Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Cosmopolis
Cosmopolis
Pour faire simple, on est sur un livre avec une écriture pesante, lourde, constituée de phrases accouchées de périphrases, qui auraient décidé de grandir en augmentant leur taille par l'utilisation de compléments d'objets et autre groupe nominaux. Vous voyez ce que ça fait ! Des phrases qui ne veulent plus rien dire.
Alors Oui les journaux qui se prétendent "intellectuels" vont vous dire qu'il y a une grande dimension philosophique dans ce livre qui cherche à comprendre les enjeux de la vie dans le transhumanisme. Honnêtement dans le genre, il y a nettement mieux ; je pense en l’occurrence à l'oeuvre de certains auteurs comme Clarke ou Baxter.
Un conseil fuyez cette lecture !!!
Zero K
J'ai bien aimé l'écriture qui m'a rappelé celle de Lagarce : des phrases courtes, qui se répètent. Sauf qu'ici, elles n'ont pas le même impact. L'auteur se complet dans de grandes phrases qui pourraient faire croire à une lourde philosophie sur le sujet sauf que ce n'est pas le cas. Don DeLillo « Encule les mouches » pour reprendre la célèbre expression. Il parle pour ne rien dire.
C'est long, ce n'est pas recherché, cela n'amène pas à une réflexion quelconque.
L'intrigue met du temps à se mettre en place (si l'on considère qu'il y en a une), les personnages sont creux et le débat que le lecteur est en droit d'attendre n'est pas présent.
En conclusion, ce libre est pour moi sans intérêt. Je l'ai terminé par principe mais ce n'était clairement pas nécessaire.
Zero K
Cosmopolis
Cosmopolis
L'auteur nous livre ici, au travers de personnages-synthétique une autopsie qui s"enfonce dans les méandres de la nature humaine. Comment se relève t on après une telle chute ?
Un examen clinique, méticuleux...difficile à lire tant les mots sont chargés, intériorisés...catharsiques ?
L'action des personnages est liquide, morcelée, désintégrée, floue ! Qui est qui ? Comment survivre à l 'après ?
Perdues, ils tentent de donner du sens à leur présence au monde, présence à l'autre...
Sont-ils vivants ou morts ?...leur propre mémoire leur fait défaut...
Un livre dur, dérangeant...une plongée dans "le" traumatisme, l'hébétude qui en résulte...
Pour mieux s'en délivrer ? Pas si sûr...
L'homme qui tombe
L'auteur nous livre ici des scènes et dialogues singulier ou Éric personnage principal et ultra riche s'auto annihile si je puis dire. Le résumé avait tout pour me plaire, mais Don DeLillo à choisi de faire un livre qui frise le burlesque, et je suis rarement fan de ce genre de récit.
Cosmopolis
Le Silence
L'homme qui tombe
Point Omega
Ed. Acte Sud
Bonjour les fous de lectures ….
Cela n'arrive pas souvent mais voici un livre que j'abandonne en cours de route.
Est-ce du à la narration très décousue ?
Est-ce du à la traduction ?
Zéro k c'est le Zéro absolu. Température à laquelle peut se réaliser la cryogénisation.
Nous sommes dans une clinique bunker d'Asie centrale.
Jeffrey, est invité par son père milliardaire à assister à la fin de vie de la seconde épouse de celui-ci, atteinte de sclérose en plaques.
Dans ce bunker, on choisi sa mort, on choisi de congeler son corps en attendant que les progrès scientifiques permettent de les ramener à la vie et leur offrent de vivre plus longtemps.
Le problème est que je n'ai rien compris au livre, les propos philosophiques sont décousus. Tout n'est quesous-entendus et métaphores, on y perd son latin !
Les phrases alambiquées n'arrangent rien.. on tourne en rond, on s'ennuie.
C'est froid. Peut-être réservé à certains lecteurs ?
Dommage car le résumé était alléchant ... grosse déception.
Le livre présenté comme une histoire de science fiction, se révèle être plus une histoire de réflexions .. mais tellement décousues qu'on s'ennuie très vite et on perd le fil
Et de réflexion... il n'y apoint.
On se surprend à bailler, l'esprit s'égare;
Qu'a voulu prouver ou démontrer cet auteur ?
Il m' aurait peut-être fallu poursuivre jusqu'au bout ... le courage m'a manqué.
Zero K
L'ayant lu en vo pour les cours, je peux dire que la compréhension a été facile et le vocabulaire ne m'a pas gênée. Je dirais qu'il est donc plutôt facile à lire.
C'est un livre très différent que ce que je lis d'habitude. La façon dont il est écrit est différente. C'est un livre qui invite à la réfléxion sur la vie et la mort, surtout la mort et la représentation que l'on 'en fait. Les personnages sont plutôt attachants et sont pleins de complexité, Babette et Jack sont parfois même plutôt marrants. Leurs enfant m'ont semblé très intelligents pour leur âge. Ils se posent déjà des questions sur la vie et son but, tout comme leur parents qui sont, eux, déjà adultes.
C'est un livre très perturbant mais dans le bon sens du terme que je recommande !
Bruit de fond
J'ai écrit une chronique qui compare Cosmopolis à Vente à la criée du lot 49 de Thomas Pynchon...
https://mhaaswriter.wordpress.com/2018/01/15/chronique-lart-de-multiplier-les-intrigues-vente-a-la-criee-du-lot-49-face-a-cosmopolis/
Cosmopolis
Cosmopolis