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Les réactions de Sophia sont peu réalistes.
Les moments forts du roman sont expédiés en quelques pages. J'ai eu l'impression qu'il manquait des parties.
En revanche j'ai grandement amélioré mes connaissances gastronomiques avec tous les plats et alcool cités dans ce roman.
T'aimer quand même, Tome 2 : Mille nuits sans toi
T'aimer encore
Trois mètres au-dessus du ciel
Gin est la reine de la débrouille. Elle ne s’en laisse pas conter. Comme Step, elle fonce et réfléchit après. Je dois dire que je l’ai beaucoup aimée. Elle est à l’opposé de Babi, trop lisse, trop sage. Gin est une battante. Ce qu’elle veut, elle l’obtient. De manière pas toujours honnête, certes, mais elle fait tout pour parvenir à ses fins. Et je dois dire que les révélations sur ce qu’elle est capable de faire par amour étaient pour le moins surprenantes.
Entre Step et Gin, c’est comme une évidence. Ils se ressemblent, se défient, s’attirent. Mais Babi n’est pas loin et elle n’a pas forcément oublié Step. J’ai aimé la retrouver, bien que je ne sois pas attachée à elle. J’ai par contre adoré sa soeur, qui mérite d’être plus mise en avant et ses parents qui traversent des moments difficiles.
J’ai beaucoup aimé ma lecture et cette histoire qui ne prend pas du tout le chemin que l’on attend d’une romance classique. Ici, ça sonne vrai, c’est douloureux, c’est tendre et poétique. Cependant, j’ai trouvé quelques longueurs, c’était dommage.
Malgré tout, j’ai hâte de découvrir la fin et savoir, malgré tout ce qu’il se passe et les évènements qui se préparent, qui va choisir Step ?
J'ai envie de toi
Step bouillonne de colère. Il a lâché les études, fuit sa famille. Il ne vit que pour ses copains, leurs virées qui dégénèrent souvent, les courses de motos illégales. Son seul piliers malgré tout, c’est son frère. Pourtant Step n’a aucune pitié pour lui. Il est agressif, lui en fait voir de toute les couleurs. Mais Paolo, qui semble avoir une vie pas toujours rose reste là, toujours présent pour son petit frère qui se cache dans la violence et la délinquance.
Babi est la fille parfaite. Bonne élève, famille « parfaite », entre un père un peu pataud qui aime sa femme et ses filles et rêve d’une vie plan-plan et une mère dure, autoritaire qui ne respecte pas son mari et veille aux apparences face à ses amies riches. Babi ne sort pas des lignes, seule sa copine Pallina la pousse un peu à faire des choses qui ne lui ressemblent pas.
Lorsque Step entre dans la vie de Babi, c’est avec fracas. Entre eux, un amour-haine va commencer. Plein de fougue, de folie, de limites dépassées, ça va devenir ce premier amour doux-amer, celui qui transforme les ados pour toujours, qui rend immortel, qui blesse aussi terriblement.
C’est beau, plein de poésie, violent. J’ai vraiment dévoré cette histoire. La lecture était un peu déroutante au début. Pas vraiment de repère temporel, les changements de point de vue sans démarcation, les dialogues sans savoir au premier abord qui parle. Ce n’était pas toujours fluide. De plus, parfois, le passé et le présent se mêlent, permettant de mieux saisir certaines situations. Les phrases sont courtes, percutantes, donnant un rythme effréné à l’histoire, un peu à l’image de la vie de ces ados qui se cherchent, vivent à 100 à l’heure, franchissent les limites quelles qu’en soient les conséquences.
Cependant, le réalisme des personnages et de ce qu’ils vivent, des drames qu’ils traversent, des différents avec les adultes, tout cela a fait que je n’ai pas pu décrocher, j’ai été touchée et émue. Bizarrement, j’ai eu du mal à m’attacher aux personnages. Ce n’est venu que vers la fin. Je leur trouvais des défauts, ils faisaient des choses que je ne comprenais pas. Mais il n’empêche qu’en refermant le livre, j’ai eu du mal à les quitter parce que ces deux gamins et leurs copains m’ont vraiment marquée.
Trois mètres au-dessus du ciel
T'aimer encore
Un peu compliqué de rentrer dans l'histoire avec autant de situations différentes dans les premières pages.
Mais la lecture reste facile et fluide quand la moitié des personnages du début disparaissent.
Des répétitions pas toujours évidentes "Step fait ça. Step fait ça. Babi fait ça. Step fait ça". Les échanges entre les personnages ne paraissent pas naturel. Peut-être la faute à la traduction ? J'avais parfois l'impression de lire une pièce de théâtre.
J'ai trouvé la fin extrêmement baclée. Je me demandais comment l'auteur aller pouvoir mettre autant de scène dans si peu de pages ? En résumant absolument toute la fin.
Trois mètres au-dessus du ciel
T'aimer encore
Je préfère largement les personnages des films que ceux du roman. Je trouve Gin très enfantine et pas trop badas comme dans les films. Et vraiment le personnage de Baby est insupportable dans ce deuxième tome.
J'ai envie de toi
Je suis une grande fan des films alors j'étais enthousiaste de lire les livres dont étaient tirés les films. Il faut savoir que à la base, dans les films, je suis une grande fan du couple Baby et Step/Hugo. J'ai été emballé par le début mais j'ai été un peu choqué que le personnage soit décris comme telle. Personnellement je ne l'ai pas ressenti comme cela durant les films.
Déçu également que la mort de Polo soit passer à la trappe. Enfin il est mort dans les deux mais on ne décrit pas du tout sa mort dans les livres et je m'attendais à une scène de suspense mais pas du tout on a juste l'annonce de sa mort par sa petite amie à Step et Baby.
Trois mètres au-dessus du ciel
J'ai failli te dire je t'aime, Tome 1
J'ai eu la bonne surprise de voir que le roman me proposait plusieurs points de vue et non pas seulement ceux des deux protagonistes principaux, même s'ils n'étaient pas aussi intéressants. Nous avons Babi, une fille de bonne famille, excellente élève sans histoire, au fort caractère qui va rencontrer Stefano, plus connu sous le surnom de Step, un bad boy violent, lunatique, bagarreur et charmeur. Ce dernier va complètement chambouler sa vie, à tel point qu'elle prendra goût à l'interdit et lui, à travers elle, trouvera enfin quelqu'un à qui s'attacher, qui l'accepte pour le meilleur et pour le pire.
Durant ma lecture, j'avais la superbe bande-son en tête, le visage des acteurs en tête et c'était plutôt sympa. J'ai lu le roman très rapidement tellement c'était fluide (bien que j'ai quand même un reproche par rapport au style d'écriture). Je peux le dire, à l'image de Step sur sa moto, le lecteur va à 100 à l'heure, bien vite emporté et accompagné par cette jeunesse italienne. Ce qui m'a surpris c'est de voir à quel point le film est fidèle au roman ! C'est le rêve de tout lecteur, de voir une adaptation bonne et fidèle, j'y ai retrouvé les événements majeurs comme la rencontre des deux protagonistes principaux sur le chemin du bahut, la soirée avec la fameuse scène de la douche, la pool-party en groupe, les courses en moto ultra dangereuses, la première fois de Babi dans la maison de ses rêves, le tatouage, la signification de la citation 'Trois mètres au-dessus du ciel', le terrible accident de moto et la mort d'un personnage clé, la course poursuite avec la police, la rupture... et j'en passe !
Ce que je reproche : des longueurs, beaucoup, beaucoup de longueurs ! La violence qu'il y a dans ce roman est inouïe, c'était trop pour un roman "ado". Je n'ai pas non plus trop accroché au style courant/moderne de l'auteur, aux caractères des personnages. Et plus que tout, la relation des deux protagonistes est beaucoup trop toxique et dangereuse ! Quand j'étais ado, oui, cela me passait au-dessus de la tête mais avec la maturité, mes convictions, mon vécu... cela ne passe plus trop, mon avis sur le sujet est beaucoup plus arrêté désormais.
En bref, j'ai bien aimé mais sans adoré. C'est une lecture assez neutre, sympa mais sans plus. Ce n'est plus le genre que j'affectionne, cela ne m'intéresse plus de lire ce genre de romans mais si je l'avais lu adolescente, peu de temps après mon visionnage du film, oui, peut-être que j'aurais adoré ! Donc, il n'y aura jamais de relecture et je ne pense pas que je lirais la suite.
Trois mètres au-dessus du ciel
L'auteur est réputé pour ses fins imprévisibles et inattendues. Et ce n'est pas ce roman qui allait dérogé à la règle.
Je l'ai lu d'une traite ! Trop roman à l'eau de rose à mon goût, mais j'ai beaucoup aimé la fin ; contrairement aux critiques que j'ai lu à propos. Ce sont d'ailleurs ces critiques qui ont davantage attisé ma curiosité.
Le roman vous tient en haleine jusqu'au bout. Et à la fin, il fait tomber toutes vos déductions... Ça vaut la peine de le lire !!!
T'aimer quand même, Tome 1
T'aimer encore
La capacité de concentration d'un poisson rouge, le survoltage d'un hamster dans sa roue, un cœur d'artichaut tout chaud.^^
Cette jeune fille est complètement zazimutée. Et si d'habitude je suis friande du côté foufou que peux avoir un protagoniste de papier (et bien que ma lecture fut fluide et pas désagréable) là c'est trop pour que j'y revienne.
Il y a des scènes dont je me serais passé...et elle balance trop de "miettes de pain" au vent sans revenir dessus tellement elle fait de digressions et de sauts dans le temps. L'héroïne elle-même parfois ne sait plus où elle veut en venir.^^ (Alors ne parlons pas de celui qui écrit et finit par...se contredire. XD)
Si j'ai suivi il n'empêche que son récit est cacophonique en diable !
Et puis ses hormones hystériques très fifilles qui la poussent à enchaîner les émois amoureux...il y a de quoi se perdre dans tous ces frétillants pré-ado qui l'embrassent. Elle est aussi gentille que complètement jetée, et régulièrement trop évaporée et superficielle à mon goût (pour ne pas dire creuse...), malgré l'humour de ses élucubrations, sa naïveté n'est pas mignonne mais d'une grande bêtise.
Je ne pense pas que le scénario nécessitait tant de pages (606 c'est beaucoup ;) ).
J'ai aussi cru que les autres points de vue "hors Caro" seraient plus nombreux ou plus longs...raté. (Et pas ouf...les secondaires ne tirent pas leur épingle du jeu.)
Aparté : et puis j'avoue que j'ai du mal avec les auteurs qui font leur "auto-promo" dans un roman...plusieurs fois dans le livre Mr Moccia (au travers de la bouche d'un personnage libraire) évoque à quel point les ados aiment ses livres, que c'est tellement bien qu'il y a même eu film...blablabla.
Perso quand je tombe "in love" d'une plume, je cherche direct les autres titres de l'écrivain = je déteste le placement produit. N'en déplaise au Sinore Federico qui a au passage totalement spoilé l'intrigue de ses best-sellers (partant du postulat qu'on ne peut que les avoir lu ?!) pour mieux faire le coq. XD
Ah et puis conseiller "Le journal de Bridger Jones" à une louloute de 13 ans 3/4...c'est pas non plus une chose à faire (d'ailleurs même adulte j'ai pas aimé mais passons.^^)
Il y a vraiments des grosses incohérences qui m'ont piqué les yeux (et aussi quelques coquilles de traduction)...le narrateur s'emmêle grave les pinceaux à force. Quant aux
vannes grosophobes elles ne m'ont pas fait rire. (Se cacher derrière la mesquinerie adolescente c'est moche.)
Pour la fin...que dire ? C'était transparent comme de l'eau de roche.
Donc je confirme...beaucoup trop de pages pour une telle conclusion !! ^^'
Autre aparté : que les jeunes hommes de 19/20ans courent après des gamines de 13/14 ans ça ne choque que moi ?!!
Amore14