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Résumé
Printemps 2012. Depuis de longs mois désormais, le Québec est témoin, spectateur, détracteur ou acteur d’une crise sociale qui, quoi qu’il advienne, a d’ores et déjà marqué son histoire, au même titre que les événements d’octobre 1970.
Initialement portée par un mouvement étudiant sans précédent au Canada – la lutte des carrés rouges contre la hausse des frais de scolarité – catalysée par la Journée de la Terre du 22 avril, cette lutte a pris une valeur et une dimension politiques inédites, après l’adoption par le parlement québecois de la loi spéciale 78 destinée à enrayer le mouvement (dénoncée par l’ONU et Amnesty International) puis l’adoption par le parlement fédéral de la loi C-38 officialisant le retrait du pays du Protocole de Kyoto.
Après des mois de manifestations quotidiennes, d’initiatives en tous genres, un collectif artistique est né : Je me souviendrai.
Journalistes, auteurs, illustrateurs, penseurs et musiciens ont répondu à cet appel pour donner une voix emplie d’optimisme et de promesses à ce « printemps québecois », à ces indignés du Nouveau Monde qui se sont levés pour dire non.
« Le monde, ce monde absurde, cessera d’être absurde, il ne tient qu’à vous. Le monde sera ce que vous le ferez. » André Gide
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