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Je dois avouer: j'ai eu les larmes aux yeux trois fois en lisant Anna Karénine. Les deux premières fois, c'était de joie. Et la troisième fois, j'ai fondu en larmes, bouleversée, abattue, comme si l'événement qui avait lieu dans le roman s'était déroulé sous mes yeux.
J'ai pu cependant me remettre de mes émotions car ce livre, contrairement à ce que l'on croit souvent, et malgré un certain drame que je ne dévoilerai pas, finit bien, et c'est sans doute ce qui rend le roman encore meilleur.
Anna Karénine
J’ai simplement lu une trilogie pour la jeunesse, « Nina Volkovitch « »de Carole Trébor qui m’a appris quelques nouvelles choses sur le monde russe. Cependant, je n’avais pas encore lu de livres traduits du russe, et encore moins un classique. Prochain objectif : le lire en russe !
Anna Karénine a été pour moi un coup de cœur, un roman inoubliable. J’avais déjà vu le film de Joe Wright mais je n’ai pas regretté d’avoir lu le roman ensuite (d’habitude, je ne lis pas le roman si j’ai vu le film avant car j’ai le visage des acteurs dans la tête et je ne peux pas m’imaginer autre chose que ce que j’ai vu dans le film). Il y a une puissance incroyable dans ce roman, tant par son universalité que par certaines de ses descriptions (je pense notamment à l’accouchement de Kitty).
J’ai beaucoup apprécié la description du travail au champ, parce que j’ai une maison à la campagne et sans être une travailleuse, je m’adonne parfois aux travaux des cultures, bien que les outils que j’utilise soient moins rudimentaires que ceux qu’utilise Levine. Je comprends mieux son point de vue que si je n’allais pas souvent à la campagne et ne connaissais pas certaines des choses décrites.
La théorie de Levine sur le paysan russe, très différent du paysan européen, et à qui par conséquent on ne peut pas demander de travailler de façon « européenne » est très intéressante. Je ne m’étais jamais posé ce genre de question et cela m’a invité à réfléchir.
J’adore le moment où Levine part travailler dans les champs, il est d’une beauté pure et simple et la scène était tellement bien décrite que j’ai cru que j’y étais. Je l’ai trouvé tellement plus belle que celle de son mariage avec Kitty bizarrement.
De manière générale, les débats entre les personnages m’ont plu, leurs confrontations de points de vue également, même si j’avoue que je n’ai pas forcément tout compris, surtout quand il s’agissait de politique.
Tolstoï décrit l’administration russe comme poussiéreuse et incompétente, il fait une véritable critique à travers notamment Serge Ivanovitch et Alexis Karénine. Il montre aussi qu’on parvient à tout grâce à ses relations : Oblonski est un exemple typique : aimable et sympathique, il se fait des amis partout où il passe et réussit à obtenir un poste où en ne faisant pas grand-chose il gagne des mille et des cents.
Dans ce livre, le début fait écho à la fin, et j’ai aimé retrouver des éléments ou des notions symboliques vers la fin. En effet, dès la première page, Tolstoï mentionne une liaison entre Oblonski et une institutrice française, et on retrouvera une liaison une centaine de pages plus loin avec Anna et Vronski. Ensuite, il y a le train. La gare, le lieu où se rencontrent Anna et Vronski et là où tout finit avec le suicide de la première mais aussi justement le lieu où un cheminot (ou en tout cas quelqu’un travaillant à la gare, je ne me souviens plus de son métier) est écrasé sous les roues d’un train, et ce même train sera le moyen qu’utilisera Anna pour se suicider.
A propos, c’est une excellente idée d’avoir appelé le mari et l’amant d’Anna du même prénom, comme pour montrer que malgré toutes leurs différences, quelque chose les lie. Cette chose c’est Anna.
J’ai pensé que ce roman était un peu moralisateur, ce qui est vrai en partie ( Levine et Kitty, sauvée du péché, vivent heureux tandis qu’Anna qui a trompé son mari se suicide, malheureuse et torturée).
Mais finalement, Tolstoï ne juge pas tant que ça ses personnages, il leur prête à tous des sentiments compréhensibles en faisant le tour des points de vue de chacun. Je m’explique : au début, Karénine apparait comme froid et antipathique mais quand Tolstoï passe au point de vue interne, le lecteur plaint cet homme, mieux que ça, il le comprend.
Les personnages appartiennent tous à une sorte de catégorie, mais sans pour autant être stéréotypés.
Mon préféré est Stépane Arcadiévitch car c’est un homme qui aime la vie, et qui cherche à la vivre pleinement mais sans gêner les autres, voire aider et faciliter le confort de ceux qui l’entourent. Preuve en est au début du roman, où il est malheureux : il ne se repent pas d’avoir trompé sa femme non mais il se repent de l’avoir rendu malheureuse.
Dolly est quant à elle un peu tourmentée et j’ai eu plusieurs fois l’impression qu’elle ne vivait que pour ses enfants. Elle est cependant douce, qualité qu’on retrouvera chez sa jeune sœur Kitty.
Kitty justement. Là, beaucoup plus à dire. C’est selon moi le personnage qui évolue le plus dans le roman, qui gagne en maturité et en qualité, le contraire d’Anna en fait. On retrouve encore une fois ce jeu d’oppositions entre les jeunes femmes. Elle passe d’une jeune fille capricieuse et gâtée à une jeune femme plus raisonnable et ce grâce à Anna finalement, qui en séduisant involontairement Vronski le détourne d’elle. Son séjour à l’étranger y est certainement pour beaucoup, car c’est là qu’elle rencontre Varinka. Après, je dirais qu’elle est sublimée par le regard de Levine ; la plupart des passages où elle apparaît étant narrés du point de vue de Levine.
Levine, son mari, est quant à lui très attachant, tant par son amour, au début non partagé (le pauvre) pour Catherine mais aussi par sa droiture morale, qui reste extrêmement ferme, bien qu’un peu agaçante parfois. J’ai eu du mal à me détacher du visage de l’acteur du film. Les passages où il est à la chasse m’ont un peu ennuyé.
Le comte Vronski. Au départ, il m’a paru bon vivant, comme Stépane Arcadiévitch mais au fil du roman j’ai découvert qu’il n’est pas aussi insouciant. Je ne m’attendais pas à une torture pareille après la mort d’Anna ! Son amour est cependant étrange ; il aime Anna car elle est riche, jeune et qu’elle n’a pas su lui résister ( cela le renvoie à sa propre fierté) mais aussi il ressent profondément l’aura qu’émet Anna.
Je m’attendais à ce qu’Anna soit le personnage central du roman, puisque le titre est Anna Karénine mais finalement non. Je confesse que mon admiration pour elle a baissé au cours du roman. Au début je la pensais courageuse. Elle avoue à son mari qu’elle a une liaison. Mais finalement, elle le dit car elle n’en puis plus d’être avec Karénine, parce qu’elle veut passer le restant de sa vie avec Vronski et non par honnêteté et bravoure. Elle a fait son choix entre regret et remords soit. Mais après, elle n’a pas à se conduire en gamine avec Vronski notamment. Et franchement, à quoi cela lui a servi d’aller à l’opéra se faire remarquer ? De plus, elle m’énerve : je suis dans l’incompréhension complète ; comment peut-on aimer son fils plus que sa fille ? Préférer un de ses enfants à un autre ? Surtout qu’en plus, Serge est l’enfant de Karénine alors qu’Annie est l’enfant de Vronsky. Alors s’il existe une logique en terme d’amour, je dirais qu’il semble beaucoup plus logique qu’Anna soit plus attentionnée envers la fille de l’homme qu’elle aime. Sa destruction magistrale est tout de même un des piliers sur lequel repose le roman, et sa descente vers la folie est tout simplement merveilleusement bien décrite. Le noir de la robe qu’elle choisit pour le bal chez les Schterbatski est caractéristique, cette couleur annonce sa déchéance.
Un passage qui ne m’a pas trop emballé : celui de la course de chevaux. Je ne saurais exactement expliquer pourquoi mais je l’ai trouvé trop long.
Un petit regret : Koznitchev ne demande pas la main de Varinka finalement. Je trouvais qu’ils allaient bien ensemble et que ça faisait mignon this « proposal »champêtre.
Comme je l’ai dit, certains passages sont marquants par leur puissance, mais je n’inclurais certainement pas la mort de Nicolas dans ceux-là. En effet, je n’ai ni trouvé cette partie émouvante ni prenante ; selon moi il sert juste à montrer la femme qu’est devenue Kitty et marque le début du questionnement de Levine.
En parlant de ce questionnement, j’aime beaucoup la fin. Curieusement, cela me fait penser à « Avec vue sur l’Arno » de E.M Forster avec le questionnement de George qui se résout par un oui, un grand oui, la certitude de vivre pour quelque chose.
Anna Karénine
Anna karénine, célèbre roman de Tolstoï publié en 1877, raconte, contrairement à ce que son titre indique, la vie et ses aléas de l’aristocratie russe du 19e siècle du point de vue de plusieurs personnages : en effet, il n’est pas question que du personnage d’Anna Karénine, mais d’un bien plus grand nombre de personnalités. Ce roman met, en grande partie, deux situations plutôt distinctes en comparaison.
D’une première part, Lévine et Kitty Stcherbatski : couple emblématique du récit qui ne cesse de se développer au fil des chapitres. Kitty est, selon moi, la figure qui ne cesse d’évoluer. Partant d’une jeune fille perdue, étourdie, et gâtée sur les bords, on la retrouve à la fin du roman dans la peau d’une femme adulte, responsable et mature. Lévine, quant à lui, est, dès le commencement, une figure attachante, tant par son amour, au début non réciproque pour Kitty, que sa droiture morale et ses convictions. L’auteur dépeint avec précision ses émotions et son ressenti par rapport à la vie ; il se questionne sur la vie et la mort, et ne cessera de philosopher jusqu’à la fin du récit. Le lecteur détient également la possibilité de découvrir en détails ce qu’éprouve Lévine envers sa femme, à travers les nombreuses pages où il est question de son point de vue.
D’une seconde part, face au calme et au bonheur de ce premier duo, l’auteur y oppose les humiliations et la débauche du couple d’Anna karénine et d’Alexis Vronski. Anna est belle, majestueuse, mais d’une froideur à faire peur : elle impressionne. Vronski, quant à lui, est vaniteux, égoïste. Le lien qui les unit est puissant à tel point qu’il les emprisonne et les empêchent de se libérer. Leur relation est si mauvaise qu’Anna voit comme dernier recours le suicide ; et j’ai trouvé assez « amusant » le fait que la majorité des motivations de son acte sont uniquement de rendre son compagnon jaloux. Elle souhaite le faire souffrir atrocement, qu’il l’aime éternellement sans jamais pouvoir ressentir une quelconque sentiment envers une autre femme.
On perçoit assez bien grâce au déroulement de toutes ces actions, que la période romantique où l’expression des sentiments à son importance, affecte la littérature de l’époque. Les personnages sont torturés par leurs sentiments, sont prêts à mourir pour la simple réaction de leur partenaire, et exprime leurs très nombreuses plaintes à travers de longues et douloureuses lamentations. J’ai particulièrement aimé la façon dont Tolstoï expose les imperfections des personnages, qui, au fil de leurs fautes, deviennent de moins en moins fictifs à mes yeux. On arrive, d’un regard certes relativement détaché de la réalité, à s’identifier. On finit par éprouver de la pitié, on pourrait presque les comprendre. L’exemple qui me semble le plus évident serait Anna. Cette femme a tout et qui pourtant poursuit une quête totalement insensée : tourmentée par ce qu’elle ressent, elle agit de manière complètement démesurée et se plonge dans des réflexions ma foi peu nécessaires, pour une action n’ayant pas beaucoup d’intérêt. L’auteur décrit si bien l’envergure des sentiments qu’on peut parfois ressentir, que j’ai personnellement eu beaucoup mal à rester impavide face aux nombreux passages où Anna évoque ses sombres pensées qui, petit à petit, deviennent suicidaires.
J’ai également apprécié tous les parallèles qu’a effectué l’auteur. Que ce soit le train, qui surgit au commencement du roman (c’est d’ailleurs ici que la relation entre elle et le compte Vronski prend une tournure plus complexe !) et qui devient son lieu de mort à l’aboutissement du récit, au fait que les deux partenaires d’Anna s’appellent tous deux Alexis, je les ai tous trouvé très intéressants à observer. Pour revenir à la problématique des prénoms, je n’ai pas percuté tout de suite ce jeu de rôles ; en effet, malgré qu’ils n’aient tous deux aucunes ressemblances, que ce soit dans leur mode de vie, leur agissements ou leur physique, une seule chose les rattache : Anna. On remarque d’ailleurs que cette dernière tisse un lien entre de nombreux personnages, et qu’elle est la cause cachée de nombreux événements (comme le fameux mariage de Kitty et Lévine par exemple).
Enfin, j’ai pris grand plaisir à découvrir l’écriture de l’auteur. Il décrit les relations humaines dans toute leur splendeur et leur complexité, et retranscrit d’une ravissante façon l’ampleur des émotions dans une relation, quelle qu’elle soit.
Je finirai cette courte et, il faut l’avouer, assez médiocre analyse par les mots d’Alfred de Musset, qui selon moi décrivent à la perfection ce roman : « Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées (…) ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. »
Anna Karénine
La première fois que j'ai découvert le nom d'Anna Karénine, je lisais Les Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. Il s'agit du livre préféré de la mère des trois enfants, qui leur lisait régulièrement le soir, avant qu'ils aillent se coucher. Un peu étrange comme habitude, mais dans la lignée de l'univers d'ASOUE.
16 ans plus tard, ce détail prend tout son sens. Je vois l'une de mes sagas préférées sous un autre jour complet.
Les mots de Tolstoi résonnent encore dans ma tête.
Un pavé certes. Mais un pavé bien écrit, plutôt accessible, pour un classique. La langue est simple. Les événements s'enchaînent. Les personnages sont nombreux et attachants pour certains. Les points de vue sont divers et changent régulièrement. Les thématiques abordées sont toujours actuelles (je pense notamment à la dépression).
Un ovni littéraire par rapport aux autres oeuvres de la même période, qui n'a toujours pas fait son temps, qu'on peut toujours lire aujourd'hui tant il continue de faire sens.
Un livre dans lequel on peut se retrouver. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il n'y a pas que deux chemins correspondant aux deux points de vue principaux (Anna et Levine), mais une infinité d'entre-deux gris (chaque personnage correspond à un exemple). A chacun de définir sa propre position.
Une surprise et un coup de coeur immense.
Anna Karénine
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Le style est simple et se lit très bien. Cependant il y a beaucoup de longueurs et moi aussi j'ai compté le nombre de pages restantes qui me séparaient de la fin.
Anna Karénine : elle ne m'a pas du tout fait rêver loin de là. Je la trouve tout à fait pathétique et égoïste. Certe on imagine aisément que son mariage est loin d'être romantique et d'amour mais je pense que son mari n'est pas un mauvais bougre, mais peut être trop gentil. Elle est prévenu par son mari qu'elle va se brûler les ailes mais non elle plonge égoïstement dans cette passion dévorante et ne pense pas une seule seconde avec son coeur de mère mais avec son coeur de femme.
Vronski : je n'ai rien aimé de ce personnage égoïste et personnel. Et je n'ai pas été émue par ce qui lui arrive.
Kitty : j'ai adoré ce personnage qui est simple mais tellement gentille. J'aime l'amour quel porte à
Lévine : mon personnage préféré. J'ai aimé sa simplicité et l'amour qu'il porte à sa bien aimée.
Je ne regrette pas ma lecture, un classique à lire absolument
Anna Karénine
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Rien n'est laissé de côté. Les lieux, les intrigues, les personnages sont liés d'une manière complexe qui pourrait dissuader la lecture si tout n'était pas aussi clair et précis.
Pour chaque idée exprimée (mêmes celles présentent dès les premières pages du roman), nous retrouvons un développement et une finalité au fur et à mesure du déroulement de l'histoire.
Anna, Dolly, Lévine ou encore Vronski : aussi différents soient-ils, j'ai trouvé tous ces personnages intéressants. Leurs aspirations, leurs doutes, leurs sentiments et leur récit personnel sont habilement disséqués par Tolstoï tout au long de cette œuvre dont le nombre de pages me paraît finalement nécessaire : réduire la taille de ce roman reviendrait à le départir de cette exhaustivité.
Anna Karénine
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En commençant ma lecture, je me suis demandée dans quoi je m'étais embarquée. De fait, je trouvais assez perturbant le fait que le personnage éponyme, cette chère Anna Arcadièvna, n'apparaisse qu'après plus de soixante-dix pages et je dois avouer que je commençais à trouver quelque peu ennuyeuse la description des activités sociales d'Oblonski.
Cependant, une fois que l'histoire est mise en place, il devient beaucoup plus difficile de lâcher son livre. L'on comprend en effet qu'il s'agit de la comparaison des choix d'Anna et de Lévine, dans leur recherche du bonheur; quête qui se révèle fructueuse pour l'un et tragique pour l'autre. En fait, Tolstoï nous présente plus qu'un simple roman, il dépeint la société russe de son époque et nous prévient de certains dangers, certains obstacles à notre quête pour atteindre le bonheur.
Je vous recommande vraiment la lecture de ce roman.
Anna Karénine
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