Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 173
Membres
1 024 629

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Simon Liberati

Auteur

129 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Lilou 2009-09-15T20:18:08+02:00

Biographie

Ecrivain et journaliste français

[Littérature française]

Né à Paris en 1960

Journaliste pour le magazine FHM durant vingt ans, Simon Liberati publie son premier ouvrage, 'Anthologie des apparitions', à l'âge de quarante-quatre ans. Roman considéré culte par la critique et traitant de la période de l'adolescence. En 2007, il publie son deuxième roman, 'Nada exist' dont le personnage principal est un photographe de mode en décadence.

Evene.fr

Afficher en entier

Classement dans les bibliothèques

Diamant
7 lecteurs
Or
19 lecteurs
Argent
25 lecteurs
Bronze
25 lecteurs
Lu aussi
38 lecteurs
Envies
91 lecteurs
En train de lire
7 lecteurs
Pas apprécié
21 lecteurs
PAL
66 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 6.08/10
Nombre d'évaluations : 49

0 Citations 38 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Simon Liberati

Sortie France/Français : 2024-01-03

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par ilonaisreading 2018-08-06T21:10:55+02:00
California Girls

Un livre moyen qui relate des faits déjà connus du grand public. Dommage, je m'attendais à un livre plus psychologique.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Im-a-Sassenach 2019-07-11T15:15:26+02:00
California Girls

Tout d'abord, un grand merci aux éditions Grasset pour cet envoi, cela me fait toujours autant chaud au cœur et ce sentiment restera impérissable, sans aucun doute. J'ai été très honorée de recevoir ce service de presse, le jour même de mon anniversaire qui plus est. C'est la seconde année de suite,-en voilà un beau cadeau ! Si cela devient une habitude, je ne m'en lasserais pas, héhé. Ce livre, paru tout récemment en poche aux éditions Le Livre de Poche pour les intéressés, est entré dans ma ligne de mire des lectures à faire grâce à la géniale Pinupapple & Books (oui, encore...). Malgré son avis mi-figue mi-raisin sur ce roman qu'elle jugeait beaucoup plus documentaire que psychologique (ce qu'elle espérait de ce type de fiction sur des criminels adolescents/jeunes adultes), je me devais de parcourir cet ouvrage par moi-même, de me forger une opinion d'après ce que l'auteur allait me délivrer. J'ai été d'autant plus piquée de curiosité en découvrant la quatrième de couverture, où Simon Liberati explique avoir voulu relater ces tragiques événements ayant entaché son enfance noir sur blanc, de manière très directe et frontale, afin de se purger de ce traumatisme baigné de sang et d'horreur inhumaine depuis près de cinquante ans. Le voyage en enfer commence maintenant.

L'auteur a bien suivi sa trajectoire en nous proposant un récit qui relate de la manière la plus simple possible le Helter Skelter de Charlie et de sa Famille, de son élaboration au sein du Spahn Ranch où, après un an et de demi de pérégrinations en bus de grands chemins hippie, la Famille avait trouvé son nid bien puant, crade et délavé, à l'image de leur vie de débauche et de dévouement au plan de l'Apocalypse et à leur Jésus. Ce qui m'a épaté avec ce livre, et justement la raison pour laquelle je m'y suis intéressée, c'est que je connaissais "bien" les événements désastreux et sanguinolents qu'il dépeint. Il y a cinq ans de cela maintenant, je me suis trouvée fascinée face à la sublime Sharon Tate dans le film Le bal des vampires (excellent film par ailleurs, mais cela est une autre histoire, qui sera contée une autre fois). De fil en aiguille, je suis rapidement tombée sur la vérité effarante et sur des images profondément choquantes, d'un voyeurisme écœurant. J'ai visionné quelques documentaires, notamment un témoignage de Linda Kasabian, la seule membre de la secte qui a éprouvé de la pitié pour les victimes et qui a contribué à l'emprisonnement de son ancienne Famille. Je ne m'attendais donc pas à ce que ce roman me révèle des informations inédites.

Et là où ce livre est fort, très fort, et sonne juste, c'est qu'il a réussi à me couper le souffle et à me glacer le cœur et les sangs comme si j'étais retournée en arrière dans le temps. Cela a eu le temps de me laisser sonnée et les yeux écarquillés et incrédules, en y ajoutant cette fois le sentiment que je m'y trouvais réellement. Ce pourquoi j'ai trouvé que ce roman n'avait pas la prétention ou la fonction d'être un documentaire, un contenu purement informatif. Bien sûr, pour ceux qui ne connaissent pas cette histoire tragique du Crime du siècle, je trouve que cet ouvrage constitue une excellente entrée en matière, une mise en bouche sous une perspective inédite. J'avais connaissance de fictions qui s'inspiraient clairement du mode de vie de la Famille et de leurs actions infernales, tout en les plaçant à des époques différentes, avec des personnages forgés à leur image mais avec leur identité propre aussi. Or, ce livre nous présente les véritables membres de cette bande de prétendus hippies, qui ont déchaîné une immondice sans nom sur Los Angeles,-en tant de personnages romanesques, à la fois faits de chair et de sang (et ils en répandent beaucoup aussi, de manière quasi bestiale. Et encore, c'est méchant pour les bêtes...) et d'encre et de papier.

Le pari était audacieux... et risqué aussi. Qui pourrait s'identifier à des créatures pareilles, des énergumènes aussi vides de sentiments que de bon sens et d'humanité, complètement détachés de ce qui rend le monde beau ? Et non, une orgie où on se fait l'amour dix fois par jour tous ensemble, c'est pas beau... Et pourtant, pari réussi ! Malgré le fait que les personnages soient absolument immondes, tant au niveau de leur vie sexuelle où Tout le monde appartient à tout le monde, dans la crasse, la poussière, les tâches de nourriture sur leurs vêtements élimés, et d'autres de ne me forcez pas à dire de quoi, où les jeunes filles se vouent avec adoration et amour convaincu et débordant s'évaporant de leurs corps jeunes et déjà souillés à leur mari commun, un petit homme malingre, au visage mauvais et disgracieux qui ne peut inspirer que de la répulsion, je me suis sentie aussi déconnectée qu'eux.

Au cœur de cette odyssée du meurtre rocambolesque et désastreux dont ils ont été les acteurs, j'ai été complètement immergée, de l'odeur suintante de vous savez quoi (on entre pas dans les détails hein) à la texture poisseuse du sang en passant par les cris déchirants des victimes, Sharon et les occupants de la Love House en ligne de mire. Cela peut paraître perturbant que je ressente cette sensation de proximité envers eux, la clique de jeunes tueurs drogués, abrutis, bruyants et inexpérimenté, à l'aube de leur vie déjà piétinée, salie, disgraciée et foutue en pâture aux chiens telle une vulgaire charogne. Alors que je n'avais qu'une envie, cracher à la figure de Sadie Mae Glutz, l'affreuse sorcière qui a une place de choix au sein de ce récit, pour lui démontrer mon mépris profond de sa personne insupportable et imbécile, donner des claques aux garçons, Tex, qui semble évoluer en dehors de toute réalité, et Clem, qui avait peut-être un actuel potentiel dans la musique. On ne saura jamais tout ce qu'auraient pu devenir les Katie, Gypsy, Squeakie, Leslie et j'en passe... De par leurs crimes, leur aberrante froideur digne du Pôle Nord (et encore, c'est méchant pour le Pôle Nord), ils resteront à jamais au statut de paria, coincés en prison (dûment mérité).

Ou bien leur image sera à jamais teintée du sang versé de Gary Hinman, de Sharon Tate, de son bébé, Paul, et de ses amis, de Leno et Rosemary LaBianca. Leur seul méfait fut d'avoir réussi leur vie et d'être bien intégré, ou alors de s'être trouvé au mauvais endroit au mauvais moment, telle une abominable ironie du sort. En tout cas, je vous encourage à lire ce roman qui m'aura ébranlé bien plus que je ne l'aurais pensé. Il aura réussi à m'emmener sur un chemin que jamais encore mon imagination ne m'avait fait prendre : celui qui mène en haut de la colline du 1020 Cielo Drive, cette nuit marquée par le diable ayant envoyé ses diablotins faire le sale boulot, et ce qui en résulte est une scène absolument atroce où la tension est tellement pesante que le rire nerveux est sorti, honteux mais bien là, de la barrière de mes lèvres. Pourtant, mes yeux semblaient s'être "adaptés" à ces images.

L'auteur m'a donné l'impression que je ne les avais jamais véritablement vues, cette violence et cette horreur inouïes, tant que je n'avais pas accompagné notre bande hésitante mais immergée dans la folie jusqu'au cou à leur point de non-retour, me tenant aux côtés de Linda, le témoin muet et meurtri, aux premières loges.

Et cela a recommencé. Une autre nuit comme celle-là, plus expéditive et assurée, au silence plus assourdissant. Ce qui n'était pas pour me rassurer. Et l'angoisse a duré et a pris de l'ampleur. Je n'avais qu'une envie : me sortir de cette spirale infernale, loin de toute cette folie ambiante,-résolument malsaine et à vomir, loin de toute cette ignominie qui m'a brisée le cœur... Une motocyclette (alors que je déteste ça, grands dieux...) aura peut-être été la solution à tous mes maux, dans le brouillard du matin alors qu'un nouveau jour se lève, tandis que les Beach Boys chantaient au loin :

I been all around this great big world

And I seen all kinds of girls

Yeah, but I couldn't wait to get back in the states

Back to the cutest girls in the world

(bah en tout cas mes aïeux, on parle pas des filles de Manson là).

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Ludivine-38 2020-06-21T16:41:50+02:00
California Girls

Comment expliquer mon avis ? Je reste mitigé, je m’attendais à tout autre chose que ce que je viens de lire. Je connaissais l’histoire terrifiante du meurtre de Sharon Tate mais quelque chose m’a dérangé dans le roman. On sent bien que Liberati a voulu se libérer de quelque chose sans mauvais jeu de mot mais je ne sais pas je pense que je voulais une analyse plus poussée qu’il essaie d’entrer plus que cela dans la tête des protagonistes. Cependant pour quelqu’un ne connaissant rien aux faits c’est un bon début

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MSNordlys 2021-08-01T07:33:45+02:00
Jayne Mansfield 1967

En sept chapitres biographiques, sans doute un peu romancés, l'auteur décrit la fin de vie et la mort de Jayne Mansfield, de façon crue, juste, dure et terriblement vraie, un peu dans le ton de reportage livresque de "Musiques pour Caméléons" de Truman Capote.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Lucolix 2021-12-03T19:50:24+01:00
Jayne Mansfield 1967

Je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture, ni roman, ni documentaire. Un premier chapitre prometteur, plusieurs passages longuets par la suite, alternant avec des paragraphes peu utiles... néanmoins la description d'un milieu (et fin d,'une époque) bien loin du glamour hollywoodien, qui détruit ses icônes glorifiées la veIlle. Étonnant

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Milie_Corne 2022-08-11T13:49:38+02:00
California Girls

Incroyablement bien décrit tellement que j'ai cru y participer et franchement ça m'a donné envie de vomir et envie de signer les pétitions pour que les meurtriers ne sortent jamais de prison

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MargotDeleuze 2022-10-06T08:13:42+02:00
California Girls

L'écriture manque de fluiditémême si on rentre dans l’histoire rapidement.

Je ne suis pas déçu du livre mais j’aurai voulu en apprendre davantage sur Charles Manson et sa famille.

On rentre très rapidement dans le vif du sujet, les meurtres.

Dans ce livre on est attiré par le côté obscur car on essaye de comprendre ses filles totalement sous l’emprise de leur gourou.

Dommage que la fin s’acheve si soudainement, des détails sur les arrestations et témoignages aurait donner du contenu à l’ouvrace.

A lire pour en connaître un peut plus sur ce fait divers dramatique

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Plassans 2022-10-06T11:43:11+02:00
Jayne Mansfield 1967

Ce livre n'est pas une biographie! Jayne Mansfield 1967,retrace uniquement les derniers moments de l'actrice, et de sa déchéance.

On n'apprend pas grand chose sur Jayne Mansfield, j'en ressort un peu frustré. Le livre est court (trop) et se lit sans aucune difficulté, mais il ne reste pas dans la mémoire comme un grand livre.

Le style de Simon Liberati pour se roman est assez froid, exterieur, comme un medecin legiste analysant un corps. J'aurais aimé qu'on rende Jayne Mansfield plus touchante...Prix femina ...Pourquoi?

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Alyss016 2023-03-28T16:45:06+02:00
Eva

J'ai eu du mal à le finir, je n'irais pas dire qu'il est mauvais mais à plusieurs reprise je n'ai pas compris ou cela allait, de plus Spoiler(cliquez pour révéler)la violence, et cette façon de montrer la pédopornographie/pédophilie m'a juste donné envie d'arrêter la lecture. cela m'a fortement fait me questionner sur le but d'exposer une histoire qui n'est pas la sienne et qui de ce que j'avais vu à l'époque, ne voulait pas vraiment être divulgué non plus.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par renaud-1522 2024-02-01T14:38:54+01:00
Les Démons

Mon premier Liberati...mon dernier?

Le style est brillantissime, quoique, parfois, l'auteur se regarde écrire. Pour ma part, cette histoire de célébrités, de personnes appartenant à un milieu élitiste ou qui se croit ainsi ne m'a pas du tout intéressé. Sexe, alcool et drogue dans une succession de clichés d'un milieu parisien libertaire...C'est assez fatiguant, d'autant plus que la préciosité de l'écriture nous coupe de toute émotion, celle-là mëme qui pourrait nous rendre les personnages intéressants.

Reste un chapitre, sublime, où l'héroïne se défonce à l'opium en Asie. Soudain la virtuosité de l'écriture épouse la défonce du personnage, et l'auteur nous livre un vrai très grand chapitre de littérature.

Afficher en entier

Dédicaces de Simon Liberati
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Stock : 5 livres

Grasset : 4 livres

J'ai lu : 3 livres

LGF - Le Livre de Poche : 3 livres

Flammarion : 1 livre

Editions 84 : 1 livre

Séguier : 1 livre

Julliard : 1 livre

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode