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Extrait ajouté par Coeurenpatedamande 2015-06-03T03:03:02+02:00

On ne pouvait pas croiser le fer avec un adversaire qui utilisait la hache de guerre contre l'épée.

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Extrait ajouté par Cazolie 2015-05-02T19:51:14+02:00

Anne, riant, car le coeur d'émail lui rappelait le jour fatal où Gilbert l'avait appelé 'Poil de carottes' et qu'il avait vainement tenté par la suite de faire la paix avec elle en lui offrant un coeur de bonbon rose, avait écrit un gentil mot de remerciement.

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Extrait ajouté par Hrader 2011-03-20T03:16:49+01:00

« Gilbert mit tout à coup sa main sur la gracieuse main blanche reposant sur la rampe du pont. Ses yeux noisette devinrent plus sombres et il entrouvrit ses lèvres encore enfantines pour parler du rêve et de l’espoir qui emplissaient son âme. Anne retira sa main et se détourna vivement. Le charme du crépuscule était rompu pour elle.

— Je dois retourner chez moi, s’écria-t-elle avec une insouciance quelque peu excessive.

Marilla avait la migraine cet après-midi et je suis sûre que les jumeaux ont encore inventé d’invraisemblables sottises. Je n’aurais vraiment pas dû m’absenter si longtemps.

Elle ne cessa de bavarder de choses et d’autres tout le long du chemin jusqu’à Green Gables. Le malheureux Gilbert eut à peine la chance de placer un mot. Anne se sentit plus que soulagée lorsqu’ils se séparèrent. Au fond de son cœur, depuis le bref moment de révélation dans le jardin du Pavillon de l’Écho, Gilbert revêtait pour elle une signification nouvelle et mystérieuse. Quelque chose d’étranger s’était introduit dans l’ancienne et parfaite camaraderie des jours d’école; quelque chose qui menaçait de tout gâcher. »

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Extrait ajouté par Miawallace 2024-04-17T10:30:28+02:00

Je savais qu'à l'université, on racontait que nous étions amoureux.

Je m'en fichais. Rien n'avait plus vraiment d'importance après que tu m'as dit que tu ne pourrais jamais m'aimer, Anne. Il n'y a eu personne d'autre - il ne pourrait jamais y avoir quelqu'un d'autre. Je t'aime depuis ce jour d'école où tu m'as brisé ton ardoise sur la tête.

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Extrait ajouté par Voyageusedesmots 2023-10-04T16:57:37+02:00

Les mots ne s’inventent pas, ils éclosent.

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Extrait ajouté par SELYA19 2023-09-14T10:25:08+02:00

" Qu'est-ce que vous allez faire de votre journée, les filles ? demanda Philippa en faisant irruption dans la chambre d'Anne, un samedi après-midi.

- Nous allons faire une promenade dans le parc, répondit celle-ci. Je devrais rester à la pension et finir mon chemisier, mais je ne pourrais pas coudre un jour comme celui-ci. Il y a quelque chose dans l'ai qui pénètre mon sang et illumine mon âme d'une certaine splendeur. Mes doigts trembleraient et mes points seraient de travers. Donc, cap sur le parc et les pins !

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Extrait ajouté par AmandineStuart 2023-01-11T12:26:33+01:00

Sur la crête, où l’avenue Spofford s’amenuisait pour se transformer en simple route, se trouvait une petite maison blanche en bois, entourée de chaque côté par des bosquets de pins qui étendaient leurs bras protecteurs au-dessus de son toit. Elle était couverte d’une plante grimpante rouge et or, et à travers on pouvait voir ses fenêtres aux volets verts. Devant, il y avait un tout petit jardin ceint d’un muret de pierre. Bien que l’on fût en octobre, le jardin était toujours charmant, planté de fleurs et d’arbustes surannés, étranges et adorables – belles fleurs de mai, aurone, verveine citronnelle, alysses, pétunias, soucis et chrysanthèmes. Un petit chemin de briques avec un motif à chevron menait du portail au porche à l’avant. Cet endroit semblait avoir été transplanté d’un lointain village de campagne ; pourtant, il avait quelque chose qui donnait à son voisin le plus proche – l’immense palais d’un roi du tabac encerclé d’une vaste pelouse – un aspect extrêmement grossier, tape-à-l’œil et inconvenant.

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Extrait ajouté par Voyageusedesmots 2022-12-14T19:00:45+01:00

Si les choses visibles sont passagères, les invisibles sont éternelles.

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Extrait ajouté par Prescillia14 2022-09-16T19:24:42+02:00

Anne se sentit plus seule que jamais en rentrant à Green Gables par le Chemin des bouleaux et la Maraularme. Ça faisait longtemps qu'elle n'était pas passée par là. La soirée avait un éclat violet sombre. L'air était lourd du parfum des fleurs - presque trop lourd. Les sens, écœurés, s'en détournaient comme d'une coupe pleine. Les bouleaux avaient grandi : les jeunes arbustes enchanteurs d'autrefois étaient devenus d'imposants arbres. Tout avait changé. Anne songea qu'elle se réjouirait quand l'été toucherait à sa fin et qu'elle repartirait travailler. La vie ne lui semblerait peut-être plus aussi morne, alors.

~ Je me suis essayé au monde - il ne porte plus

Les couleurs romantiques dont il était vêtu.~ soupira Anne, et elle se sentit aussitôt ragaillardie par le romantisme de l'idée d'un monde dénué de romantisme !

p.321

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Extrait ajouté par Prescillia14 2022-09-16T18:55:26+02:00

- Tu n'échoueras pas. Comment s'est passé le grec, aujourd'hui ?

- Je ne sais pas. C'était peut-être un bon devoir, mais peut-être qu'il était si mauvais que Homère se retourne dans sa tombe. J'ai tant étudié et ressassé mes livres de cours que je ne suis plus capable de former la moindre opinion sur quoi que ce soit. Comme la petite Phil va être soulagée quand tous ces examinages seront finis !

- Examinages ? Je n'ai jamais entendu ce mot.

- Et alors ? N'ai-je pas autant le droit que quiconque d'en inventer ? demanda Phil.

- Les mots ne s'inventent pas, ils éclosent.

p.297

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