plate.
Mais le grand tournant est pris en 1983. Pratchett publia alors le premier roman de la série du Disque-Monde, brillant pastiche héroï-comique de Tolkien et de ses imitateurs. Traduites dans plus de 30 langues, Les Annales du Disque-Monde ont également donné lieu à nombre de produits dérivés ainsi qu'à des adaptations télévisées.
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