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Tous les livres de Christian Oster

Présentation de l’éditeur :

Marie m’invitait à passer quelques jours en Corse. Je pouvais venir avec qui je voulais. J’en ai donc parlé à Marc, que je fréquentais depuis trois semaines sur un court de tennis, du côté de la porte de Clignancourt. Lui-même en a parlé à un type que je ne connaissais pas. Sur la banquette arrière, j’ai pu caser la chaise que Marie m’avait laissée en s’en allant, deux ans plus tôt, et qu’elle me demandait de lui rapporter. Après quoi, tous les trois, on s’est dit qu’on ferait connaissance en chemin, et on est partis.

Les princesses, les lapins, les sorcières, les nains et les cochons sont des gens comme tout le monde. Les géants aussi. Moins. Mais quand même. C’est cela la révélation osterienne. Ils ont les problèmes de tout le monde. Enfin presque. Des problèmes de couronne qui rouille, d’amour transi, de bain qui refroidit, de cartable perdu, de sandwich périmé, de faux amis. De solitude. Certains lapins s’envoient leur touillette dans l’œil en buvant leur vodka orange. Certaines fées trouvent, avec raison, qu’on ne s’intéresse pas à qui elles sont vraiment. C’est cela qui est drôle. C’est dans les détails et les replis du cœur que la vie s’acharne sur nous, sur les fées, les ogres, les géants craintifs, les loups. Avec un altruisme imaginatif qui n’appartient qu’à lui, Christian Oster s’inquiète pour eux, pour nous. Pour ces trois pauvres hommes transformés en ours avec leur photo d’homme piquée dans leur fourrure. Et son inquiétude fait notre bonheur.

Que les princesses délicates prennent garde. Leurs baignoires accueillantes peuvent disparaître brusquement, s'envoler un beau jour dans la nature. Ainsi, dans cette histoire, quelqu'un a bel et bien dérobé le bain tout chaud de la princesse Anne. Le bain que son chambellan avait fait couler exprès pour elle. Et voici la princesse Anne entraînée dans des aventures dignes d'une fille de roi...

Dans les contes, les princesses sont toujours très belles, mais pas au point de faire fuir leurs prétendants ! C'est pourtant ce qui arrive à cette princesse, belle comme une image, qui a bien du mal à se trouver un mari. Quand un prince se décide enfin à l'épouser, il l'enferme illico dans un carton à dessin. La voilà transformée en portrait en pied ! Dans les contes, les chevaliers se prennent souvent des mauvais coups, mais pas au point de passer leur temps à l'hôpital ! Ce chevalier est si distrait qu'il lui arrive de partir au combat sans son épée. Alors forcément, il collectionne les blessures. Et sa vie serait une succession de plaies et de bosses s'il n'avait rencontré une jolie infirmière. Dans les contes, les princes sont toujours en quête d'une princesse, mais pas au point de s'en faire livrer par parachute ! Dans ce royaume où il y a pénurie de filles de roi, le prince Pierre et le prince Paul sont au coude à coude pour accueillir une jolie princesse expédiée par un pays voisin. Mais le vent souffle et emporte le précieux colis vers la forêt... Dans les contes, les histoires sont souvent incroyables, mais pas au point de nous entraîner si loin !

Ce recueil contient les histoires suivantes : La princesse qui n'existait pas, Le chevalier et l'infirmière, Le roi nain, Les deux princes.

Qu'est-ce qui pousse un loup à aller à la rencontre de drôles de personnages tels un pilote d'hélicoptère sans hélicoptère, une fée très très gaie, des gnomes en chemise fleurie, une sauterelle géante, un cochon transgénique ? Tout simplement, le loup doit absolument trouver un hélicoptère. C'est une question de survie.

La princesse est malade. Elle a un rhume. Et elle éternue. Que dis-je, elle éternue? C'est chaque fois une brise, une tempête, un ouragan, un tremblement de terre! Le médecin, tous les mouchoirs et tous les traitements, rien n'y fait. Et même, tout empire. Ses éternuements décoiffent les poireaux, déracinent les arbres, défrisent les valets de chambre et les servantes qui aimeraient bien qu'un chevalier de passage délivre la princesse de ses terrifiants éternuements d'ogresse. Par chance, au loin, un prince en mal d'aventures, en entendant ce tintamarre, croit avoir trouvé là un géant à combattre. Pour redorer son blason. Et, plus tard, séduire une pricesse...

Ce recueil contient les histoires suivantes : La princesse enrhumée, Le bûcheron scié, La fiancée du nuage, Les trois frères.

"Il était une fois, un loup, une coccinelle, une armoire, mais pas dans la même histoire. Le loup cherchait sa serviette, la coccinelle faisait des hold-up (quand on ne peut plus voler, il faut bien voler, non ?) et l’armoire, elle, allait se balader sur les terrasses de Paris dès qu’elle le pouvait. Si, en plus, de tout ça, on vous parle de canards laqués qui sortent des supermarchés en poussant des chariots remplis d’outils de jardin, bien sûr vous ne nous croirez pas. Vous n’êtes pas obligés mais bon, la vie est quand même beaucoup plus drôle, plus légère, plus farfelue quand on a lu ce livre. A vous de voir... "

Josiane est une demi-coquille d'œuf, Florence est une cigarette qui a arrêté de fumer et Jeanne est une très belle épluchure de pomme de terre. Elles n'ont rien en commun, sinon d'avoir été mises dans la même poubelle. Mais elles sont devenues amies et ont décidé de s'évader ensemble, en unissant leurs forces. Et seule leur amitié peut les sauver, car dehors la vie n'est pas tendre, même pour trois vaillants petits déchets. Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Cette poule-là n'est pas comme les autres. D'abord, elle réfléchit. Beaucoup. Elle se pose des tas de questions très sérieuses et elle aime en discuter avec ses amis de la ferme. Mais ce n'est pas la seule particularité de cette poule. Elle a aussi un secret, que la plupart de ses amis ignorent. Un secret parfaitement abominable.

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Réduire

L'éléphant de cette histoire est bien embêté, il s'est échappé du zoo et doit absolument se cacher pour ne pas être rattrapé. Mais comment se cacher quand on est très très gros, le plus gros animal de la Terre ? Il est désespéré : il a beau baisser la tête, garder sa trompe tout près de son corps, faire semblant d'avoir de minuscules pattes, rien n'y fait, on ne voit que lui... C'est alors qu'il entend une toute petite voix lui dire de faire attention. Et là commence une autre histoire... Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Le point commun entre les animaux de ce recueil, c’est qu’ils aimeraient pouvoir changer quelque chose à leur vie.

Tout le monde connaît la célèbre course du lièvre et de la tortue. Ce que personne ne sait, c’est qu’après la course, le lièvre et la tortue se sont revus, et sont tombés amoureux.

Paul est un oiseau qui rêve de prendre l’avion pour aller à New York. Il a beau se déguiser en hérisson ou en souris, il se fait toujours repérer avant le décollage.

Le travail du loup, c’est d’effrayer les promeneurs dans la forêt. Sauf que le loup aussi a besoin de vacances, et qu’il n’y a rien de tel que la plage pour décompresser. Mais comment résister à la peau bien rose d’une petite fille qui fait des châteaux de sable ?

Un canard et un jeune homme étaient tout l’un pour l’autre, jusqu’à ce qu’ils croisent la route d’une jeune femme. Et que l’aventure commence pour eux.

Ce recueil contient les histoires suivantes : Le mariage de la tortue, L'oiseau qui rêvait de prendre l'avion, Les vacances du loup, Le jeune homme et le canard.

Petit conseil à tous les princes en mal d'aventure : évitez de courir après les princesses le ventre vide.

Imaginez que vous rencontriez, comme le prince de cette histoire, une princesse très belle mais très endormie qui se transforme sous vos baisers en assiette de frites. Et pas n'importe quelles frites ! Des frites très fines, parfaitement croustillantes, dressées autour d'un steak cuit à point. Mmh... Et voilà que cette princesse transformée en steak-frites vous supplie de la manger alors que vous, vous ne songez qu'à l'épouser.

Il était une fois un lapin qui venait de s'installer dans un nouveau terrier. Ce lapin cherchait par tous les moyens à devenir ami avec ses voisins. Mais ni le mulot ni le hérisson ne lui adressaient la parole. Le lapin décida alors d'acheter une magnifique sonnette. Ainsi, quelqu'un aurait forcément envie de sonner à sa porte. Une nuit, pas de doute, la sonnette retentit dans son terrier. Est-ce vraiment prudent d'ouvrir sa porte à une heure pareille.

Il était une fois un cochon mal dans sa peau... Il se trouvait trop rose et ne supportait plus son reflet dans le miroir. Il y aurait bien un moyen de changer de couleur, tu pourrais bronzer, suggère son amie la poule. Bronzer devient alors l'unique obsession de notre cochon. Mais cette activité n'est pas aussi simple qu'elle en a l'air... Tout d'abord, il faut trouver du soleil.

Il était une fois une belle endormie et un prince charmant qui passait par là... Pardon ? Vous pensez connaître la suite ? Pour réveiller la dormeuse, selon vous, un simple baiser fera l'affaire ? Ce que vous ignorez encore, c'est que la belle était plus haute qu'un arbre et que sa bouche était si grande que le prince ne savait où donner des lèvres. Il lui était impossible de la secouer et encore moins de l'emmener sur son cheval. Mais la géante était très belle. Et le prince déjà follement amoureux. Il devait bien exister un moyen de la réveiller ! Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Il suffit parfois de s'autoriser une petite sieste pour perdre ses chaussettes... Ainsi, il était une fois un chevalier qui, en se réveillant de sa sieste, s'aperçut qu'il avait perdu ses chaussettes... Certes perdre des chaussettes n'est pas si grave. Pourtant le chevalier se pose deux questions très importantes. Un : où ont bien pu passer ses chaussettes ? Et deux : comment va-t-il, sans chaussette, pouvoir enfiler ses bottes, se mettre à cheval et aller délivrer la princesse ? Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Saviez-vous que pour bien exercer son métier, une fée a besoin de deux objets ? Une baguette magique en bon état de marche et un siège sur lequel s'asseoir en attendant que quelqu'un vienne lui demander d'exaucer un voeu. La fée de cette histoire est très satisfaite de ses outils de travail jusqu'au jour où elle estime qu'une professionnelle de sa classe ne peut se contenter d'une simple chaise. Il lui faut un fauteuil, c'est plus chic ! Mais où trouver un fauteuil de fée dans cette forêt ? La fée, le cochon et la chaise, vexée mais toujours prête à aider, se mettent en route. Ils découvriront au final que ce n'est pas le fauteuil qui fait la fée... Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Résumé

Récit des relations, compliquées, du narrateur avec une série de personnages qui entrent et sortent de sa vie : Elisabeth, qui réapparaît vingt ans après, Paul, qui habite chez lui avant de disparaître, Marianne, qu'il ne veut plus voir, et enfin Anne, qu'il n'a pas encore rencontré mais dont il sait qu'il ne se passera plus.

Quatrième de couverture

Vingt ans plus tôt, je connaissais bien Élisabeth. Mais, lorsqu'elle réapparaît et qu'elle m'en apporte la preuve, je n'en retrouve aucun souvenir. Paul, lui, habite pour l'instant chez moi. Mais, lorsqu'il disparaît, il ne m'adresse plus aucun signe. Quant à Marianne, c'est moi qui ne veux plus la voir. Bref, je me retrouve seul. J'en profite pour aller m'exiler en Beauce, faire un peu le point. Et c'est là qu'apparaît Anne, dont je sais que je ne me passerai plus, mais que je n'ai pas encore rencontrée.

Apres Constance, c’était devenu invivable, chez moi. J’ai donc engage une femme de ménage, mais elle ne prenait pas au sérieux la poussière. Quand elle m’a demande de l’héberger, j’ai hésité, mais je ne détestais pas l’idée d’avoir une femme à demeure. La cohabitation a créé des liens, entre nous. Puis Constance est revenue, j’ai pris peur. J’ai décidé de m’enfuir. J’ai emmené avec moi ma femme de ménage. C’est elle qui a voulu.

Après Constance, c’était devenu invivable, chez moi. J’ai donc engagé une Audrey, la femme de Simon, avait disparu. Par amitié, je l'ai attendue avec lui. Il est vrai que j'en avais assez d'attendre Clémence, qui, ignorant que je lui fixais des rendez-vous, puisque je ne l'en prévenais pas, ne me laissait aucune chance de la revoir.

On s'habitue à tout paraît-il, même à vivre avec une mouche. Tout de même, pour un homme de quarante-cinq ans qui vient d'être plaqué par une femme, c'est une maigre consolation. À moins de donner à cette mouche agaçante et insaisissable le prénom de l'infidèle, Odile, et de décider de l'écraser. Même si on l'a souvent fait étant enfant, ça devient plus difficile avec l'âge de tuer les mouches. Si difficile qu'il vaut mieux fuir pour ne pas être en permanence confronté à son échec. Sortir, rencontrer d'autres femmes peut-être, affronter la vraie vie. Et c'est ainsi que l'on se retrouve aux sports d'hiver lancé sur des pistes bien dangereuses. Loin d'Odile est l'un des romans où Christian Oster déploie le mieux cet humour absurde qui constitue sa marque personnelle, cette façon de parler sans pesanteur de la gravité de la vie, en observant le quotidien par le petit bout de la lorgnette comme pour mieux tenir en respect la peur qui loge sournoisement au fond de chaque être humain.

Chaque année, Georges le corbeau part en vacances en Afrique, ce qui est normal pour un oiseau migrateur. Ce qui n'est pas très normal, par contre, c'est la taille de sa valise. Elle est beaucoup, beaucoup plus grosse que celle des autres corbeaux. Et Georges ne l'ouvre que lorsqu'il est seul. La vérité, c'est qu'il y a quelqu'un dans cette valise. Quelqu'un dont Georges n'aime pas être séparé, même pour les vacances. Mais le problème avec ce quelqu'un, c'est qu'il a vraiment du mal à s'habituer à l'Afrique. Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

"J'ai pris le volant un jour d'été, à treize heures trente." On ne sait pas grand-chose des raisons qui poussent le narrateur à quitter Paris et à rouler en direction de Marseille, ville qui s'est imposée à lui comme un mot plus que comme une destination. Le seul besoin de fuir ? Ce serait trop simple. N'a-t-il pas plutôt l'intuition que c'est justement en s'en remettant au hasard que la vie peut enfin apporter du neuf ? "La géographie n'a jamais été mon fort", apprendrons-nous plus loin. Avec ce road nove' d'un genre très particulier, Christian Oster signe l'un de ses romans les plus forts.

Qui a dit que le cochon était poltron ? En voici un qui a peur du soir, certes, mais pas du noir. Au contraire. Une fois plongé dans l’obscurité, il n’y a pas plus valeureux qu’un petit cochon pour mettre en échec le Maître de la Nuit. Qui a dit que les robots et les canards, ça ne collait pas très bien ensemble ? En voici deux qui affrontent un géant, abattent un dragon et sauvent une très jolie cane-princesse, en restant les meilleurs amis du monde. Qui a dit que le roi et la reine "vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants" ? Oscar est le trente-quatrième rejeton de la famille et il ne lui apporte que des ennuis. Qui a dit que les carottes se laisseraient longtemps grignoter sans broncher ? Elles envahissent la ville, colonisent les immeubles, squattent les F3 et surtout se nourrissent de lapins ! Ce livre est une nouvelle claque aux idées reçues...

Un jeune cochon aimait rouler à toute vitesse, les oreilles au vent de sa décapotable, le cœur grisé par ses équipées. Un jour, il tomba en panne, loin de son auge, au beau milieu de la campagne déserte. Il se mit immédiatement en quête d'un garagiste. La nuit était venue et il dut affronter le noir profond de la campagne, se plonger dans la lumière crue de la station-service, regagner sa voiture avec un inconnu, toutes choses inquiétantes, bien sûr, pour un jeune cochon sans expérience. Mais il ne savait pas encore que ces petites peurs qu'il éprouvait au coeur de la nuit allaient le conduire tout droit à une découverte réellement terrifiante. Un livre pour les enfants qui aiment lire tout seuls.

Le roi en avait assez de son royaume trop grand, de sa reine trop reine, de ses ministres trop bêtes. Un matin, il fit sa valise, y rangea soigneusement sa brosse à dents et son cheval, après l'avoir compressé grâce au compresseur offert par sa marraine la fée. Puis il partit, à pied et sans couronne, comme n'importe lequel de ses sujets... La femme du soleil en avait assez de vivre dans l'ombre de son mari. Une nuit, elle s'éclipsa pour descendre sur terre. Évidemment, personne ne la reconnut, pas même un séduisant bûcheron rencontré au clair de lune... Depuis que tous ses copains s'étaient mariés, le cochon en avait assez de jouer seul dans la cour de la ferme. Bien décidé à rester célibataire, il partit sur les routes à la recherche d'un compagnon de jeu mais surtout pas d'une compagne pour la vie...

Il était une fois un géant qui s'était emparé d'un château. Il était une fois un roi qui avait perdu e son château et sa fille, la princesse. Il était une fois une princesse qui avait disparu et qui attendait le prince charmant

. Et le géant s'en fut la recherche de la princesse envolée et rien ne se passa comme prévu. Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Que se passe-t-il quand un mouton insomniaque est obligé de se compter lui-même pour s'endormir ? Et quand un loup d'habitude très fort en calcul se met à se tromper en comptant ce même mouton plus quelques autres, parce que, à force d'entrer et de sortir de la pièce, ils changent de nombre tout le temps ?

Et quand un prince qui s'ennuie et tourne en rond autour de son château fait naître sous ses pas un fossé, puis une bête de fossé, curieuse de nature et qui dit " franchement " tous les trois mots ?

Et quand un matelas, au lieu de manger des plumes d'oie, comme ses semblables, préfère avaler des fraises ? Pire : quand il sort le jour et dort la nuit, et, par conséquent, cherche à se faire embaucher par un dormeur de jour debout ? Et quand un jeune homme à tête de cheval, le cœur en écharpe mais égoïste, cherche à se marier avec une jeune fille, à condition qu'elle ait une tête de jeune fille ?

La réponse à ces questions et à bien d'autres est (à peine) cachée dans ce livre.

Il arrive parfois que la nuit tombe pour de bon et que le sol soit jonché d'étoiles. Il arrive parfois qu'une salade maudite, bannie de son potager, parte chercher fortune en chantonnant. Il arrive parfois qu'une télévision s'ennuie, à force de voir toujours les mêmes têtes la regarder, et qu'une nuit elle attende que tout le monde s'endorme pour tirer d'un petit coup sec sur son fil et aller prendre l'air, discrètement, sur ses petites roulettes. Car les télévisions, comme tout le monde, rêvent d'aventure. Et d'amour, aussi. Elles peuvent être sujettes au coup de foudre. Et quand elles sont amoureuses, cela peut les mener loin, très loin...

Dans les contes, les princesses sont toujours très belles, mais pas au point de faire fuir leurs prétendants ! C’est pourtant ce qui arrive à cette princesse, belle comme une image, qui a bien du mal à se trouver un mari. Quand un prince se décide enfin à l’épouser, il l’enferme illico dans un carton à dessin.La voilà transformée en portrait en pied !

Dans les contes, les chevaliers se prennent souvent des mauvais coups, mais pas au point de passer leur temps à l’hôpital ! Ce chevalier est si distrait qu’il lui arrive de partir au combat sans son épée. Alors forcément, il collectionne les blessures. Et sa vie serait une succession de plaies et de bosses s’il n’avait rencontré une jolie infirmière

. Dans les contes, les princes sont toujours en quête d’une princesse, mais pas au point de s’en faire livrer par parachute ! Dans ce royaume où il y a pénurie de filles de roi, le prince Pierre et le prince Paul sont au coude à coude pour accueillir une jolie princesse expédiée par un pays voisin. Mais le vent souffle et emporte le précieux colis vers la forêt.

..Dans les contes, les histoires sont souvent incroyables, mais pas au point de nous entraîner si loin !

Trois jours plus tôt, Laure m'avait quitté. J'avais pris alors la direction de mon centre de Sécurité sociale afin de m'y faire établir une nouvelle carte. Dans cette modeste tentative, j'avais échoué. Il me faudrait attendre. Entre-temps, je m'efforcerais de trouver un cadeau pour France dont l'anniversaire, probablement, se situait ces jours-ci. Il s'agissait d'un projet d'autant plus viable que, les jours passant, France finirait par rentrer chez elle, à Arcueil. D'ailleurs, je l'y attendais. Par la longue baie vitrée, j'observais l'imposante silhouette de l'aqueduc. Je n'étais pas pressé Au contraire, j'étais conscient que faire le moindre geste, en pareille circonstance, eût irrémédiablement détruit le fragile équilibre où nous nous maintenions, France, Laure et moi, sur le mince fil du temps. Évidemment, je ne parle pas de Catherine.

Le vicomte de Roche-Tenbour est beau. Il danse comme un dieu. Il entraîne ses cavalières dans des valses qui étourdissent et ensorcellent. Voilà pourquoi il est très souvent invité aux bals royaux. Mais si ses talents de danseur sont authentiques, son nom est faux.

Le vicomte de Roche-Tembour s'appelle en réalité vicomte de Tournebroche, et s'il fréquente les cours et les palais, c'est à seule fin d'y kidnapper les enfants royaux, à la chair rose et délicate, les seuls que son estomac d'ogre délicat supporte...

Ensuite, il chausse ses bottes à semelles surcompensées munies d'un aileron frontal, et hop! Il s'éloigne de sept lieues et demie par enjambée. Car dans l'univers des contes de fées pas plus qu'ailleurs, on n'arrête le progrès. Mais le vicomte de Tournebroche, lui, heureusement, on va tâcher de l'arrêter.

A partir de 7 ans. Que se passerait-il si un loup quittait la forêt pour entrer en ville et se rendre au supermarché ? Que se passerait-il si le loup y rencontrait un prince déguisé en homme ordinaire ? Si le prince conseillait au loup de se faire passer pour un simple chien ?

Que se passerait-il ensuite si le prince tombait amoureux d’une caissière si belle qu’elle pourrait être une princesse déguisée en caissière ? Que se passerait-il enfin si la caisse du supermarché se métamorphosait en coffre-fort dans une explosion ?

"Nous ne mourrons pas de chaud à deux pas d'un plan d'eau ! a déclaré fermement le canard. Nous allons trouver une solution ". Et tout le monde se tourna vers lui, car personne n'imaginait de solution. Mais le canard avait beau chercher, il ne trouvait pas de solution. Il avait déjà eu toutes les bonnes idées qu'il pouvait et il était à bout. Toutefois, il serait mort sur place plutôt que de le dire à ses amis. Il se taisait. Tout le monde se taisait. C'est dans ce silence qu'on entendit un bruit. Un bruit de sabot..."

Agnès la poule est perplexe. Quel mystère se tapit derrière le portail rouge de la ferme Boignon à Montigny-le-Chartif? On n'y perçoit nul caquètement. Nul gloussement.

Pourquoi cet étrange silence? Et cette cour vide? Pourquoi Rodolphine n'est-elle pas venue l'accueillir? Agnès s'était pourtant empressée de prendre le premier train, celui de sept heures trente du matin, pour rendre visite à sa cousine au plus vite. Rodolphine l'avait priée de la rejoindre, chez elle, à la ferme Boignon, sans autre explication.

Agnès avait beau l'appeler sur son téléphone portable, elle tombait constamment sur sa messagerie. Elle n'est pas la seule poule du coin à se faire du souci. Clotilde a reçu une lettre semblable de sa nièce, qui habite au même endroit..

. Elle aussi a fait le voyage jusqu'à Montigny-le-Chartif. Agnès la poule est maintenant très inquiète. Dans ce livre, vous découvrirez d'autres contes tout aussi mystérieux : celui du bûcheron et de son pas-de-porte sans porte, celui du loup qui rêvait de devenir comédien, et encore l'histoire de la princesse qui se noyait une fois par semaine.

Un banal rendez-vous en forêt de Sénard, pour un pique-nique, avec d’anciens amis : Louis s’y rend sans enthousiaste avec sa fille, Pauline, cinq ans. Il ne trouve pas ses amis. Il les cherche, donc. À force de les chercher, il finit par se perdre. Comme à l’évidence ça ne suffit pas, voilà qu’il perd sa fille. Il la cherche, il ne la retrouve pas. En revanche, il rencontre une femme, une femme très belle, très séduisante. Mais que peut-on bien faire d’une femme, même séduisante, surtout séduisante, quand on vient de perdre sa fille, qui est tout ce qu’on a au monde ?

Les héros de ce recueil ont un point commun. Ils veulent changer quelque chose à leur vie. L'ogre aimerait réussir à croquer le petit poucet, immangeable à cause des cailloux qu'il a gardés dans ses poches et sur lesquels on se casse les dents. La princesse timide aimerait pouvoir être elle-même et regarder quelqu'un en face sans aussitôt changer de visage et, surtout, sans prendre celui de son interlocuteur. Le pauvre bûcheron orphelin, qui a repris le travail de son père parce qu'il n'en connaissait point d'autre, aimerait beaucoup changer de boulot. La fée, enfin, en a assez de passer son temps à transformer tout le monde alors qu'elle rêve, elle, de devenir simplement princesse. Il y a bien une solution pour chacun, mais elle ne va pas être facile à trouver...

L'ours et le lapin sont voisins. Parfois, l'ours demande au lapin de baisser un peu la radio. Ou bien, le lapin vient chercher un peu de miel chez l'ours. À part ça, ils ne se parlent pas tellement. Un jour où l'ours s'ennuie, il propose au lapin d'aller se promener avec lui, mais ils n'ont toujours pas grand-chose à se raconter. L'ours ne peut quand même pas dire à son voisin qu'il aime manger du lapin. L'arrivée impromptue d'un éléphant au milieu de la forêt va tout changer...

Léon le dragon, le gnome Bout de chou, l'ogre formibarbe, Double Pointe la licorne, le lutin pas très malin, Fürti le troll... 10 personnages très rigolos à suivre dans leurs aventures Pour chacun, d'abord un joli Conte illustré, à lire ou à écouter, puis des Comptines pleines de poésie pour jouer avec les rythmes et les rimes... Avec Contes et + l'histoire ne s'arrête pas là pour les petits malins, des jeux et des devinettes, et pour les bricoleurs en herbe, 10 activités à réaliser ! Quoi de plus drôle que de donner vie à ces héros fantastiques en créant un gant dragon, un mobile de fées, un masque de sphinx, une clochette lutin ou une licorne en mousse.

J'étais en route vers la côte landaise, où je devais aider des amis à désensabler leur maison. Plus tard, je m'installerais à Bordeaux, c'était décidé. En attendant, j'avais l'intention de vivre un peu, juste assez pour que ça me laisse des souvenirs. Il y avait peu de chances, toutefois, que quelque chose m'arrive sur la dune déserte, entre deux pelletées. Puis, à l'hôtel, j'ai rencontré Charles Dugain-Liedgester, qui ne dormait plus avec sa femme et qui lisait tard le soir.

« Georges est arrivé avec un gros gâteau. Il est entré dans la pièce, précédé de Paul, qui était allé lui ouvrir, et a posé le carton sur la table où les verres étaient disposés pour l’apéritif. C’est après qu’il nous a salués, William et moi, une fois débarrassé de son carton qu’il avait tenu devant lui à deux mains, comme si, de la pâtisserie où il l’avait acheté jusqu’à l’appartement, il l’avait déplacé tel quel, à seule fin de le poser sur la table. »

Quelques jours après le dîner au cours duquel cinq amis ont fixé la destination de leurs vacances d’été, des événements parfois ambigus viennent perturber leur existence : Georges (qui vient d’être quitté) tombe amoureux, William (qui habite en face d’un hôpital) fait une embolie pulmonaire, Paul et Louise envisagent de se séparer (mais pas avant la fin des vacances) et Jean apprend qu’il attend un enfant (d’une femme qu’il n’aime pas). Le projet de départ n’en est pas moins maintenu, auquel on n’ose plus trop faire allusion.

Le désordre semble être le moteur de ce roman où le passage du temps inquiète, où la mort et l’humour rôdent, où ce qui advient oblige à des glissements, à des aménagements, à des choix opérés dans l’urgence. Christian Oster saisit ses personnages à l’instant précis où leur vie bascule et les précipite face à eux-mêmes.

Pour le bûcheron : des betteraves. Pour la poule : de la pizza. Et pour le rat : de la raclette. Dans cette forêt, les habitants ne peuvent manger que les aliments qui correspondent à la première lettre de leur nom. Mais Gérard le géant, lui, n'en peut plus de manger du gigot. Il demande alors à Fionnelle la fée de l'aider à découvrir enfin le goût du lapin, des langoustines... et du loup.

Nous roulions vers l'île où Philippe fêtait son cinquantième anniversaire quand Laure se mit à éternuer. C'était son premier rhume. C'était la première fois aussi qu'elle me priait, quand nous eûmes pris une chambre d'hôtel, de la laisser seule. Puis, le lendemain, de poursuivre le voyage sans elle. Sans voiture, également. Toutes choses que je n'avais pas envisagées mais qui m'amenèrent bientôt, le pouce levé, au bord de la nationale.

Le prince Désolant est tombé fou amoureux de la princesse Poussiéreuse. Dès qu'il l'a vue apparaître dans un nuage de poussière, un balai à la main, il est parti tuer un ours pour le lui offrir. La princesse a trouvé cela beaucoup plus original que des fleurs et lui a immédiatement donné son coeur. Mais l'amour ne suffit pas, le prince Désolant et la princesse Poussiéreuse ont un problème : les écureuils qui hébergent le prince dans leur arbre sont allergiques à la poussière... Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Lorsqu'une princesse ne trouve personne à aimer, il ne lui reste qu'une solution : monter en haut de la plus haute tour du château et attendre qu'un beau cavalier surgisse au loin dans la campagne. La princesse de ce conte a un problème de taille : elle ne peut pas rester en haut de la plus haute tour car elle a le vertige. Le mieux serait qu'elle fasse autre chose. Mais quoi ? Dans ce recueil, vous trouverez aussi les histoires d'une carotte très riche, d'une princesse transformée en salade, d'un homme qui n'avait rien à part ses deux oreilles, un nez et tout ce qui va avec...

Ce recueil contient les histoires suivantes : La princesse qui avait le vertige, Le manteau de la carotte, L'escargot de minuit, La seconde oreille.

Assez, assez, le cochon en a assez. Lui qui aime tant quitter la ferme pour aller se promener dans la forêt, il n’en peut plus que le loup passe son temps à lui courir après. D’autant que cela ne sert à rien. Le loup ne l’attrape jamais, car le cochon court toujours plus vite. Alors, pour que ce petit jeu s’arrête, le cochon propose un marché au loup. Le loup devra venir à la ferme et se soumettre à une épreuve.

Une épreuve d’intelligence. Mais pour cela, le cochon a besoin du concours de tous ses amis de la ferme…

Oyez, oyez !

Voici venus les temps héroïques des chevaliers qui affrontent des dragons, des princesses et des géants qui hantent la forêt.

Héroïques, vraiment ?

Voyez un peu : un chevalier qui se demande où ont bien pu passer ses chaussettes ; un géant qui n’a plus le goût de gloutonner du gigot et qui rêve d’être un lutin pour se régaler de langoustines, de lapin ou de loup ; et une princesse nulle, mais alors nulle, au point qu’elle ne sait ni danser ni monter à cheval ni même se servir d’une machine à laver.

Pourtant, les princes, les fées, les dragons les attendent.

Oyez, oyez !

Chevaliers et princesses avec gigot est une compilation de trois contes de Christian Oster :

Le chevalier qui cherchait ses chaussettes (illustré par Pascal Lemaître), Le géant et le gigot (illustré par Audrey Poussier) et Princesse pas douée (illustré par Delphine Perret).

"Je ne retrouvais plus mes clés. Et Anne n'était pas rentrée ? J'ai donc dormi à l'hôtel. Pas de message sur mon répondeur, hormis celui de Marge qui me donnait rendez-vous à la piscine. C'est là que j'ai rencontré Flore. Elle attendait un enfant. Ça tombait bien, moi aussi"...

Aaaa… tcha ! Et raaa… tchoum! Charles le cochon est devenu le roi du rhume. Il n’en peut plus d’éternuer, il n’en peut plus de se moucher. Alors le docteur lui prescrit des cachets. Sauf que les cachets, Charles n’aime pas ça. Il ne veut pas les prendre, il préfère les cacher. Mais que deviennent les cachets, une fois qu’ils sont cachés ? S’il ne soigne pas son rhume, Charles va devoir soigner ses cachotteries… Promis, juré, cochon qui s’en dédit.

Un prince, c’est propre. Ça porte une belle chemise, une épée brillante, ça monte un cheval impeccable. Oui, mais… quand il doit affronter une sorcière, une immonde sorcière avec le nez qui coule et des toiles d’araignée partout ? Et que cette sorcière, en plus, est en chemin pour le Grand Congrès international des sorcières dégoûtantes ? Pas de doute, le prince risque de passer un sale moment, et même un moment très sale. Heureusement, dans les histoires, les choses se passent parfois d’une manière inattendue.

Les contes ont souvent pour héros des princes qui cherchent l'amour. Mais aucun, jusqu'à ce livre, ne leur avait imposé comme épreuve de retrouver les verres de contact de la princesse, perdus dans une clairière. Les contes commencent souvent par " Il était une fois ". Mais aucun, jusqu'à ce livre, n'avait raconté la véritable histoire d'une fois, d'une toute petite fois, qui était seule et s'ennuyait et ne savait pas comment continuer. Dans les contes, on dit souvent que le soleil se couche ou que le soleil se lève, mais aucun, jusqu'à ce livre, n'avait précisé qu'il porte un pyjama, et que s'il reste parfois longtemps au lit, c'est qu'il est puni pour ses terribles bêtises. Avec les contes, on apprend souvent à se débrouiller dans la vie et à faire face aux imprévus, mais aucun, jusqu'à ce livre, ne nous avait expliqué pourquoi il ne faut pas s'asseoir dans les magnifiques fauteuils des bords de champs de blé, ni ce qu'il convient de dire à une carotte qui veut voir la mer et qui est sourde. Il était temps que ce soit chose faite.

En rentrant chez lui, Simon découvre un homme mort au milieu du salon. Diane, sa femme, qui,selon toute vraisemblance, a poussé l’homme par-dessus la balustrade, lui annonce qu’elle s’en va. Elle ne donnera plus de nouvelles. Simon, resté seul avec le corps, va devoir prendre les décisions qui s’imposent.

C’est lors de sa visite à la gendarmerie que Simon rencontre Henri, un gendarme à la retraite amateur de tennis. Une relation amicale se noue. Mais Simon est sur la réserve ; chaque mot, chaque geste risque d’être sévèrement interprété. S’engage alors entre les deux hommes une surprenante partie d’échecs.

Des fées se sont penchées sur le berceau de la petite princesse Faramineuse et y ont déposé trois objets: un oignon, un parapluie et un tiroir.

En grandissant, la princesse ne se sépare pas de ses trois objets et les emporte partout avec elle. L'oignon l'aide à pleurer, c'est utile de pouvoir pleurer. Le parapluie, on s'en doute un peu, la protège de la pluie. Mais à quoi peut bien servir le tiroir? La princesse Faramineuse à renoncé à le savoir. Jusqu'au jour où elle pénètre par mégarde dans la forêt de la Pluie...

Vous aimez les chewing-gums. C'est normal. Tout le monde aime les chewing-gums. Les loups aussi. Et les géants. Même si après, menthe, chlorophylle ou tutti frutti, c'est une question de goût.

La différence, c'est que vous, vous avez toujours un peu de monnaie de côté pour glisser une pièce dans le distributeur de chewing-gums, en cas de besoin ou d'envie pressante. Or le loup de cette histoire, qui lui vivait en maillot de bain, n'avait pas de poches, donc pas de monnaie. Et le géant de cette histoire, qui lui avait des poches mais pour y ranger les agneaux, n'avait pas de monnaie non plus.

Eh oui, parfois les histoires sont comme la vie: personne n'a de monnaie au moment où il en faudrait.

Heureusement, le géant qui n'avait peut-être pas de monnaie, mais de la force et de l'esprit d'initiative à revendre, avait pris pour chez lui le distributeur de chewing-gums de la clairière. Or, dans cette machine se dissimulait un génie tout mou et dégoulinant de sucre qui apparaissait dès qu'on prononçait la formule magique: Fraîcheur de vivre...

Également dans ce recueil : Les mémoires d'un navet, La forêt silencieuse, Le steack en fuite, Le baiser du crapaud.

Il était une fois non pas trois, mais deux trop petits cochons qui, pour grandir, ne mangeaient pas assez de soupe. Ils n'obéissaient pas à leur mère et prétendaient que, pour grandir, on peut aussi bien manger des frites. Le loup, évidemment, guettait ces deux trop petits cochons bien gras et désobéissants. Mais comme ils étaient aussi très malins, ils avaient trouvé le moyen de se camoufler pour aller acheter leurs frites, ce qui les mettait hors de danger. Jusqu'au jour où le loup, lui aussi, décida de se camoufler… et d'ouvrir une baraque à frites. A partir de 7 ans.

Hé bé ! Les poules en restent babas. Ce jour-là, Denise a pondu non pas un oeuf mais… un boeuf.

Oui, vous avez bien lu : un boeuf.

C’est-à-dire un oeuf avec un « b » devant. Mais d’où peut bien venir ce « b » ?

Pour le savoir, les poules vont devoir battre la campagne et enquêter.

Est-ce un simple effet du hasard ? Peut-être.

En tout cas, c’est vraiment le bazar.

Jean provoque accidentellement un incendie dans sa cuisine. Lorsqu’il se rend compte que le feu progresse, il assiste en spectateur à la destruction de sa maison, puis décide de la quitter définitivement. Il se rend à Paris et s’installe à l’hôtel, sans aucune perspective, se contentant de jouer des petits rôles dans des films de seconde zone pour gagner sa vie. Rétif à tout projet d’avenir, il se laisse porter là où le vent le pousse. Un jour, dans le métro, il croise France Rivière, une actrice autrefois célèbre. Elle lui propose de venir s’installer chez elle en attendant qu’il trouve un appartement. Embarqué dans la vie de cette femme, Jean rencontre son fils, Charles, un jeune homme qui sort de l’hôpital psychiatrique. À la demande de France, Jean veille sur lui. Il lui semble alors que sa vie pourrait retrouver un sens…

La Vie automatique est un admirable roman sur la dérive d’un homme qui hésite à maîtriser le cours de son existence.

(Source : L'Olivier)

Le Petit Chaperon rouge, les trois petits cochons et la chèvre de M. Seguin décident de s'allier contre le loup.

C’est une princesse nulle en tout. Au bal, elle a tendance à écraser les orteils de ses prétendants. À cheval, elle finit toujours par tomber de sa selle. Quand elle parle, elle met souvent un mot à la place d’un autre et, à son âge, elle ne sait toujours pas se servir d’une machine à laver ! Qui voudrait épouser une princesse aussi nulle ? La reine, excédée, a ordonné à sa fille de se trouver un mari coûte que coûte et l’a flanquée dehors. Heureusement, être nulle en tout n’empêche pas de se faire des amis. Comme cet ours tombé du ciel, qui n’a pas l’air de la trouver si nulle que ça, la jolie princesse.

Un jour, sur un quai, un homme de taille moyenne tenait à la main un sac très lourd. Cet homme, c'était moi, mais ce n'était pas mon sac. C'était celui d'une femme. Je ne la connaissais pas. Je suis monté avec elle dans le train.

" Je ne dis pas que Carl Denver avait l'intention de me tuer. Je dis que de mon côté il s'agissait plutôt d'une crainte diffuse, née de la connaissance que j'avais de Carl Denver et du passé de notre relation. "

Entre Paul et Carl Denver, il y a Maud. La femme que Paul a prise à Denver, et qu'il vient de quitter. Trahison et désamour, une double faute que Denver, un personnage apparemment incontrôlable, semble prêt à lui faire expier. Sous cette menace latente, Paul se réfugie dans le centre de la France. Mais la suite le conforte dans l'idée qu'il ne pourra pas échapper à Denver.

Le royaume de Boroman XII est paralysé par un événement rarissime, exceptionnel, historique et social : une grève. La grève des fées. Plus un seul petit coup de baguette magique n'illumine le ciel du pays. Les fées sont très en colère. Pourquoi ? Elles refusent de le dire. Elles veulent qu'on devine. Qu'on se creuse un peu la cervelle. qu'on cherche à les connaître vraiment. Bref, elles font leurs intéressantes. Pendant ce temps, évidemment, rien ne va plus dans le royaume. Le géant transformé en nain par une sorcière reste nain, le ministre des Relations extérieures transformé en crapaud par une autre reste crapaud, et le fier cavalier de la garde royale transformé en cheval a beaucoup de mal à chevaucher... son propre cheval. Quant au prince, il végète dans un pot, métamorphosé en (beau) brin d'herbe. Et la grève s'éternise. Jusqu'au jour où le conseiller personnel du roi (pas encore transformé, lui) a une idée.

Ce recueil contient les histoires suivantes : La grève des fées, L'âne qui ne voulait plus être roi, Le pauvre, la princesse, L'homme cruel et le tamanoir magique.

Un jour, deux sorcières débiles lancent de mauvais sorts à un bébé. Lorsque celui-ci grandit et devient chevalier, il se retrouve bien embêté...

Trois petits cochons mènent une vie bien paisible, jusqu'au jour où un drôle de voisin s'installe dans leur immeuble. C'est un teckel, et il a de bien grandes dents...

Le prince Prudent portait bien son nom. Il était prudent en toutes choses, craignant à chaque instant de manger un croissant empoisonné, d'attraper un rhume, ou bien d'être attaqué par-derrière lorsqu'il partait à la guerre.

Le prince Prudent craignait aussi de se marier, mais comme ses parents insistaient beaucoup, il accepta de rencontrer quelques princesses, à condition de pouvoir leur faire passer des tests.

Il ignorait que le danger ne vient pas toujours de là où on l'attend. Il ignorait que tester une princesse peut vous mener très loin. Et que l'on peut combattre un géant et tomber amoureux même en restant prudent.

Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Tout donner pour un cheval… Il arrive que les dernières paroles d’un vieux roi de tragédie rejoignent les rêves secrets de quelques enfants d’aujourd’hui (et d’un gros escargot aussi). Pour les quatre héros de ce recueil de nouvelles, un cheval, c’est beau, c’est doux, c’est vif, c’est fidèle, c’est fort, c’est libre, et c’est magique. Jouer le cheval, à l’occasion d’une représentation théâtrale ? C’est une chance d’être seul en scène, ou presque, pour la première fois avec l’élue de son coeur. Ne pas vouloir se séparer de son cheval ? C’est marquer son originalité, occuper sa place et, bientôt, transmettre à quelqu’un qui le mérite son bien le plus précieux.

Monter à cheval, lentement mais sûrement ? C’est, pour un escargot de conte, la seule façon de grandir, de voyager loin et de se faire un ami, un vrai, à la vie, à la mort. Voir passer, sur une plage, un cheval rebelle au galop ? C’est le déclic qui manquait à une adolescente pour décider d’être elle-même et d’affirmer son goût pour les choses absurdes et merveilleuses, comme les versions latines. Pour tous, un cheval, c’est plus qu’un cheval. C’est la vie !

Le jour de ses sept ans, Papa Loup et Maman Loup annoncent à Lucas qu'il doit choisir son futur métier. Facile : plus tard, Lucas veut être loup. Comme son papa et comme sa maman. Sauf que c'est impossible, la forêt est devenue trop petite et il n'y a plus assez à manger. Lucas ne pourra pas être loup comme ses parents. Alors Papa Loup et Maman Loup lui offrent un baluchon. Le moment est venu de quitter ses parents. Lucas se met en route. Dans son baluchon, il emporte le vent qui ne parle qu'allemand.

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