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J'attendais avec impatience ce tome sur Enzo Montalbano, il m'intriguait beaucoup pendant Double Je.

Enzo est prit dans les affres de son passé, dans ses angoisses et dans ses pensées qui tournent en boucle dans sa tête et me maintiennent au même niveau de mal être. Ici, nous découvrons le pourquoi du comment il en est arrivé à être comme ça...

Il a un côté torturé, accentué par le côté toxicoman qui me l'a rendu fort attachant malgré ses décisions. L'auteure à réussi réussi à jouer sur les clichés du personnage gosse de riche imbus de sa personne tout en construisant une histoire, des événements qui complexifie l'ensemble. Son point fort c'est la justesse de ses observations et de ses mots même s'ils peuvent être brutaux.

Un soir, une nana qui passe dans son lit

Jusqu'à ce qu'il rencontre Sky, sa comète.

C'est une femme différente des autres, qui lui refuse ce que tant d'autres lui ont donné, qui est autant apeurée que Enzo même si elle le gère différemment.

Elle passe d'homme en homme , de tenue en tenue Jusqu'à tomber sur celui qui lui refuse d'être simplement une maîtresse....

Chacun à leur façons ils ont des failles mais aussi des forces.

La relation entre les deux est mêlées d'ego, d'attirance, de conflits, de va et vient sans oublier d'un pari qui va changer le cours de leurs existence. L'alchimie entre les deux est bien perceptive, bien intense mais loin d'être facile. Ensemble ils se tirent tantôt vers la lumière, tantôt vers la noirceur.

Pour les personnages secondaires nous retrouvons ceux du premier tomes, avec Hugo et Lux ainsi que leurs groupe d'amis, mais il y a aussi le frère de Sky qui est très intéressant.

L'auteure parle de thèmes fort comme la dépression, la dépendance, l'homosexualité... et amené un côté plus profond tant aux personnages qu'à l'histoire.

Le contexte de l'histoire tourne autour de la romance, de l'évolution des personnages. J'aurai aimé en savoir plus sur le côté famille, sur l'impact de son isolement tant du côté d'Enzo que du cote de Sky. Même si certains passages sont un peu long, avec beaucoup de description, l'ensemble m'a agréablement surprise.

Je vous parle de ma lecture du Spin-off de Double Je, Abject ici on retrouve le sombre et imprévisible Enzo Montalbano, quelque temps après la fin du tome précédent.

Enzo a complètement décroché du monde réel, il sort en boite tous les soir et ramène une fille différente avec qui il couche puis la mets dehors. Il est rentré dans une boucle infernale où pour oublier son mal être et l’absence de son frère il est devenu addict et il sait imposer des règles.

Mais tout vas basculer quand il va faire sa rencontre, Sky c’est une jeune femme atypique et haute en couleurs avec une façon bien à elle de voir la vie et surtout ses relations amoureuses. Ce qui va beaucoup intriguer Enzo, ils vont se lancer un défi qui va faire basculer le sablier de leur vie.

Dans certaines parties de l’histoire, on découvre ce qui est arrivé à nos deux jumeaux avec leur premier amour et surtout qui a rendu Enzo si sombre et mauvais envers la gente féminine. Il y aura bien sûr la présence de Hugo et ainsi que Ian et Jude, mais aussi l'arrivée d'amis de Enzo et du frère de Sky.

La plume de Morgane est toujours aussi addictive et page turner. Je me suis fait alpaguer par Enzo du coup j’ai décidé de le garder pour moi.

j'ai trouver le début un peut long . J'ai commencer à vraiment m'intéresser une fois leur paris mis en jeux . Bon livre dans l'ensemble bien écrie . Lecture facile .

ᴀʙᴊᴇᴄᴛ… La signification de cet adjectif est: qui mérite le mépris, qui inspire le dégout moral. Soit… Aucune abjection possible à cet état de fait…

Pour autant, pour moi, il s’agit là d’une lecture tout sauf abjecte, mais où l’abandon de règles, l’abaissement de barrières, l’abhorration du mensonge, et l’abdication du reflet de soi sont des plus difficiles, estimables et respectables…

ᴀʙᴊᴇᴄᴛ… Une lecture qui fait succomber à petit pas, à petit feu… Une lecture où la perte de son ⒿⒺ, devient un jeu à ᴅᴏᴜʙʟᴇ ᴊᴇ, sans double mais en reflet et en écho… Perdant, gagnant, il n’y aura que des survivants et au final ce sentiment encore bien plus puissant d’être pleinement vivant! Pas d’objection… un mépris du mal… du mal-être, du mal d’être… Tout en souffrance… de celle qui appelle à la déchéance tout en la rejetant… de celle qui appelle à l’aide tout en la réprouvant… de celle qui appelle plus qu’elle ne repousse…

ᴀʙᴊᴇᴄᴛ… Une lecture qu’on espère, qu’on lit, qu’on vibre, qu’on vit… à laquelle on s’unit dans le mal comme dans l’être, avec laquelle on souffre dans les mots comme dans les non-dits, pour laquelle on pleure comme on sourit… qui envahit chaque fibre, chaque raisonnement, chaque sentiment, les faisant siens… qui mérite tant d’empathie et inspire tant d’amour… inconditionnellement, puissamment, passionnément, incommensurablement!

Pour tous ceux et celles qui aiment sentir leur coeur frénétique, anarchique, tachycardique, se serrer, saigner, s’arrêter (pour mieux redémarrer), mais aussi pour ceux et celles qui aiment le sentir vivant intensément et en toute authenticité, la chasse à une magnifique histoire est ouverte! On est d’accord… Il serait bien ᴀʙᴊᴇᴄᴛ de la laisser sur le bas côté… Alors, sans hésitez joignez-vous à cette ballade, en corvette ou à moto, mais toute en vers d'émotions signée Morgane Rugraff.

Encore une fois, j'ai passé un agréable moment de lecture en découvrant l'histoire d'Enzo. Paradoxalement, j'ai préféré Enzo à Hugo, même si j'ai préféré le tome 1. C'est assez difficile à expliquer.

Contrairement au tome précédent, le roman donne la part belle au point de vue d'Enzo, ce qui nous permet de le découvrir sous toutes ses facettes. Loin d'être un simple connard arrogant, on découvre un personnage profondément tourmenté, mal dans sa peau, auto-destructeur. Si la trahison de Théa était évoquée dans le tome précédent, les flashs-backs nous offrent ici davantage d'informations. Si d'ordinaire je ne suis pas fan des allers-retours dans le passé, j'ai apprécié ici découvrir cette facette de la vie d'Enzo.

La romance se lit bien, l'alchimie entre les personnages est présente. Il y a certaines longueurs, des facilités et tournures clichés, mais cela n'empêche pas de passer un bon moment de lecture.

J ai mis beaucoup de temps pour lire ce tome 2 tant mes sentiments étaient partagés sur le tome 1... toujours autant malsain, immoral, noir voire même abject (le titre lui va bien)...et dans toute noirceur, il y a toujours une faille, quelque chose à creuser et voilà le résultat. Deux personnages auto destructeurs qui se ressemblent et qui se cherchent...

J'ai bien aimé car c était intense même s' ils m ont fortement agacés

Une petite remarque au sujet de l écriture et je me suis dit la même chose dans le tome 1, l auteur a une plume bien à elle et ce n est pas toujours agréable à lire à certains moments

J'ai passé un bon moment en compagnie de Enzo et Sky. Ça m'a fait plaisir de retrouver la bande de DOUBLE JE. En plus d'être une romance, l'auteur parle aussi de sujets sensibles comme l'addiction, la solitude, la confiance en soi.

J'avoue ne pas avoir accroché à l'héroïne. Si dans DOUBLE JE, j'ai adoré Lux qui m'a énormément touché, dans ABJECT, Sky me paraissait éteinte. Néanmoins j'ai eu plaisir à retrouver Enzo et son côté le plus sombre. On retrouve son passé en détail cette fois, ce qui comble toutes les interrogations laissées en suspens.

En résumé, lecture positive pour ABJECT

J avais été déjà complètement convaincu du premier tome Double je de cette auteur et celui ci m’a encore une fois éblouie. L histoire d’enzo est plus sombre, plus troublante et son personnage est plus profond mais surtout plus torturer. La plume de l auteur est toujours aussi captivante. Le personnage de sky est solaire et lunaire à la fois elle est aussi déjantée que décalé. Cette histoire est parfaite de bout en bout.

Dans la même veine que le tome précédent. C'est bien écrit. Mais le personnage masculin est déplaisant au possible.

plutôt mitigée sur cette romance j'ai lutté pour le terminer malgré le manque de suspens ou l'in originalité qui ne passionne pas .

pas pour moi