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Tous les livres de Émilie Frèche

Appelez Christine « mamie », et vous risquerez votre vie ! Préférez plutôt Chouquette, le surnom de ses tendres années. Forcée de garder son petit-fils Lucas pendant ses vacances à Saint-Tropez, cette jeune grand-mère en perte de repères est bien décidée à ne pas changer son programme pour les beaux yeux de sa fille.

Voilà le portrait d’une femme qui se noie, d’une époque qui boit la tasse et d’une génération qui tente coûte que coûte de garder les yeux grands fermés. Voilà le roman d’un monde en crise, du déni, de la peur de mourir et de l’héritage que nous laissons à nos enfants.

« L'opération consiste à coincer sa victime.

La neutraliser. Le geste est délicat, le "poisson" ne doit pas gigoter. Une fois l'individu bien calé - contre un mur ou une voiture -, il suffit de lui inciser les commissures des lèvres à l aide d'un cutter. Les entailles n'ont pas besoin d'être larges. »

Le "Sourire de l'ange", une variante du sourire kabyle, se répand aujourd'hui à la sortie des boîtes de nuit, dans certains quartiers : on verse du citron sur la blessure et, la victime ne pouvant s'empêcher de hurler, se déchire les joues jusqu'aux oreilles.

Joseph Vidal, orphelin de dix-sept ans, débarque dans une cité de la banlieue mulhousienne, où vit son grand-père maternel qu'il n'a jamais rencontré. Tout les sépare. Le premier, un vieux bolchevik, rescapé des camps nazis, a rejeté en bloc le judaïsme, le second est un jeune Israélien. Entre eux plane le fantôme de la mère tragiquement disparue. Joseph - qui très vite s'appellera Pierre sur les conseils de son grand-père - fait alors l'expérience d'un monde aux antipodes du sien.

Mais les événements au Proche-Orient s'enflamment. En France, les relations entre les communautés juive et musulmane se dégradent. Joseph, qui se sent plus Israélien qu'israélite, ne se croit pas visé. Il ignore que personne ne s'embarrasse de cette distinction. Un roman d'apprentissage, qui éclaire d'un jour réaliste un problème de société, avec subtilité.

Après une longue vie de pharmaciens, Louise et Ferdinand Jacquet auraient pu décider de se mettre au golf, au bridge, ou bien de partir faire de jolies croisières. Ils ont préféré se passionner pour l'art contemporain.

A travers une galerie de personnages hauts en couleurs, Emilie Frèche (Chouquette, Le film de Jacky Cukier) s'attaque au plus fermé des milieux, mais dans lequel chacun n'aspire qu'à retrouver sa curiosité et son émerveillement d'enfant.

Cette citadine de trente-quatre ans ne fait pas l'unanimité. Forcément sublime pour son fils, Insignifiante aux yeux de son banquier, son identité se construit et se déconstruit à travers les Témoignages, pas toujours très tendres, de sa famille, de ses élus ou de ses intimes. Ils dessinent Ainsi le portrait confus mais attachant d'une femme résolument normale.

Dessins, documents et photos se substituent parfois au texte, le rehaussant avec une fantaisie qui confirme la diversité des talents de l'auteur. Vivacité du ton, humour, subtilité des voix, pudeur font un roman divertissant et original. Emilie Frèche, trente ans en 2006, a publié en 2001 son premier roman, Les Vies denses, qui a reçu le prix Coup de Coeur de la Saint-Valentin.

· Le réalisateur Jacky Cuckier a acheté les droits audiovisuels pour une adaptation Cinématographique avec dans les rôles titres Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg.

· Avec son style romantico-décalé, Emilie Frèche offre un roman féminin comme on les Aime : des histoires d'aujourd'hui, saupoudrées de tendresse et d'un zeste d'humour.

· Parution de son dernier roman Le Film de Jacky Cuckier chez Anne Carrière en janvier 2006.

· Opération « Les filles de Points ».

« Si la tentation est grande de courir au dernier chapitre pour entendre cette "fleur de bitume", on conseillera aux plus impatients d'y résister afin de goûter pleinement les nombreuses surprises qui ponctuent ce délicieux roman. » Le Monde des Livres

Jacky Cukier est cinéaste, c'est-à-dire qu'il a fait un film... il y a quinze ans. Un joli succès, d'ailleurs. Le problème, c'est que, depuis, Jacky n'a pas fait grand-chose. Mais attention, il n'est pas malheureux : il a une femme formidable, Alice, deux beaux enfants, des amis... non, vraiment, ça va. Merci pour lui.

A part ça, Jacky est un vrai Parisien : il aime les terrasses de café, les cinémas d'art et d'essai. Il fume deux paquets de cigarettes par jour, ne parle aucune langue étrangère, ne fait pas de sport, s'angoisse facilement...

Ah oui ! Jacky est juif aussi. Mais ça, il l'avait un peu oublié. Jusqu'à ce que sa femme, victime d'une agression antisémite (et un peu remontée par une copine hystérique), décide qu'il faut quitter la France sur-le-champ. Jacky ne veut pas en entendre parler ? Qu'à cela ne tienne ! Alice prend ses deux enfants sous le bras et s'en va.

Comme Jacky aime sa famille, il va la rejoindre. Et comme il n'a pas de chance, il se retrouve à Palestine. Non, vraiment pas de chance : Palestine, Texas !

Dans cette comédie incisive sur le choc des cultures, Emilie Frèche brosse l'épopée drolatique d'un antihéros irrésistible, pris entre les absurdités des réflexes communautaristes et la difficile relation transatlantique.

NB : Jacky Cukier existe. Son film s'intitulait Chambre à part, et sa compagne se prénomme Emilie...

La fille est là, au beau milieu des draps défaits, perdue dons la blancheur du coton. Martin la regarde et il lui semble que le corps s'est éteint. Rien ne bouge, rien ne parle. Il ne voit ni le visage, ni les cheveux. La lumière jaune a déposé une ombre douce au creux de la taille et le long de la jambe. Le sein pointe. (...)

Le jeu de faux-semblants, les révélations progressives soutiennent la matière originale d'une parabole esthétique et surprenante sur le couple et le secret amoureux.

Je suis au cimetière de Pantin, je jette des poignées de terre sur le cercueil d'llan Halimi, mais c'est la République que j'enterre.

Je suis à la synagogue de la Victoire, je me recueille à la mémoire du défunt, mais c'est pour la France que je prie. Je suis à la Nation, je marche pour un dernier hommage à la victime, mais c'est le deuil de mon pays que je porte. II faut bien un théâtre pour que se joue une tragédie. Et le théâtre dans lequel Ilan s'en est allé, c'est la France de 2006. Alors ayons, pour une fois, le courage de regarder cette France en face.

Sept ans. Le coup de fil du père tombe après sept ans de silence et c'’est une sommation, une convocation. Contre tous ses instincts, Elise répond à l’'appel et saute dans l’'antique R5 de sa mère disparue, direction Marrakech. Entre eux qui sont devenus Deux étrangers, il y a pourtant bien plus que des kilomètres à franchir. Voyage intérieur vers l'’impossible pardon des trahisons intimes et des blessures d’enfance, où même le vacarme de l’'actualité ne couvre pas l’'écho des non-dits familiaux, le nouveau roman d'’Emilie Frèche, éclairé par un humour buté et salvateur, dit la puissance du désir de justice et l’'imparable empire de l'’identité.

« – Maintenant que tu as vraiment quitté ton mari, on va pouvoir parler. Je veux que tu deviennes ma femme. Je t’aime, je veux vivre avec toi, mais avant, il faut que tu laisses tes enfants.

– Pardon ?

– Je suis sérieux. Il faut que tu les laisses à leur père, je te dis ça pour leur bien. Elles seront très heureuses avec lui ; ils partiront vivre en Israël, ce sera beaucoup plus simple, et tu iras leur rendre visite pour les vacances.

– T’es complètement malade.

– Tu sais bien que non, puisque c’est comme ça que ça va se terminer pour les juifs de France. Sept mille juifs sont partis rien que cette année, c’est moi qui l’invente ? Bientôt, il n’y aura plus de juifs en France. Plus un seul juif. Tu te rends compte, un peu ? Le grand rêve de Vichy réalisé par des Merah, des Nemmouche, des Kouachi. Que des petits enfants de bicots qu’on a fait venir du bled pour assembler des boulons, et qui feront mieux que les idéologues du Troisième Reich, sans même avoir besoin de vous mettre dans des trains. Tout ça simplement en jouant avec votre peur. Quelle intelligence ! Quelle économie, surtout. La France nettoyée pour pas un rond. »

Parce qu’elle est sans aucune nouvelle d’Eléa, sa fille de 17 ans embrigadée par Daesh et partie en Syrie il y a maintenant six mois, Laurence commence à tenir un journal. Écrire l’empêche de céder entièrement à la douleur qui la ronge chaque jour davantage, à la colère de n’avoir rien vu venir, et de n’avoir pas su comprendre que tout allait basculer. De trop nombreuses questions sans réponse la hantent : comment Eléa va-t-elle ? Où vit-elle ? Et avec qui ? Comment Eléa, qui avait la tête sur les épaules et des envies par centaines, a-t-elle pu manquer de discernement au point de renoncer à tout… et surtout à sa liberté ? Laurence interpelle sa fille et lui raconte, jour après jour, sa tristesse et sa participation à des groupes de déradicalisation, sa lutte pour éveiller les consciences, tenter d’empêcher le départ d’autres adolescents… Pour tenter aussi de contrer l’absence de sa fille, ne pas la perdre tout à fait…

À ses mots répondent ceux du journal intime d’Eléa, écrits un an auparavant. On découvre peu à peu comment pour cette jeune fille la frontière qui sépare influence et conviction a été franchie. Comment aux rêves d’avenir, aux premiers émois amoureux, aux amitiés sereines, se sont substitués la manipulation, la soumission, l’extrémisme…

De grands auteurs se prêtent au jeu de la nouvelle polar en laissant libre cours à leur plume, dans un recueil inédit présenté dans un élégant coffret.

Jaloux, psychopathes, crimes passionnels ou vengeurs, des nouvelles délicieusement atroces sont réunies dans un coffret luxueux pour garantir un été de frisons.

De grands auteurs contemporains, à l'écriture originale et talentueuse, nous entraînent dans des histoires criminelles inédites, tour à tour sanglantes, drôles, absurdes ou terrifiantes...

Ils signent un ouvrage dédié au polar composé de douze nouvelles intrigantes et déroutantes.

« La première fois qu’ils se sont vus tous les quatre, le fils de Pierre n’a pas supporté un mot du fils de Déborah, ou peutêtre était-ce juste un rire, et, pris d’une rage folle, il s’est mis à hurler qu’il les détestait, que de toute façon elle ne serait jamais à son goût et Léo jamais son frère, puis il a attrapé un couteau de boucher aimanté à la crédence derrière lui et, le brandissant à leur visage, il a menacé de les tuer – cela faisait une heure à peine qu’il les connaissait. »

Tout le monde ne parle que du vivre-ensemble mais, au fond, qui sait vraiment de quoi il retourne, sinon les familles recomposées ? Vivre ensemble, c’est se disputer un territoire.

(Source : Stock)

« Tant qu’on n’a pas touché du doigt la réalité de ce cauchemar, on ne sait rien. On devine. On imagine. Et on passe son chemin. »

Sur la route de Briançon, la voiture de David percute un jeune exilé poursuivi par la police. Suivant son instinct, David le cache dans son coffre et le ramène chez sa compagne Gabrielle qui vit avec ses deux enfants. Bouleversé par le destin de cet adolescent, David s’engage à l’aider coûte que coûte.

DU FILM AU ROMAN  : Ce roman constitue véritablement un hors-champ et raconte ce que le film ellipse : l’histoire de Joko, mais aussi celle de Lili, la fille de Gabrielle.

Jusqu’au divorce de ses parents, Lili a grandi à Marseille, menant une vie heureuse, confortable et protégée des tragédies du monde. Joko, lui, a vécu exactement l’inverse : il a dû quitter la Guinée-Conakry, son pays natal, qui ne lui offrait aucun avenir, traverser l’Afrique et gagner l’Europe, en solitaire. Lili et Joko ont tous les deux quinze ans et aucune raison de se rencontrer, si ce n’est qu’un soir, à la frontière italienne où la jeune fille vient de s’installer avec sa mère et son frère, leur voiture manque de percuter ce jeune migrant qui tente d’échapper à la police. C’est le début d’une course contre la montre pour lui sauver la vie.

Qu'il vous reste de nous notre amour infini de la vie, de sa beauté et de sa légèreté, et que du fin fond de notre sommeil éternel, vous nous entendiez rire encore. Rire, chanter, danser et célébrer la vie. Nous l'avons tant aimée.»

Un matin, un garçon d'étage de l'hôtel Lutetia, découvre un couple d'octogénaires, main dans la main, endormis pour l'éternité.

Ce geste ultime et romantique, cette liberté qu'ils n'ont pas hésité à s'offrir a certes du panache, mais Ezra et Maud ont-ils pensé à leur fille Eléonore qu'ils laissent en proie à l'incompréhension et au chagrin ?

Ont-ils seulement pensé à elle en planifiant leur mort spectaculaire, leur funérailles extravagantes, le legs compliqué de leur maison des Bulles ?

Ultime coup d'éclat d'un couple de publicitaires, vendeurs de rêves, incarnations vibrantes des dernières décennies euphoriques du XXe siècle ou témoignage d'amour maladroit, absurde, tapageur mais d'amour malgré tout ?

C'est drôle, c'est perturbant, c'est bouleversant, et Emilie Frèche signe ici son meilleur roman.

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