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Très court, il se lit vite et très bien. Pour son premier livre, l'auteur à fait très fort. L'histoire est racontée par Dam, un adolescent de seize ans, mal dans sa peau, d'où le style d'écriture très particulier. En effet, le texte est "raconté" par le narrateur. On à l'impression que Dam parle à quelqu'un, qu'il lui raconte l'histoire, d'où l'absence de ponctuation et de la typographie qui indique un dialogue, car il n'y en a pas à proprement parlé.
Si c'est déstabilistant au départ, on finit par s'y habituer et cela ne dérange aucunement dans la lecture.
Ce qui m'a le plus touché dans ce livre, c'est la manière dont Dam décrit ses sentiments et ce qu'il ressent. Ignoré et incomprit par sa famille, il nous fait par de sa sollitude, de son mal-être et de sa souffrance d'une façon incroyable. De part la justesse et la simplicité de ses mots, il nous fait ressentir ses émotions comme si nous étions à sa place.
C'est poignant et parfois douloureux. Dam ne retient pas ses mots et son langue parfois cru ne fait qu'accentuer son désir de prouver qu'il existe et qu'il vaut autant que les autres.
On arrive à s'imaginer à sa place lorsqu'il doit supporter les remarques de son père, un être haïssable, bourré de préjugés, intolérent et étroit d'esprit. Sans parler de sa peste de soeur et de sa mère absente et effacée.
Cependant, je dois avouer que j'ai été très déconcertée par la fin du livre. En effet, l'auteur semble nous laisser le choix entre deux fins alternatives. Mais en réalité, il est difficile de savoir quels étaient ses desseins et s'il s'agit réellement d'une fin alternative ou d'une "projection" de ce qu'aurait pu être l'avenir de Dam. Il n'y a rien dans le texte qui nous laisse à penser à l'une ou l'autre des possibilités.
Du coup, pour ma part, je le vois plutôt comme la second solution et d'un point de vue personnel, j'aurai d'ailleurs plutôt tendance à choisir la seconde !
Ce livre est vraiment une très belle découverte et un coup de coeur, un des meilleurs livres que j'ai lu depuis longtemps !
Le faire ou mourir
Les mots vous portent, vous enlèvent et vous bousculent.
"Qui suis-je ?" - "Qui veux-je être ?"
"Rien" - "Je ne sais pas"
Les phrases s'enchainent doneuse d'un sens nouveau, d'une vérité nouvelle.
La vie prend un sens différent. Les certitudes s'effondrent, la haine aussi.
Vous allez aimé ou pas, peut être. Mais vous allez vivre, vivre quelque chose fort, tout en poésie.
Le faire ou mourir
Sans commentaire.
Comme une espèce de petite bulle d'air que j'aurais peur d'éclater si j'y posais mes doigts sales, une pensée aussi fragile que du verre et qu'il serait si facile de faire tomber.
Comme si j'avais peur qu'en parlant de ce livre, j'en vienne à parler de Dam. Que j'en vienne à parler un peu de moi. Que je me noie.
Il n'y a rien à dire quand les mots ne résument qu'une histoire, des faits. Il n'y a rien à dire quand on voudrait parler jusqu'à ce que la nuit tombe, jusqu'à n'avoir plus la force de raconter, jusqu'à avoir écoulé tout de qu'on a sur le coeur. Jusqu'à en pleurer.
Parce que ce livre, c'est là qu'il frappe. Droit au coeur. Fragile comme du verre, mais acéré comme une dague. Brûlant comme la glace. Et il fait mal. Tellement mal.
C'est dur à comprendre, dur à supporter, la première fois qu'on se perd. Dur d'expliquer le malaise qu'envoie chacun des mots, chacune des phrases, chacune des pages de ce livre qu'aucun espace, qu'aucun dialogue, qu'aucun chapitre ne laisse respirer. Dur de ne pas suffoquer.
Qui est Dam ?
Ce n'est pas l'histoire d'un adolescent homosexuel, ni d'un gothique dérangé. Ce n'est pas une histoire d'amour, ni celle d'un mal-être qui saigne autant qu'il peut.
C'est tout ça et pourtant...c'est tellement plus, n'est-ce pas ?
Qui suis-je ?
Cette question qui obsède à chaque minute. Il faut apprendre à s'éloigner, à reconnaître cette distance qui nous sépare des héros de papier. Oublier ce sentiment vicieux que l'on marche au bord de la falaise.
Car, pourtant, avec ou sans Samuel pour montrer la lumière, voilà ce que l'on pense sans en être vraiment conscient. Voilà ce qui nous tue.
"Dam, c'est moi."
Le faire ou mourir
Le faire ou mourir
Je ne sais pas vraiment comment expliquer ce que je ressens. Ce livre c'est comme un trésor que je voudrais garder éternellement. Je ne sais pas. De tous les livres que j'ai, de tous les livres que j'ai lu si un jour je ne dois choisir qu'un seul livre et partir loin de tous les autres, c'est celui-ci que j'emmènerais avec moi.
Les personnages m'ont touché comme jamais un personnage ne m'avait encore touché avant. J'ai ressenti tout ce qu'ils ressentaient. Et je relirais ce livre des milliers de fois rien que pour pouvoir me sentir à la fois bien et mal comme pendant ma lecture.
Un peu étrange comme commentaire, non ? Tant pis.
La plume de l'auteure fait aussi son petit effet, je trouve. Les dialogues sont transcrits de manière inhabituelle mais très agréable. J'ai beaucoup aimé cette aspect-là de ma lecture.
Il y a énormément de choses que j'ai aimé.
Et je vous recommande vivement LE FAIRE OU MOURIR pour peut-être pouvoir aimer ces choses à votre tour.
Le faire ou mourir
Quand on le fini, on reste sur le cul la bouche ouverte.
L'écriture qui peut paraître au début un peut décalé fini par nous emporter et on ce plonge dans l'histoire : impossible de lever le nez des pages tant qu'on a pas fini !
Pour ma part, je peut pas m'empêcher de le relire tout les ans.
Le faire ou mourir
Pourtant, j'ai cédée et je l'ai acheté.
Quelle claque.
Déjà, parlons de ce style si particulier de l'auteur. Cela n'a rien a voir avec tout ce que j'ai pu lire.
C'est une plume candide, pleine de doute, de naïveté, d'innocence. Quelque chose de jeune, d'imparfait. On ressent pleinement l'état d'esprit du héros à travers cette plume, on comprend ses sentiments, on le...comment dire... il nous le raconte à nous. Son histoire, il n'est pas enfermé dedans, il nous parle. Il a du mal, il trébuche parfois, il n'ose pas le dire, mais on sent, on connait ses sentiments. Très franchement, rien que pour cette plume si touchante, j'appréciais déjà ce livre.
Mais, il y avait aussi l'histoire. C'est une recherche d'identité, une envie d'apprendre non pas à se connaitre, mais à forger quelqu'un, à devenir quelqu'un.
Dam est vraiment très touchant, on est facilement ému par ce personnage. Samy est une aide énorme pour lui, il est à la fois son opposé et l'être qui lui ressemble le plus.
Ce roman, bien que vraiment sympathique, m'a totalement séduite (ou devrais-je dire, prise de cours) à un certains moment donné du récit où le titre prend tout son sens.
Très franchement, c'est un petit livre (dans mon édition il y a 103 pages) mais c'est un concentré d'émotion pure, violente et maladroite. Vraiment, une excellente découverte.
Le faire ou mourir
Et puis je suis tombé sur ce livre. Tout a été si rapide, incisif. A travers ces pages, j'ai senti ma bulle exploser. J'ai senti les griffes des pensées de Dam lacérer mon coeur. Je l'ai senti saigné et à chaque fois que je levais les yeux de ce "noir sur blanc", j'étais surprise de voir que mon lit était toujours là, que la Terre continuait de tourner alors que je venais d'imploser. Non, je n'étais pas surprise. C'était un sentiment du genre " mais pourqoi les murs tiennent-ils toujours debout ?" et sourtout l'envie de fracasser ce ciment, sans marteau. Juste avec le poid de mes larmes et de mes cris silencieux. Comme si ils étaient l'aspect physique du poing broyant quelque chose au creux de ma poitrine.
Et oui, tout se rapporte à cet organe, muscle qui à nouveaux se manifeste à un moment indésirable. Tout les jours il joue son rôle, il pompe, pompe, pompe pour que vous respiriez. Et là simplement à cause de mots il se met à revendiquer une vie propre, des sentiments, l'envie de sortir de votre poitrine et vous criez qu'il est là et que vous ne vous appercevez que maintrenant, qu'il ne sert pas qu'à faire la pompe.
Mais dès les premières lignes, j'ai été frappée par cette carcasse de vie qu'est celle de Dam. Dès les premières phrases, les premiers mots, Le faire ou...mourir se présente en tant qu'oraison funèbre. Toute cette histoire ne peut qu'être fatale, pour Dam...ou pour le lecteur. L'auteure nous donne le choix, nous donne deux route à suivre. A nous de faire le premier pas vers celui qu'on aura le courage de suivre.
Oui, car enfin, tu vois, tu sens, tu entends Dam et seulement Dam. Il ne laisse personne percer son monde de solitude. Il rapporte les paroles des autres comme si leurs paroles étaient étouffés par les frontière de sa conscience. Comme si il regardait un film ou lisait un livre et qu'il nous le racontait. Et tu n'as qu'une seule envie c'est de dire : "Réveille-toi Dam ! Prends les choses en main !"
Mais jusqu'à la dernière ligne, jusqu'à la dernière phrase, le dernier mot tu sais au plus profond de toi que ces paroles hurlées en silence se résument à un combat. Un combat contre l'injustice d'une fin inextricable, contre la destinée de Dam. Mais la réalité est que ce n'est plus Dam, c'est moi. Et le combat ne fait que commencer.
Le faire ou mourir
C'est la seule chose que j'était capable de pensé après avoir lu ce livre !!! Il est tout simplement sublime ! L'histoire est tellement profonde et belle... Elle m'a complètement bouleversé !
Le fait que ce soit le héro, Dam, qui raconte son histoire nous aide à mieux comprendre son état d'esprit et le rend encore plus attachant. Son récit est poignant et extrêmement touchant. Le personnage de Sam lui aussi est superbe par son courage et la patience dont il fait preuve.
On ne peut rester insensible à ce livre, que l'on l'aime où non Il nous bouleverse au plus profond de nous.
J'aimerai en dire 10 fois plus mais je n'ai pas les mots pour expliquer ce que je ressent ^^', il faut le lire pour le comprendre.
Le faire ou mourir
Bon, l'histoire commence assez vite, on nous y présente Dam, un pauvre garçon qu'a vraiment pas de bol dans sa vie, sa famille est insupportable, son père est tellement con que j'avais envie de l'égorger presque à chaque fois qu'on le voyait, sa soeur est une pauvre débile, sa mère est invisible. Bref, Dam rencontre Samy et sa bande, des gens maquillés et qu'on identifie souvent aux "gothiques". Forcément, comme il décide de les rejoindre, les préjugés se mettent en marche et m'ont fait crier de colère. J'aime pas les préjugés, et ceux là étaient pire encore parce qu'ils étaient vraiment débiles.
On suit donc tout le long du livre, Dam selon son point de vue, s'enfoncer de plus en plus dans un gouffre de douleur, de larmes et de colère, en tenant pour seule corde qui ne le fait pas tomber, Samy, qui est superbement génial. Leur histoire est vraiment jolie, vraiment bien décrite. Tout ce que Dam ressentait, je le comprenais, parce que y avait des choses que j'avais déjà vécu, même différemment donc ça aidait. Par exemple : "Tomber dans un coma profond pendant plusieurs mois pour voir si à mon réveil les choses auraient changé avec le temps." J'ai souvent tendance à imaginer ça.
Même si j'ai trouvé parfois le style d'écriture tout compressé parfois un peu lourd, ça donnait aussi un peu de charme, et puis, ca faisait encore un peu plus vrai.
J'ai de nombreuses fois failli arrêter de lire définitivement ce livre, parce que c'était juste trop horrible, que ça devenait pire en pire, et que je voulais pas continuer à lire ça, mais comme d'habitude avec ce genre de bouquin, j'ai continué malgré moi, et laisser mes larmes se déverser en me foutant en l'air tout mon estomac.
Ah oui, parce que mon estomac il s'en est prit plein la figure, déjà parce que j'ai peur du sang, ou plutôt que ce sujet me donne envie de vomir, et il y avait des passages vraiment assez moches à imaginer, donc j'avait tout l'estomac retourné, et j'ai pourtant continué de lire.
Et puis les passages d'amours m'ont fait roucouler comme un pigeon, mais j'y peux rien moi, j'adore ce genre de relations.
En fait le pire je crois, c'est qu'il y ait deux fins. Même si pour la première j'ai plus interprêté ça comme de l'imagination, ça m'a fait quand même pleurer et je crois que c'est vraiment ce qui m'a fait le plus mal. L'autre fin est beaucoup plus joyeuse, et tant mieux.
Enfin voilà, j'ai tout pleins de choses à dire, mais pas assez de mots pour le dire, ou plutôt, après avoir finir ce bouquin, j'étais tellement toute retourné que j'avais oublié tout ce que j'avais ressenti, c'est un peu bizarre et difficile à expliquer mais c'est comme ça.
Le faire ou mourir
Le faire ou mourir
Je pense qu'on ne peut pas vraiment mettre de mots sur cette histoire car elle se suffit à elle même. Tout le monde devrat la lire pour se rendre compte de l'impact des mots et du comportement des gens sur la personnalité de quelqu'un.
Le faire ou mourir
Le faire ou mourir
Damien est un ado incompris, hypersensible qui n'arrive pas à évacuer ce qu'il ressent autrement qu'en pleurant et en se scarifiant. Nous ne pouvons pas faire autre chose que d'être touché par ses sentiments et les ressentir avec lui. Il se pose tellement de questions et ressent tellement de chose à la fois que je n'ai pas pu m'empêcher de m'identifier à lui.
Des deux fins possibles la première aurait très bien pu se réaliser vu son mal être. Pourtant c'est la deuxième, heureuse, que j'ai choisi pour Damien. Je veux que cette histoire se finisse bien, la première fin est trop cruelle pour un personnage aussi attachant qu'on a juste envie de voir s'en sortir et passer sa vie heureux avec celui qu'il aime.
Bref un livre qui bouleverse, qui vous tord le ventre et qu'il est impossible de lâcher.
Le faire ou mourir
Conclusion: un livre incroyable que je conseil vivement!!
Le faire ou mourir