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Par kymmy38 le 18 Janvier 2021 Editer
kymmy38
Un roman divertissant sur l'urbex, pratique peu connue. Quand quelqu'un vous propose 32 000 € pour passer toute une nuit dans un ancien sanatorium, vous réfléchissez à 2 fois avant de dire non.
Le sujet du roman était suffisamment intéressant pour m'interpeller. Par contre j'ai été rebuté par les dialogues que j'ai trouvé très niais, surtout au niveau des 2 couples. L'histoire est tout de même bien mené et jusqu'à la fin, le suspense demeure.
A propos du livre :
Urbex Sed Lex
Urbex Sed Lex
Par Lecture_en_famille le 8 Mars 2024 Editer
Lecture_en_famille
wow je ne sais pas si c'est parce que je ne suis pas rassurée dans un ascenseur, mais j'ai rarement lu un thriller qui m'ait autant oppressée !

Dès les premières lignes l’auteur sait captiver notre attention, je me suis demandée où cela aller nous mener et j’ai eu bien du mal à lâcher ma lecture avant de savoir ! Je peux vous dire que le stress est à son summum , j'ai parfois retenu mon souffle ! L'écriture très cinématographique fait qu'on ressent parfaitement les scènes, on a l'impression d'évoluer aux côtés de Patrick, limite on se surprend à sursauter !

C'est machiavélique à souhait, j'adore ! Les rebondissements sont aussi nombreux qu'inattendus, quand on pense avoir deviné un truc il se produit un autre évènement qu’on n’avait pas vu venir, c’est vraiment bien ficelé ; après cette lecture vous ne regarderez plus vos collègues de la même façon et aurez un petit arrêt avant de prendre l'ascenseur 😅 Je ne suis pas passée loin du coup de cœur mais j'ai trouvé le mobile un peu léger par rapport à la qualité l'histoire (mais de n'est que mon ressenti personnel bien sûr) et ça ne m'a pas empêchée de dévorer cette lecture en 2 jours à peine.

↪️ En bref un thriller haletant qui vous apportera une bonne dose de stress, foncez !
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par Abyssos le 23 Juillet 2021 Editer
Abyssos
Pratiquant l'urbex et étant passionné d'exploration urbaine, c'est avec un intérêt certain que je me suis penché sur Urbex Sed Lex. Derrière le titre de l'ouvrage, se cache une maxime latine au nom tristement évocateur : Dura Lex, sed Lex, qui signifie « La Loi est dure, mais c'est la Loi. » De quoi faire frissonner avant même d'avoir ouvert le livre !
Les premiers chapitres ont un objectif double : planter le décor de l'histoire et expliciter la pratique et les codes qui régissent l'exploration urbaine. Si je ne reviendrais pas sur le second, le premier est assez simple à résumer : quatre jeunes explorateurs reçoivent via leur site internet une proposition alléchante, celle de recevoir 32.000 euros s'ils parviennent à passer une nuit dans un lieu désaffecté. Les autres chapitres constituent, naturellement et sans suspense aucun, cette exploration qui tourne au cauchemar.
Si l'on peut pardonner le pitch simple, vu et revu dans les slashers au cinéma ou dans les polars en littérature, le style et le manque de profondeur de l'ouvrage sont eux, impardonnables.
Des dialogues complètement creux et ratés aux personnages ultra stéréotypés à la psychologie franchement limitée en passant par des situations peu voire pas réalistes du tout (est-il vraiment possible de porter quelqu'un, tout en tenant une lampe torche pour s'éclairer dans le noir, tout en ayant une attelle rudimentaire faite avec du scotch ?), Christian Guillerme passe complètement à côté de son propos en plus de faire passer les « vrais » urbexers pour des attardés.
Même dans la narration, l'auteur patauge avec des descriptions certes parfois fouillées mais qui, répétitives et redondantes au fil des pages, finissent par s'étioler et perdre en intensité. Chapitre après chapitre, la vague impression que l'auteur s'est forcé à écrire la suite de son manuscrit se fait sentir. L'originalité et les surprises qui permettent de tirer son épingle du jeu dans ce genre littéraire très convoité et sur-exploité sont ici complètement absents. Beaucoup d'appelés, peu d'élus comme on dit.
Au final, Urbex Sed Lex semble plus être une tentative honnête mais ratée d'un auteur qui semble avant tout avoir voulu se faire plaisir en écrivant une fiction sur sa passion. Dommage que l'objet final, lui, ne reflète ni la beauté ni l'intensité de cette passion que je partage avec l'auteur et que je peine ici à reconnaître tant le livre cumule les écueils du genre.
A propos du livre :
Urbex Sed Lex
Urbex Sed Lex
Par Julitlesmots le 14 Juillet 2020 Editer
Julitlesmots
Je suis passée par plusieurs phases tout le long de cette lecture, alors que je n’en attendais rien de spécifique, puisque je n’avais lu aucun avis, ni regardé la bande annonce.

Mais l’exploration urbaine des lieux abandonnés est un domaine que je connais bien, pour l’avoir pratiquée, il y a quelques années. J’aime m’imprégner de ces lieux glauques que l’être humain a soit par choix, soit par nécessité, décidé de ne plus entretenir, laissant ainsi la nature ou l’homme reprendre ses droits. Je connais cette sensation d’euphorie qui prend aux tripes, lorsque l’on découvre l’usine désaffectée dont parlent les potes, ou cette maison de maîtres en ruine, ces catacombes interdites ou certains tunnels de métro… Bref, sans rien attendre de particulier sur l’intrigue, j’en attendais un minimum, vu le titre.

J’avais une vague sensation que le fantastique allait croiser la route des protagonistes, finalement, il n’en est rien, cela n’aurait pas été si gave si le reste avait été à la hauteur.

Le prologue qui sert de base à l’intrigue, laisse peu de place à la découverte, puisque l’on comprend vite dans quelle direction l’auteur va se diriger. Il est assez visuel, sympathique, pose les jalons de l’aventure que vont vivre les personnages évoqués dans la 4ème. On s’attend à entrer rapidement dans le vif du sujet, pourtant, il faudra patienter jusqu’au chapitre treize pour que l’on se retrouve dans ce sanatorium désaffecté de Dreux qui existe bel et bien puisque le préambule prend sa source dans un fait divers bien triste qui a eu lieu en 2016, lors duquel un gamin de 19 ans a fait une chute mortelle de cinq mètres.

Les relations entre les protagonistes sont d’ailleurs vite posées, l’intrigue débute dans l’appartement d’un des couples. Était-il besoin de préciser que l’appartement parisien était loué par Chloé et qu’elle était assise près de Théo son « amoureux »… Je suis certaine que vous m’imaginez lever les yeux au ciel… Et l’entrée en matière donne l’impression de se trouver devant une mauvaise scène de théâtre, où le ridicule des mots laisse la place au ridicule des gestes.

Plusieurs constructions sont maladroites, et ne font que creuser le déficit de bonne volonté, dont j’essaie de m’armer, notamment, dans cette phrase : « Le regard chevillé sur le ruban de goudron en mouvement… « , Ou ici : « Le bitume luisant… « Ou encore là « … La messagerie de leur site, désespérément orpheline d’une réponse à son envoi nocturne… »

J’ai aussi découvert, que l’on chevauchait de hauts tabourets, que l’on pouvait faire pivoter sa compagne vers soi et que l’on pouvait faire beaucoup de chose de concerts… Que l’on badigeonnait les cloisons de rayons lumineux (sous-entendant les lampes torches), qu’une pièce pouvait nous saisir au détour d’une cloison, que la sueur pouvait poindre sous nos aisselles… Bref, je vais m’arrêter là, car il y en a beaucoup.

Dommage, car l’auteur démontre à plusieurs reprises qu’il sait manier les mots, mais surtout qu’il a des connaissances linguistiques avec des mots recherchés qui font sens et pourraient donner corps au texte, mais deux lignes plus haut ou plus bas, on tombe sur des tournures maladroites qui cassent le rythme.

Concernant les personnages, ils manquent de construction et se ressemblent tous, même les fameuses ombres qui les traquent… Dommage d’ailleurs de ne pas avoir trouvé d’autres surnoms… Ombre 1, ombre 2… Comme si une paresse s’était saisie de l’auteur…

Alors qu’il arrive parfaitement à nous décrire une de ces ombres et à lui donner vie tout en la rendant antipathique !

Les couples manquent de crédibilité, les dialogues entre eux, sont creux et sans saveur, avec une pointe de fausseté qui m’a exaspérée. Les « ma puce », mon « grand bêta », même au cœur de l’horreur, n’ont aucun sens et n’ont pas leur place dans ce contexte. L’auteur, en réponse à l’un de mes commentaires sur Instagram me parle de parti pris dans la narration…

Je comprends que l’on puisse choisir tels ou tels mots, mais dans le contexte du livre, cela n’apporte rien et n’a pas sa place dans un thriller. Dans une romance tout au plus, mais dans un thriller, ça casse le rythme et c’est infantilisant.

L’auteur, dans un autre commentaire, sous un retour de lecture, parle de petits surnoms que l’on peut se donner dans la vie quotidienne… Sauf que dans la vie quotidienne, si je me retrouve en danger, je ne me vois pas utiliser des mots doux : « chérie, mon grand bêta, nous allons nous noyer… » Je dirais plus : « bordel de merde, on va se noyer! »

Les rires sonnent faux, comme si l’auteur avait du mal à leur construire une identité propre. D’ailleurs, aucun ne se démarque, même si l’auteur tente de présenter Fabrice comme le leader, cela ne matche pas.

Pour autant, la description qu’il fait du gardien du sanatorium, seul personnage dignement construit en si peu de phrases, démontre que l’auteur a cette capacité, lorsqu’il daigne élaguer et s’affranchir des images alambiquées et pseudo-poétiques, qui ne font qu’alourdir le récit.

Si comme moi, vous voulez frissonner, vous serez déçus. Comme on ne s’attache pas aux personnages, on ne s’angoisse pas pour eux non plus et franchement l’accent n’est même pas mis sur le glauque du lieu, puisque l’auteur se contente de décrire d’une manière succincte ce qui s’est passé dans ce sanatorium. Alors que son histoire est terrible…

C’est un texte qui aurait mérité plusieurs relectures et une correction plus poussée, qui fait davantage penser à un scénario qu’à un livre, les descriptions des lieux sont d’ailleurs très visuelles, ce qui montre que l’auteur a fait ses repérages et ses recherches.

Un sujet largement exploité au cinéma, qui ne laisse aucune surprise. On comprend rapidement la direction que l’auteur fait prendre à son quatuor, dont chaque personnage manque d’épaisseur.

https://julitlesmots.com/2020/07/14/urbex-sed-lex-de-christian-guillerme/
A propos du livre :
Urbex Sed Lex
Urbex Sed Lex
Par EntreDeuxLivres le 14 Mai 2020 Editer
EntreDeuxLivres
✔️Mon ressenti : Nelly Toscher, auteure de Dark Romance et de Thriller et Christian Guillerme, auteur de Thriller horrifique sont deux auteurs inséparables en dédicaces.
Amis dans le vie, ils nous offrent ici un recueil de 8 nouvelles. Je ne vous les résume pas pour vous laisser la surprise !
Alors, non, ils n’ont pas choisi d’écrire à 4 mains, mais ils alternent à tous de rôle leurs visions de la noirceur. Chaque nouvelle a un décor bien différent et les deux auteurs excellent dans l’art de tout mettre en place rapidement. Ils y ajoutent une bonne dose de suspense et nous embarquent dans une angoisse millimétrée.
L’autre difficulté de la nouvelle est d’offrir une fin idéale et pour le coup c’est carton plein à chaque fois.
Ce qu’il y a de bien avec les nouvelles, c’est qu’elles peuvent être lues lors d’un trajet ou lors d'une panne de lecture puis laissées de coté et être reprises plus tard. Quoique durant un trajet, c’est peut être pas le bon plan pour certains, Christian, tu as un problème avec le transports non ?
Moi qui n’aimait pas le format il y a quelques temps, j’avoue l’apprécier de plus en plus, surtout quand la qualité est au rendez vous comme c’est le cas ici.
?Mots Clefs : Nouvelles / Recueil / Noir / Angoisse / Suspense
?Ma note : 17/20
A propos du livre :
L'Heure du néant
L'Heure du néant
Par Coetseslivres le 12 Mai 2020 Editer
Coetseslivres
***Les nouvelles de Nelly : Dans chacune, il est question d’un couple. La parité est même respectée puisque tantôt l’homme, tantôt la femme sont les personnages principaux. Vengeance, folie, mari battu et même du fantastique sont au programme. La dernière est la moins noire, les autres sont plus tournées vers une descente aux enfers.
-La promesse : l’amour, les coups, la prison, l’espoir
-La photo : l’artiste, la rencontre, la jalousie
-Artmoureux : l’amour, les livres, le succès
-Le secret de Nina : l’amour par delà le temps
***Les nouvelles de Christian : Les personnages principaux sont des hommes, seuls. Folie, réseaux sociaux, montée d’angoisse et même un petit retour à la fin des années 20 sont au programme. L’univers est plus sombre que celui de Nelly, même si l’une des nouvelles est porteuse d’espoir.
-Le sablier : réseau social, informatique, piratage
-Le cri : RER, angoisse, cauchemar ou folie ?
-Toekomst : avenir, couleur, noir
-Bonne année : italien, expression, surprise
Poser atmosphère et personnages n’est jamais évident dans ce format et pourtant Nelly et Christian y sont très bien arrivés, chacun avec son style propre. Les nouvelles sont variées et entrainantes, les récits sont bien construits et rythmés. Chacun pourra trouver chaussure à son pied .Un excellent moment de lecture !
A propos du livre :
L'Heure du néant
L'Heure du néant
Par Thrillerschronicles le 23 Avril 2024 Editer
Thrillerschronicles
Après avoir lu ce livre, vous ne verrez plus les ascenseurs de la même manière, je vous l'assure. Pour les claustrophobes, peut-être vaudrait-il mieux emprunter les escaliers... Ou peut-être pas...

"Étage 46" est ma première incursion dans l'univers littéraire de Christian Guillerme, et je ne suis pas déçu de cette découverte.

Christian Guillerme nous scotche littéralement, ne nous laissant aucun répit. Nous nous retrouvons prisonniers de cet ascenseur malgré nous, pour toute la durée de notre lecture. Un subtil mélange entre "Piège de cristal" et, pour quelqu'un comme moi, presque dans la cinquantaine (le 16 avril), "La Tour infernale"...

Philippe prend sa retraite, et pour marquer cet événement, il organise un pot de départ au 45ème étage. de nombreux convives sont présents, parmi lesquels Patrick, l'un des collaborateurs les plus proches de Philippe et son meilleur ami. Patrick est le gars sympa, toujours prêt à plaisanter.

Quelques minutes plus tard, Patrick se retrouve coincé dans l'ascenseur, persuadé d'être la cible d'une plaisanterie orchestrée par Philippe pour célébrer son départ. Mais au fil des échanges via l'interphone, l'ambiance change, et une atmosphère oppressante s'installe. Pris de panique, Patrick tente de comprendre qui pourrait lui en vouloir à ce point. Il est impératif de sortir de cette cabine d'ascenseur devenue anxiogène au fil des heures. La folie menace, mais Patrick doit surmonter sa peur. Il lui faut trouver une solution face à cette personne qui semble tout contrôler à distance depuis le PC sécurité. Mais qui est vraiment aux commandes ?

Pris au piège dans cette tour de 45 étages, Patrick parviendra-t-il à trouver une issue à l'étage 46... ?

C'est un huis clos anxiogène et oppressant que nous offre Christian Guillerme dans son thriller. le personnage principal, Patrick, traversant toutes les émotions imaginables dans des conditions extrêmes, est parfaitement exploité.

Et que dire de la conclusion... tout simplement excellente. On reste captivé par cette lecture, une fois de plus, angoissante. Il est difficile de décrocher. Captivant, même si la seconde moitié du livre semble avoir des accents hollywoodiens, je suis convaincu que "Étage 46" pourrait aisément être adapté au cinéma.
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par Entournantlespages le 16 Avril 2024 Editer
Entournantlespages
Christian Guillerme nous plante rapidement le décor, nous présentant les principaux personnages et en mettant vite son héros en difficulté. Passée la question de savoir qui est le coupable, vient celle du pourquoi. Et c’est bien celle-là qui m’a tenue en éveil pendant toute cette lecture. L’immersion est efficace et la tension est palpable. Malheureusement, j’ai parfois eu du mal à vraiment y croire. Et cela m’a sorti de l’histoire.

J’ai eu du mal à croire que la personne retenant Patrick aille jusqu’à ses extrémités et prépare un plan d’une telle envergure. Comme j’ai eu du mal à croire que l’on puisse cacher l’étage entier d’un immeuble à tous ceux qui y travaillent. Pourtant, l’intrigue est bien tenue avec des moments de tension et d’action satisfaisants. Malheureusement, je n’y ai pas totalement trouvé mon compte.
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par Lillyunlivre le 4 Avril 2024 Editer
Lillyunlivre
MON AVIS

Ce que j’ai aimé :
+ Des rebondissements inattendus
+ De la surprise et de l’héroïsme
+ Un puzzle qui fait chauffer les méninges
+ Un suspens bien tenu et une fin digne de Die Hard !

Ce que j’ai moins aimé :
- Un début qui m’a rendu hésitante qui néanmoins explique bien la suite.

Pour la petite histoire :
Patrick fête avec ses collègues le départ à la retraite de Philippe, collègue et ami. La soirée touchait à sa fin sur une note bien heureuse avec Ambre, la nouvelle recrue, quand une mauvaise blague prend des tournures inquiétante.
Philippe est-il vraiment le collègue et ami attentionné de Patrick ?
Comment une simple blague a-t-elle pu tourner en un tel désastre ?

Mon Avis :
Au début de ma lecture, je n’ai pas trouvé mon bonheur. Je me disais que ça semblait long et pourquoi ces deux premiers chapitres ? J’ai rapidement réalisé que chaque chose allait servir pour mieux assembler le puzzle.

C’est une lecture qui captive, tout comme Patrick, le lecteur est amené à de demander pourquoi IL lui en veut autant ! Une blague ? Non ça part trop loin… Une rancœur ? Oui, mais POURQUOI ? On est amené à la réflexion, à se poser ces questions, à présumer, mais en quelques mots, nos convictions basculent, d’autres hypothèses viennent prendre la relève, mais elles aussi finissent par s’évérer incorrectes… J’avoue ne pas du tout mettre attendue à ce dénouement ! BRAVO ! C’est quelque chose que j’adore, être surprise pour le meilleur et pour le pire 😉

Les personnages sont très bien réfléchis, les maladies psychologiques sont à l’honneur, tout comme les petits tracas et comment on y fait face, en sommes l’auteur à bâcher son sujet et nous le propose de manière fluide et bien intégré à l’histoire.

Je dois dire que la fin m’a rendue toute triste… je ne m’y attendais pas, espérant une finalité heureuse, mais on ne peut pas tout avoir et c’est une fin digne de Die Hard, composé d’action dans la douleur XD

En conclusion, ne vous laissez pas duper par les apparences car L’étage 46 détient les réponses cachées dans un coin sombre !
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par CharlyyGentlePhoenix le 2 Avril 2024 Editer
CharlyyGentlePhoenix
Étage 46 - Un Livre de Christian Guillerme (Français, 1963) - 366 pages - Ed. L’oiseau Noir – Sorti le 23 Février 2024

« Le point zéro de sa vie » c’est le cumul de la souffrance ?! Violente dépression ! Que faire ? On se tue ? Non, mama compte encore sur nous ! …

« Ça vous amuse ? » l’interloque un de ses meilleurs élèves au sujet d’un devoir. Que peut-il bien avoir en tête ?
« — J’avais déjà remarqué que vous aviez quelque chose contre moi. Dès le début du trimestre, j’ai su que vous alliez me rabaisser à la moindre occasion. »
C’est pas tous les jours facile de se faire exploser la gueule par ses élèves qui jugent avoir un trop mauvais note.

Une personne se retrouve coincée dans un ascenseur « à la Stephen King »ils essaient tout pour s’en sortir, mais les urgences ne répondent pas… Ils seraient retenus par un certain « Patrick »

« Son instinct de survie lui commandait de composer avec son interlocuteur, il n’était plus maître de ses propres choix »

Je n’ai pas particulièrement chopé la peur des ascenseurs… Philippe s’imagine des histoires dans sa tête pour passer le temps.

Entre citations qui sont enfin reléguées au rang de « débiles » qu’elles méritent, autour d'un verre de champagne, Partick et Ambre s’attardent sur Philippe qui leur avait glissé un clin d’œil auparavant (l'histoire est quelque peu dans le désordre).

« Secouant la tête pour revenir au présent, Patrick arracha l’affiche au slogan éculé avant de la rouler en boule et de la jeter au sol. Il sortit en jurant de faire payer très cher ces deux tarés si jamais ils avaient posé la main sur Ambre.

Comment Philippe avait-il bien pu sombrer dans cette folie sans retour ? Tout cela lui paraissait totalement irréel »
« Connais-tu ce qu’on appelle le syndrome d’Hubris ?
Sans attendre de réponse, Patrick continua.
— En gros, c’est lorsque le pouvoir rend fou. On s’imagine au-dessus de tous, car on a un peu de puissance. »

Par un concours de circonstance,
Richard et Patrick vont devenir amis avec une bonne bière…

C’est très « huis clos » ! Je vais vous dire le « huis clos » tel que je l’aime et tel que je l’écris. Il s’agit d’un espace isolé mais pas exigu, comme, une petite île, mais pas déserte. Juste peu peuplée. Je fais entrer en interagir plus de personnages, les héros se déplacent (pas figés dans un ascenseur !) Voilà maintenant vous connaissez mon style qui est certes un « huis clos » moins poussé mais ça reste le genre.

La plupart des Livres commencent bien mais vont decrescendo, celui-ci maintient peu ou prou une certaine qualité.

Au final je me suis surpris à le terminer rapidement en en profitant un maximum, sans beaucoup me forcer. Un gage de succès.

Mais bien sûr il s’agit simplement de mon avis ! Vous pouvez vous faire votre propre avis ; -) …

Phoenix
++
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par Enlivre_moi le 15 Mars 2024 Editer
Enlivre_moi
Patrick s'apprête à partir de sa société pour le week-end, lorsqu'il se retrouve coincé dans l'un des ascenseurs de la tour. Manque de chance, mauvaise blague ou oeuvre d'un psychopathe ?

En tombant sur le résumé de ce roman je me suis dit qu'il était fait pour moi ! En effet, c'est tout à fait le genre d'intrigues que je regarde en film et je me demandais ce que ça allait donner en livre 😊

Et j'ai vraiment passé un très bon moment. On rentre vite dans le vif du sujet (et dans l'ascenseur 😆) et il n'y a pas de temps morts. Une sorte de Piège de cristal à la française (et en moins musclé). D'ailleurs j'ai aimé les références à ce film et à d'autres qui parsemaient le livre.

Nous avons donc un roman sans temps morts, avec de l'action mais aussi du suspense. Je n'ai pas peur de rester coincé dans un ascenseur, par contre être dans un grand immeuble vide la nuit c'est stressant 😱 Pourtant à chaque fois j'avais envie de vite reprendre ma lecture 😏

La fin était vraiment haletante et l'un des éléments m'a surprise, juste j'aurais aimé d'autres explications finales car elles sont quand même peu probables.

Bref, un thriller efficace qui fait passer un très bon moment en huis-clos ! Ascensumophobe (oui c'est le vrai mot !) s'abstenir !
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par Sophie-581 le 13 Mars 2024 Editer
Sophie-581
Je retrouve avec grand plaisir la plume de Christian Guillerme que j ai eu la chance de rencontrer déjà plusieurs fois

L auteur aime bien les lieux atypiques où installer son histoire puisque cette fois ci, il nous entraîne dans un ascenceur

J ai eu l occasion de prendre l ascenceur dans une des tours de la défense à l occasion d une formation. J ai le souvenir de la sensation lorsque l ascenseur monte dans les hauts niveaux sans s arrêter pendant une vingtaine d étages. Je ne m imagine pas du tout vivre ce que va vivre Patrick 😱

Tout un tas de coïncidences vont entraîner ce pauvre Patrick dans une terrifiante aventure...

L auteur nous prend au piège avec lui dans cet ascenseur puis dans ce mystérieux étage 46 où tout est possible et surtout le pire (quand même je suis intriguée par ces niveaux mystères qui existent dans certains bâtiments et réservés aux détenteurs de la "clef")

Christian Guillerme a une plume qui nous plonge au cœur de l histoire et nous fait totalement vivre les mésaventures de ses personnages

Encore une fois, j ai été embarquée dans l histoire du début à la fin, merci

Belles lectures à tous
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par Sorah le 7 Mars 2024 Editer
Sorah
Une fête de bureau pour la retraite de son ami Philippe.
Un passage dans l'ascenseur pour partir.
Et voilà un Patrick pris dans un engrenage délirant !
Blague de son collègue ? Ou bien est-ce le début d'une descente aux enfers ?

Voilà un huis-clos haletant et sans temps mort grâce aux chapitres courts et à l'écriture fluide et rythmée.
Christian Guillerme prend le temps d'installer son ambiance. L'angoisse monte peu à peu, la tension monte crescendo jusqu'à arriver à un rythme trépidant où l'on suit la survie de Patrick.

Comme lui, nous sommes dans le brouillard, nous ne comprenons pas les tenants et les aboutissants. On se demande "Mais pourquoi ?"

C'est d'ailleurs le petit bémol que j'aurais à faire sur ce roman. J'ai trouvé les explications un peu décevantes au vu de tout le reste. J'aurais aimé quelque chose de plus machiavélique encore. C'est mon côté psychopathe qui s'exprime 🤣
Idem, certaines choses se devinent facilement mais j'avoue que c'est venu sur le tard.

Je résumerais donc ce livre avec cette phrase:
"Quand survie rime avec folie !"

Je remercie les éditions L'oiseau noir ainsi que NetGalley pour la lecture de ce thriller !
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par sagweste le 28 Février 2024 Editer
sagweste
https://saginlibrio.over-blog.com/2024/02/etage-46-de-christian-guillerme.html

L'effet 'whaou' je l'ai ressenti en lisant ce livre quasiment d'une traite, impossible de lâcher Patrick, coincé dans un building par un psychopathe démesuré!

Deuxième roman que je lis de l'auteur (Transaction en 2021) et je suis scotchée par sa plume hyper addictive, ne laissant aucun répit à ses personnages ou au lecteur de souffler 30 secondes.

Une mauvaise blague, un collègue coincé dans un ascenseur, une voix synthétique qui intervient, et une nuit en enfer s'ouvre... brrr, on se laisse vivre au cœur de cette cabine de l'horreur et cette voix qui semble détenir le pourquoi du comment.

Je me suis beaucoup attachée à Patrick, sa détresse de ne rien comprendre, son angoisse d'être enfermé, de ne pas savoir combien de temps, et si une issue sera possible. Ses envies d'un ailleurs et d'un échappatoire, ses questionnements, sa colère, ses moments où il se sent déconnecté, ses interactions avec la voix...

ET le psychopathe dans tout ça? Je vous laisse le découvrir !!!

Un roman intense, magnifiquement noir! J'ai adoré et bien plus! J'adore tomber sur ce genre de pépite.

Enjoy!
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46
Par lecture_isst le 25 Février 2024 Editer
lecture_isst
Dans "Etage 46" de Christian Guillerme, le lecteur est catapulté dans un huis clos d'une intensité anxiogène inégalée. L'auteur nous entraîne dans les méandres d'une histoire dont l'origine semble aussi mystérieuse que troublante. Dès les premières pages, aucune concession n'est faite au lecteur : les peurs les plus profondes, les phobies les plus obsédantes semblent prendre vie sous nos yeux.

L'expérience de lecture est intense, parfois même oppressante. On oscille entre le désir irrépressible de poser le livre, submergé par l'intensité du récit, et l'incapacité de le lâcher, happé par une narration d'une puissance inouïe. La plume acérée de Guillerme n'épargne personne, plongeant le lecteur dans un tourbillon de traumatismes et de sensations brutes.

Ce qui frappe dans "Etage 46", c'est la dualité permanente qui anime le récit. Parfois, la lenteur contraste avec la rapidité avec laquelle l'action se déroule. Les contraires s'opposent et se complètent, créant une tension permanente qui maintient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.

Mais au fait, qu'est-ce donc que ce livre ? Monter à bord de l'ascenseur avec Christian Guillerme, c'est accepter de se confronter à ses propres peurs, de plonger tête la première dans l'inconnu. "Etage 46" est bien plus qu'un simple roman, c'est une expérience sensorielle à part entière, une exploration des recoins les plus sombres de l'esprit humain.

En conclusion, "Etage 46" est un tour de force littéraire qui ne laisse personne indemne. Avec une maîtrise narrative impressionnante, Christian Guillerme nous offre un voyage au cœur de l'angoisse et de la folie, un véritable roller-coaster émotionnel dont on ressort bouleversé et ébloui. Une lecture à réserver aux âmes courageuses, prêtes à affronter le pire pour découvrir l'inattendu.
A propos du livre :
Etage 46
Etage 46

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