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Tous les livres de Esther Benbassa

Cet ouvrage montre brillamment comment en monde juif, depuis les fondations bibliques elles-mêmes, la souffrance, ses représentations et sa ritualisation ont façonné au fil des siècles l'histoire d'un peuple et d'une religion, et plus encore l'idée que ce peuple et cette religion se faisaient de leur histoire, désormais " lacrymale ". Il suit ce parcours jusqu'à ses ultimes métamorphoses et analyse le lien indissoluble qui s'est finalement tissé entre le génocide et l'Etat d'Israël, sa politisation, sa banalisation et sa transformation récente en une religion civile accessible à tous, un judaïsme " de l'Holocauste et de la Rédemption " - la Rédemption étant la création de l'Etat hébreu. Au-delà du cas juif, il fournit des clés de compréhension des diverses trajectoires mémorielles et identitaires d'aujourd'hui, aussi nécessaires ou inévitables qu'envahissantes et dont la mémoire de la Shoah est devenue le modèle. Traitant pour la première fois dans la très longue durée et dans une perspective comparatiste l'immense dossier de la souffrance comme identité, Esther Benbassa engage aussi le débat, face à des devoirs de mémoire tyranniques, sur un droit à l'oubli qui ne serait pas amnésie, mais confierait à une histoire enfin plurielle et partagée le dépôt de nos passés de souffrances. Ce choix reste-t-il toutefois praticable dans une société qui fait du bien-être sa valeur suprême, où la souffrance distingue et garantit le plus souvent l'accès à une forme de reconnaissance, même si elle est essentiellement symbolique et n'ouvre pas toujours sur un avenir constructif ?

Comment la France a-t-elle été colonisée par son Empire ? En traitant du fait national tel qu’il a été modelé par l’idéologie coloniale, ce livre renverse les perspectives. Pour légitimer leurs lointaines conquêtes, la monarchie, l’empire et la république ont conçu, organisé, relayé auprès des Français une culture coloniale. Le cinéma et le théâtre, le sport et l’école, la littérature et la presse, les arts, la publicité, la chanson, sans oublier l’armée, les comités coloniaux, les expositions se sont chargés de diffuser quêtes scientifiques, fascinations exotiques, fiertés patriotiques ainsi qu’intérêts économiques et politiques.

A l’heure où la France éprouve la difficulté de rassembler dans un destin commun des mémoires divisées, ce sont les grandes lignes de ce « passé qui ne passe pas » et les méandres d’une utopie coloniale que ce recueil retrace, de la première abolition de l’esclavage aux présents débats sur la « repentance ».

Une somme.

Cet ouvrage de synthèse présente, à la lumière des recherches les plus récentes, l'histoire des groupes juifs en France de l'époque gallo-romaine à nos jours. Il prend en compte ruptures et continuités, sans dissocier les événements des réalités sociales, économiques, culturelles et religieuses. Sans cesse renouvelée et redynamisée par des apports de populations exogènes, la collectivité juive de France suit en effet une trajectoire complexe, à la jonction de l'histoire de France et l'histoire des Juifs. Suivant une approche plurielle, ce travail tente de retracer dans leur diversité et dans leur spécificité les vicissitudes de la présence juive sur le sol français, de cerner les modalités de ses rapports avec la société environnante, ainsi que sa place à l'époque contemporaine, dans la nation française.

Elaboré par Theodor Lessing dans l'entre-deux-guerres, lorsque l'antisémitisme battait son plein, le concept de " haine de soi " servit d'abord à penser la psychopathologie de certaines franges du peuple juif, intériorisant, parfois jusqu'au suicide, le regard de rejet qui se portait sur elles. La haine de soi intéresse cependant l'ensemble du genre humain, et c'est précisément ce que cet ouvrage vise à montrer. Il y a la honte de ces sans-abri que nous croisons tous les jours, et que nous faisons mine de ne pas voir, tant leur présence nous dérange. Ou encore ces gays qui, en quête de respectabilité ou d'invisibilité, abhorrent un efféminement largement stigmatisé par la société globale. Jeunes femmes anorexiques, enfants abandonnés orphelins du désir de leurs proches, mélancoliques, tous tissent des stratégies de survie qui se révèlent comme négation même de la vie. Et l'écriture est là, chez un Maurice Sachs ou un Michel del Castillo, déployant les infinies métamorphoses de ce sentiment. Que dire aussi de ces révolutionnaires iraniens se sacrifiant sur l'autel de l'idéal khomeiniste ? Ou de ces victimes cambodgiennes qu'on aurait voulu rendre coresponsables de leur propre malheur ? Quant à celui qui change de nom, ou qui se convertit, cherche-t-il à se délester d'un soi oppressant ? Et que penser enfin de ceux qui simplement renoncent au soi, telle Simone Weil, ou, sous d'autres cieux, tel sage hindou ? Des psychanalystes, des historiens, des sociologues, des philosophes et des écrivains traquent dans ces pages les avatars étonnants de la haine de soi. Sans oublier que derrière le soi et derrière la haine se profile peut-être toujours la double figure de l'Autre, et de l'amour.

LA MALADIE D'UN PEUPLE ? Theodor Lessing et le concept de " haine de soi juive "

Otto Weininger : Le cas par excellence de " haine de soi juive "

Sionisme et " négation de l'exil " : une autre forme de haine de soi ? UNE MALADIE DE L'AME ? La haine de soi, l'autre face de la haine : Point de vue psychanalytique

L'enfance de la haine de soi

La haine du corps au féminin : l'anorexie

EXISTE-T-IL UNE " HOMOPHOBIE " GAY ? Des folles de Saint-Germain-des-Prés au " fléau social "

Tête de (gay) turc

VIOLENCES ET EXCLUSIONS

La haine et le sacré

Altérité suspecte et identité coupable dans la diaspora cambodgienne

Les exclus modernes entre indignité, honte et haine de soi

SE PERDRE OU SE RETROUVER DANS L'ECRITURE

Un grand écrivain contrarié : Maurice Sachs

Haine de soi et filiation : la rédemption par l'écriture chez Michel del Castillo

RENONCER AU " SOI "

Simone Weil, la mal née

Peut-on haïr Dieu ? LE " SOI " RECOMPOSE

Dans le sillage des attentats de janvier 2015, la nuit tragique du 13 novembre a fait basculer la France dans une ère de violence, de deuil et d'anxiété. Dans un enchaînement de catastrophes, le pays paraît s'enfoncer lentement dans le chaos. Une secousse qui bouscule aussi les êtres, jusque dans leurs retranchements, faisant remonter les vécus enfouis qui se confondent parfois avec ceux des hommes et des femmes fauchés par les balles des terroristes. Qui donc étaient ces morts? Leurs histoires interpellent les nôtres, les associant à celle de toute une nation en panique.

Une femme venue d'ailleurs essaie de relire ce qui est arrivé à l'aune de ses errances passées, avec empathie, dans ses nuits désormais blanches. Elle croise les vies, les lieux, les époques, les libertés évanouies, la politique en berne, et refuse obstinément de céder au désespoir ambiant. Elle descend dans ses propres décombres pour redonner un peu de vie à ces morts dont l'ombre a pesé de tout son poids sur les événements des mois qui ont suivi. Célébration de la liberté, ce récit est aussi un regard sur le monde d'où la vie, malgré tout, sort victorieuse.

Le débat public paraît plus que jamais dominé par une " géographisation " simpliste des problématiques territoriales et par une idée erronée, quoique répandue, selon laquelle le " périurbain " serait inéluctablement un bassin de relégation et un réservoir du vote FN.

Le débat public paraît plus que jamais dominé par une " géographisation " simpliste des problématiques territoriales et par une idée erronée, quoique répandue, selon laquelle le " périurbain " serait inéluctablement un bassin de relégation et un réservoir du vote FN.

Or pour ouvrir la voie à une action véritablement efficace, en une période où le super-territoire, la Métropole, semble être devenu le nouveau sésame de l'intégration, il faut analyser " fractures " et " relégations " avec quelque rigueur. Et surtout ne pas se contenter de recycler l'opposition ville/campagne pour s'en tenir à une vision binaire et statique occultant un monde à la fois plus complexe et plus dynamique. Déjà faudrait-il se mettre d'accord sur le sens des mots employés pour en parler. Qu'entend-on finalement par " périurbain " ou encore par " banlieue " ? Y a-t-il derrière ces mots des réalités stables et homogènes ? Il est permis d'en douter. De fait, seule l'articulation de nouveaux concepts, évoquant des formes de vie plutôt que de simples ancrages territoriaux, paraît en mesure de décrire toutes les mobilités à l'œuvre.

Réunissant acteurs de terrain et chercheurs, cet ouvrage tente un diagnostic, évalue les actions déjà engagées et formule des propositions. En une période de refonte de la politique de la ville et de réforme territoriale, l'enjeu d'une telle approche croisée, intégrant les questions sociales, économiques et environnementales, paraît crucial.

" L'urgence, pour les juifs, pour les musulmans, mais aussi pour le pays lui-même, est aujourd'hui à retisser les liens, à renouer le dialogue, en renonçant aux faux-semblants, aux paroles creuses, à la bonne volonté de pur affichage. À dire – à se dire – les choses avec franchise et dans le respect mutuel. Avec un objectif immédiat, qui est le vivre-avec. Sans renoncer pour autant à un autre, plus lointain mais plus ambitieux, faire société au-delà de ce qui nous sépare "

Attentats du 11 septembre 2001, « choc des civilisations », revendications communautaristes, appétits nouveaux de spiritualité... Face à cette explosion de phénomènes et de discours, les Français, tantôt anticléricaux, tantôt peu ou mal formés à la culture religieuse, se sentent parfois désorientés. Ce livre leur fournira certaines des clés qui leur manquent.

Judaïsme, christianisme et islam s'y taillent une part importante parce qu'ils ont marqué l'histoire de l'Europe. Mais traditions d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique et nouveaux mouvements religieux sont aussi abordés. Outre leur intérêt intrinsèque, notre passé colonial, les grandes migrations de l'ère contemporaine, la diffusion en Occident des sagesses orientales l'imposaient.

Ni apologétique ni dépréciateur, ne cultivant ni l'irénisme ni le goût du sensationnel, ce travail d'équipe conçu et conduit avec brio par Jean-Christophe Attias et Esther Benbassa se veut non confessionnel et distancié. Il porte une attention particulière aux phénomènes de contact, de conflit, mais aussi d'imprégnation mutuelle entre religions différentes, sans oublier l'histoire des laïcités et les processus de sécularisation.

L'étude dépassionnée des faits religieux est une fenêtre privilégiée sur la diversité des cultures. Elle est en même temps une invite au dialogue et à la compréhension réciproque. Simples curieux, parents, enseignants, étudiants, lycéens, jeunes et moins jeunes sauront faire de ce livre l'usage qui leur convient. Puisse-t-il devenir entre leurs mains un modeste mais efficace outil de liberté.

Et si les Juifs n'étaient pas les «descendants» des Hébreux ? Et si leur Livre n'était pas tant la Bible que le Talmud ? Et si l'antijudaïsme médiéval ne se confondait pas avec l'antisémi-tisme moderne ? Et si l'orthodoxie n'était pas un retour aux sources mais une invention récente ? Et si le sionisme avait réussi en raison même de ses échecs ? Et s'il fallait cesser de nier les tensions entre Israël et la diaspora ? Les Ashkénazes et les Sépharades ? Les intégristes et les laïcs ? Et, surtout, si l'institution de la Shoah en religion civile était désormais le principal obstacle à cette universalité qui, avec l'exil et la célébration de la vie, a toujours été au coeur de l'être juif ? Alors la question de savoir si les Juifs ont un avenir serait tout sauf sacrilège.

Un dialogue aussi lumineux qu'iconoclaste, ouvert à tous, interrogeant les fondations de notre culture et à hauteur, enfin, du siècle qui s'ouvre.

Salonique demeure au centre tant de l'expérience historique que de l'imaginaire sépharades. Les Juifs sépharades, qui se sont installés en nombre dans la ville après leur expulsion d'Espagne à partir du XVe siècle, y ont longtemps constitué une majorité de la population et ont marqué son histoire. Sa sortie du giron ottoman et son rattachement à la Grèce, en 1912, il y a un siècle exactement, entameront un processus de lent déclin, s'achevant dans l'anéantissement de la Shoah. Parée du halo d'une grandeur passée, Salonique est ainsi également le lieu par excellence de la tragédie. C'est de cette trajectoire unique, à la fois fantasmée et oubliée, que cet ouvrage entend rendre compte.

A l'orée d'une campagne présidentielle qui sera marquée par les débats sur l'identité nationale, l'intégration et l'immigration, Esther Benbassa, auteur cosmopolite, fille d'immigrés amoureux de la France et intellectuelle de haut vol, s'insurge et prend parti. Dans ce livre coup de poing et vivant, elle nous réconcilie avec une France historique inspirée par les véritables valeurs républicaines. Elle a la légitimité, le verbe, l'esprit et la plume pour clouer le bec à plus d'un.

"Notre quotidien, au Parlement, c'est d'être interrompues de manière intempestive, de subir en bruit de fond les bavardages et parfois les moqueries, de ne pas être écoutées. Prendre la parole pour dire que nous ne voulons plus subir les violences sexistes ou sexuelles que certains hommes nous infligent : voici l'urgence."

Qu'est-ce qu'une " minorité " ? Un groupe numériquement faible que sa religion, son origine ethnique, la couleur de sa peau ou son orientation sexuelle distingue de la population dite majoritaire, et expose à des discriminations d'ampleur et de nature variables. En France, le mot renvoie plus spécifiquement à tous ceux que l'on continue de percevoir comme étant " issus de l'immigration ", quand bien même ils seraient français depuis plusieurs générations. " Visibles " lorsqu'elles dérangent, ces minorités deviennent curieusement " invisibles " dès qu'il s'agit de représentation politique. En intégrant les " minoritaires " au jeu politique, les partis trouveraient à la fois le moyen d'emporter l'adhésion active de populations traditionnellement négligées et l'occasion de conformer leur pratique à leurs idéaux affichés pour dégripper enfin l'ascenceur social. S'en tenant au constat que ces populations, au fond, ne votent pas, ou guère, beaucoup de politiciens se montrent finalement peu soucieux de les inciter à le faire, alors que le vote est la première expression d'une citoyenneté responsable. Réunissant les analyses des meilleurs spécialistes européens et américains de la question, ainsi que les témoignages d'acteurs politiques français, cet ouvrage de référence aborde le fait minoritaire dans une perspective comparatiste, pour mieux en saisir les enjeux et mettre à mal les préjugés et les peurs qui l'entourent, en particulier dans un contexte de forte poussée national-populiste.

Le dernier dimanche de l'année liturgique, l'Église fête le Christ Roi, célébration d'un symbole qui peut paraître ambiguë. Mais la royauté du Christ n'en constitue pas moins une figure commune aux quatre évangiles, en continuité avec l'espérance messianique de l'ancien Israël, particulièrement vivante au premier siècle de notre ère. Dans ce concert d'acclamations royales adressées à Jésus, l'évangile selon saint Jean occupe une place particulière. Mais quel est donc ce roi qui semble subvertir tous les critères habituels de la royauté ? Yves-Marie Blanchard relit cet évangile autour de trois clés : le témoignage de Jean-Baptiste, introduisant une première litanie des titres messianiques et qualités royales de Jésus ; la révélation à l'adresse de Pilate, dessinant la figure en creux d'une royauté paradoxale ; l'accomplissement de la figure royale, à travers la métaphore contrastée de l'Agneau, douloureuse et glorieuse à la fois.

L'ouvrage de Johann Michel se veut une synthèse inédite portant sur les politiques de la mémoire dans la France contemporaine. Ce travail offre des clés indispensables pour comprendre les controverses mémorielles qui agitent notre scène sociale et politique. À la croisée de l'histoire et de la science politique, la thèse de l'ouvrage consiste à montrer comment nous sommes passés d'un régime mémoriel dans lequel prédomine l'imaginaire de l'unité nationale à une pluralité de régimes mémoriels (régime mémoriel de la Shoah, de l'esclavage...) dans lesquels prime la reconnaissance de victimes jadis délaissées par le récit national officiel. Les laissé(e)s-pour-compte de l'histoire et de la mémoire d'hier revendiquent aujourd'hui une nouvelle place symbolique dans le nouveau récit collectif.

L'Europe en construction est tenue aujourd'hui de valoriser ses entités culturelles pour relever le défi d'une mondialisation galopante et, dans le long terme, de (uniformité qui la guette. Le judaïsme et les juifs sont partie prenante de cette histoire et de cette démarche. Ils font corps avec l'Europe d'hier, et il n'y a pas de raison pour qu'il en soit autrement demain. Même si leurs relations avec elle furent traversées de tragédies, elles n'en furent pas moins fructueuses en d'autres périodes. Cet ouvrage collectif se propose d'étudier, aussi bien d'un point de vue socio-politique que religieux, le jeu de ces interactions entre l'Europe et les juifs, pour mieux saisir l'essence de cette créativité commune qui fonde le patrimoine de notre européanité.

Ce livre est une traversée de l’histoire des Juifs d’origine ibérique, les Sépharades.

Il évoque la cohabitation des trois monothéismes en Espagne médiévale, l’émergence des fanatismes musulman puis chrétien, le phénomène marrane, l’Inquisition, les expulsions qui dispersent bientôt les Sépharades en France, aux Pays-Bas ou en Allemagne, mais aussi dans le Maghreb, et surtout dans l’Empire ottoman et les Balkans, où se construit une nouvelle identité. Le choc de la Seconde Guerre mondiale finira par décimer les communautés.

C’est aussi toute une culture, riche de maints contacts, transmise en plusieurs langues, dont ces pages explorent les multiples facettes et traquent les ultimes et fragiles vestiges.

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