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On suit avec plaisir le quotidien et l'évolution des pensées de ces personnages et de leurs proches sur de longues années jusqu'à la guerre de Sécession. On regrettera seulement que la chronologie ne soit pas plus explicite car on peut sauter une année ou plusieurs d'un chapitre à l'autre sans que cela nous soit dit explicitement. du coup je me repérai à l'âge des enfants afin de me rendre compte si beaucoup de temps s'était écoulé ou non. En somme ce n'était pas trop pratique.
Les personnages ont chacun une personnalité affirmée et leurs relations sont donc intéressantes à suivre. Les atermoiements amoureux de Miriam permettent au personnage de s'émanciper et à laisser de côté ses illusions. Tout cela raconté sans grande mièvrerie ce qui est plutôt positif.
Même s'il est intéressant de découvrir la montée en puissance des idées abolitionnistes et l'opposition des sudistes, il est regrettable qu'une petite partie seulement du roman traite vraiment de la guerre de Sécession et de son impact sur la vie quotidienne des soldats et des gens à l'arrière . de plus, la multiplication de références à des gens réels ayant pris part à cette guerre, sans que l'on ait une petite biographie à la fin du livre ou bien des informations en notes de bas de pages, rend la compréhension du rôle de chacun un peu difficile et c'est assez dommage. Je dois bien avouer qu'à part Lincoln et Johnson que je connaissais avant, j'étais un peu dans le flou pour comprendre l'impact des autres sur le déroulement de la guerre.
En somme une lecture romanesque sympathique qui constitue une bonne introduction à cette période historique trouble des Etats-Unis mais qui gagnerait à être complétée par un petit dossier d'informations sur la guerre de Sécession
Les Cèdres de Beau-Jardin
J’ai bien-aimé le contexte historique les guerres le crack boursier mme si cela aurait pu être plus approfondi
J’ai détesté la façon dont est traitée l’adultère et le viol mari/femme du côté masculin et somme toute pas si grave que ça et la tolérance de ses violences du côté des femmes
C’était très énervant
J’espère que ce n’était du qu’aux personnages et à l’époque du roman et non pas l’opinion de l’auteure
Les Werner
Elle sait nous amener a partager le quotidien de ses personnages. Son écriture fluide ne nous permet pas de fermer le livre avant d'avoir lu le fin mot de l'histoire.
Un thème bouleversant _ la violence conjugale_ traité ici avec beaucoup de tact.
A lire.
Les Silences du cœur
Le personnage de Lynn, mère courage qui tente de sauver un idéal familial qui n'existe plus, est très attachant. C'est une situation chez laquelle-malheureusement-beaucoup de femmes peuvent se retrouver. Quoi qu'il en soit, l'auteure à dépeint ce sujet sensible d'une manière admirable.
Les Silences du cœur
une histoire qui reprend de manière simple la discorde d'une femme qui se retrouve entre deux homme qu'elle aime !!
Les Cèdres de Beau-Jardin
Là où les chemins nous mènent
Là où les chemins nous mènent
Belva Plain nous entraine à nouveau dans un tourbillobn de sentiments tel qu'elle sait le faire et on dévore ce livre jusqu'à la dernière page.
Là où les chemins nous mènent
Le secret à une part importante dans cette histoire émouvante.
C'est aussi un beau roman d'amour.
À force d'oubli
Les Cèdres de Beau-Jardin
Miriam n’est encore qu’une enfant lorsque son père les emmène en Amérique, son frère et elle. Tandis que David, l’aîné, réalise qu’il ne pourra jamais accepter de vivre dans un monde où règne l’esclavage, elle-même endosse le rôle que la société attend d’elle et s’enferme dans un mariage qui la conduit jusqu’aux Cèdres de Beau-Jardin.
Un seul coup d’œil sur la quatrième de couverture m’a convaincue d’acheter ce livre. Vieux Sud, guerre de Sécession, il ne m’en fallait pas plus. Évidemment, on est loin d’un Autant en emporte le vent, mais alors, qu’est-ce que ça vaut ?
Eh bien… Il y a du bon, et du beaucoup moins bon. Je mettrai au crédit de ce roman la confession juive de ses protagonistes, qui apporte une touche d’originalité bienvenue à la sempiternelle opposition Union / Confédération, esclavagistes / abolitionnistes.
C’est surtout David qui porte sa religion comme un étendard. Dévot, fidèle aux principes et aux traditions, il ne s’explique pas comment ses semblables, issus de ce peuple de tous temps persécuté, peuvent cautionner, et même participer à l’exploitation d’autres êtres humains.
Les personnages ont pour eux de ne pas être manichéens. On peut ne pas les aimer, mais on ne peut pas foncièrement les détester. En tout cas, je n’ai pas plus apprécié Miriam et David que je n’ai méprisé Eugène ou Eulalie.
Il en va de même pour les différents camps. Le Sud n’est pas le mal incarné, et le Nord est loin d’avoir les mains propres. Les Blancs ne sont pas tous de vils propriétaires d’esclaves impitoyables, et les Noirs, de pauvres et innocentes victimes en quête de liberté.
Là où ça pèche, c’est… à tous les autres niveaux, je le crains. La narration est souvent confuse, car ponctuée d’ellipses, d’évènements relatés a posteriori, de digressions, de dialogues artificiels, de « Bah » à n’en plus pouvoir, de redondances…
Et malgré leur caractère nuancé, les protagonistes sont très stéréotypés et n’existent presque qu’à travers leurs idées. David et ses grands discours sur la justice et l’égalité ; Miriam et ses réflexions sur la condition féminine ; le changement et l’adaptation du judaïsme, la question de l’esclavage, l’économie, l’honneur…
Il y a parmi tout ça quelques bonnes idées, qui ne réussissent hélas pas à briller. Je pense notamment à Miriam, mariée sans comprendre ce qui lui arrive, sans trop s’interroger, simplement parce qu’on l’a persuadée que c’était là ce qu’il convenait de faire. Elle semble par la suite déterminée à s’affranchir des carcans sociaux… sauf que non, elle commet juste une erreur similaire en se jetant dans les bras d’un homme qu’elle n’aimera pas davantage.
En fait, l’auteur a un sérieux problème avec l’évolution de ses personnages. À aucun moment elle ne la dépeint, elle se contente, dans le meilleur des cas, de l’évoquer, et le reste du temps, il résulte de ce traitement maladroit un sentiment de stagnation.
Quand Miriam décide de reprendre les affaires de son mari en main, par exemple, il faut attendre le chapitre suivant pour apprendre que, depuis des mois, elle accomplit plutôt bien cette tâche, et c’est à peu près tout ce que l’on en saura. Ce défaut atteint son paroxysme à la fin, lorsqu’elle ouvre en quatre paragraphes les yeux sur une liaison qui sonne plus que faux à ceux du lecteur depuis la moitié de l’ouvrage, avant de retourner brusquement sa veste pour aller chercher consolation là où on devinait dès le début qu’elle irait la puiser.
La plupart des rebondissements sont posés, lâchés, mais certainement pas amenés. Il n’y a pas de fluidité, on saute du coq à l’âne, et on s’appesantit sur des détails, des descriptions surperflues, au lieu de donner du corps et de la profondeur à ce qui en nécessiterait vraiment. Ce n’est pas tant un roman que j’ai eu l’impression de lire que les grandes lignes d’un récit, à cause de la manie de l’auteur de passer de A à Z en négligeant systématiquement le reste de l’alphabet.
Et le pire, là-dedans, c’est bien Beau-Jardin et ses fameux cèdres. Ne vous attendez pas à un domaine de l’importance de Tara (en terme de présence). Il existe, c’est tout, et la seule chose qu’on en retiendra, c’est que Miriam ne l’aimait pas. Enfin, ce n’est pas comme si le livre était nommé en son honneur…
Vous pouvez vous laisser tenter par cette histoire si le cœur vous en dit, elle n’est pas à jeter, elle a même quelques qualités, mais je n’ai pas été convaincue par la façon dont Belva Plain a choisi de la raconter. Il y a trop de superficiel, pas assez d’essentiel. Dommage.
Les Cèdres de Beau-Jardin
Promesse
Les mirages du destin
L'histoire traverse un siècle, aussi Belva Plain nous décrit le contexte, entre les guerres, les krachs boursiers, l'evolution de la mode, le racisme, etc. Elle évoque également les évènements qui peuvent traverser une vie : les naissances, les décès, les échecs, les réussites, etc. J'ai vraiment aimé me plonger dans cette fresque romanesque. J'ai vraiment eu la sensation de m'évader, j'oubliais tout le reste.
Les saisons du bonheur
L'auteure maîtrise le sujet, et décrit avec justesse les ravages de ces combats autant dans le camps des yankees que des sudistes.
Certains personnages comme David, le frère de Myriam, se démarque particulièrement. Il défend ses idées dès son plus jeune âge.
Myriam, quant à elle, est plus douce, mais fait preuve d'une force à toute épreuve !
La plume est poétique, mais il y a beaucoup de répétitions notamment du verbe "dire", et parfois certaines répétitions sur la même ligne !
Les personnages utilisent la même expression de langage le mot "bah !". Alors certes, il faut que certains personnages s'expriment d'une certaine manière mais si tous disent la même chose tu as dépersonnalise les protagonistes.
Malgré un style singulier et plaisant, je n'ai pas accroché à l'histoire que j'ai trouvé très longue à commencer et à terminer.
Les Cèdres de Beau-Jardin