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Toutes les séries de Françoise Chandernagor

4 livres
109 lecteurs

De ses amours avec César et Marc Antoine, Cléopâtre eut quatre enfants. Seule Séléné survécut au destin tragique de la reine d’Egypte. Âgée de dix ans lors de la prise d’Alexandrie, elle n'oublia jamais l'anéantissement de sa famille, de son royaume, de sa dynastie, de ses dieux. Prisonnière en terre étrangère, elle vécut dès lors pour venger ses frères et faire survivre dans le monde des vainqueurs la lignée des vaincus. Avec la sensibilité d'écriture et la force romanesque qui ont fait de L'Allée du Roi un classique, Françoise Chandernagor s'empare du destin de la dernière des Ptolémées et questionne un passé deux fois millénaire. Une fresque grandiose.

Françoise Chandernagor porte son Egypte à bras-le-corps avec cette aisance, ce brio que confère une passion intelligente. Patrick Grainville, Le Figaro littéraire.

Un régal d’intelligence, de sensualité et de culture qu’on dévore à belles dents. Yves Viollier, La Vie.

59 livres
30 lecteurs
3 livres
20 lecteurs

Premier volume d'une grande trilogie romanesque, La Sans Pareille nous conte les débuts de Christine Valbray.

De celle qui fut l'une des plus célèbres égéries de la vie politique française, que sait le public? Que sa vie fut courte et tragique. Qu'on lui avait donné le surnom de « Sans Pareille » parce qu'elle avait la beauté altière et triomphante d'une fameuse courtisane florentine. Que tout Paris - le Tout-Paris des arts, du journalisme et de la finance - croyait bien connaître cette carriériste désinvolte et dut avouer qu'il s'était trompé. Qu'aujourd'hui, enfin, sept ans après un scandale et un procès qui firent trembler la classe politique, elle est retournée à l'oubli sans avoir livré son secret.

Des banlieues populaires aux palais romains, des cercles de jeux aux soirées échangistes, et des amphis gauchistes aux alcôves ministérielles, nous assistons ici aux premiers pas d'une ascension dont la rapidité surprit les observateurs. Premiers pas, ou premiers faux pas ?

Grâce à Françoise, sa biographe, qui a recueilli et commenté les confidences de la Sans Pareille, nous cernons enfin de plus près la vérité de cette aventurière hors du commun...

A travers le regard de ces deux femmes, l'auteur de L'Allée du Roi nous offre une peinture des splendeurs et des misères de notre temps. Dans ce portrait d'un personnage d'exception, c'est le visage ordinaire de cette fin de siècle - notre visage -qu'elle nous propose de découvrir.

Tous les livres de Françoise Chandernagor

Que savons-nous de nos " proches " ? Lorsque Olga, malade, coupe brusquement toute communication avec son entourage, ne parle plus, ne regarde plus, ce sont ses filles qui ouvrent les yeux - sur ce qui les sépare. Dans cette famille en apparence si unie, chacune des quatre sœurs a, en effet, sa propre vision de la mort et sa propre vision de la mère. Les voilà renvoyées à leur enfance, et confrontées à cette vérité : personne n'a eu la même mère. Parce que Olga, silencieuse, les yeux fermés, est en train de s'effacer, chaque fille découvre sur " le clan ", un clan étrangement matriarcal, ce qu'elle ne savait pas ou n'avait pas voulu savoir - petits secrets qui recomposent peu à peu le puzzle géant dont aucune, jusque-là, n'avait détenu toutes les pièces.

Dans une chambre fermée, un enfant seul. Dans une chambre fermée à clé, un enfant silencieux, sans jouets, sans livres. La chambre est vaste : il peut marcher. Il marche du grand lit double au petit lit de camp, de la chaise rouge au tabouret de paille, de la belle commode jusqu'à la haute fenêtre. Mais par la fenêtre, on ne voit rien. Rien que des planches et des barreaux. Alors, l'enfant s'assied près du poêle, il se recouche dans le lit défait, serre contre lui son oreiller, il dort, il rêve... Dans la chambre jaune aux rideaux lourds, un petit garçon de huit ans attend qu'on vienne le chercher. Qui ? Il ne sait pas, il attend. Il attend sans faire de bruit. Les jours, les mois passent. Il est le roi de la chambre au papier fleuri : les dalles de pierre sont sa géographie, les mouches et les fourmis, ses amies, les gravures au mur, ses livres d'histoire. Il est sage. On l'a puni. Pourquoi ? Il ne sait pas. Il attend...

Si l'«affaire Louis XVII» a fait couler des flots d'encre jusqu'à sa solution, en 2001, grâce à une analyse ADN, personne ne s'était jusqu'à présent penché sur la personne de «l' enfant du Temple», sur ce que fut concrètement la vie tragique et brève du malheureux Dauphin, incarcéré à l'âge de 7 ans, arraché à sa famille, confiné jusqu'à sa mort à dix ans dans un isolement dramatique qui l'avait rendu presque autiste. Françoise Chandernagor a choisi de faire ici le portrait d'un petit garçon qui est aussi un otage, victime d'une situation qui le dépasse totalement. Un portrait psychologique de l'intérieur, où l'on assiste la gorge serrée au cauchemar de sa lente dégradation physique et intellectuelle, à la perte progressive de la notion du temps, de la mémoire, à l'oubli même de son nom. Autour de lui gravite une foule de personnages qui peuplaient alors la prison du Temple, véritable petite ville dans la ville. Ainsi, au fil des pages, nous découvrons ce que fut la vie quotidienne, tantôt tragique et tantôt pittoresque, du peuple de Paris sous la Révolution. À travers les souffrances de cet enfant jamais jugé, jamais condamné, qui ne reste en prison que parce qu'« on » l'y a mis on ne sait plus très bien par qui et pourquoi, en un temps où les têtes tombent de plus en plus vite, Françoise Chandernagor s'attache aussi à démontrer comment l'absurde le plus monstrueux peut se produire sans que personne ne tente de s'y opposer, comment des gens ordinaires, sans véritable méchanceté, peuvent laisser se perpétrer un crime à petit feu. Dénonciation par l'exemple de tous les totalitarismes et de tous les arbitraires, le roman est enfin métaphore du monde, cette chambre close où nous vivons sans l'avoir demandé et d'où nous ne sortirons qu'avec la mort. Le drame de cet enfant devient ainsi le drame de chacun de nous et, loin de s'effacer dans la brume du passé, son sort cruel nous concerne tous directement aujourd'hui encore ou, peut-être, plus que jamais. (Ce texte se rapporte à l'édition Broché).

Pourquoi Baptiste V***, ancien peintre de Cour désormais oublié, tient-il à présenter à la plus grande exposition parisienne un Portrait de famille si étrangement démodé ? La touche, la composition, les vêtements même des personnages, tout y paraît d'une époque révolue ; rien, non plus, n'y semble accordé : dans cette famille figée par les années, la femme, en robe d'autrefois, a l'air encore d'une très jeune fille, les enfants sont des nourrissons, tous du même âge, tandis que l'artiste s'est représenté en grand vieillard... Que veut démontrer «Monsieur V***» ? Que cherche-t-il, en reparaissant ainsi brusquement sur le devant de la scène ?

Dans ce roman d'un portrait, Françoise Chandernagor raconte l'histoire d'une vie, et, à travers le destin d'un homme, la quête d'une couleur chère à tous les conteurs : la couleur du temps.

Ruiné par des affairistes sans scrupules, le comte de Breyves s'est donné la mort : au XVIIIe siècle, pire qu'un malheur, un scandale.

Veuve à trente ans, sans appuis, sans fortune, sa femme fuit Paris et la Cour pour se réfugier dans une campagne éloignée avec son fils Alexis, âgé de sept ans. Désormais, elle va consacrer sa vie à cet enfant. Avec une idée fixe : le rendre invulnérable. D'Alexis, si gai et charmeur, Madame de Breyves veut faire un homme apte à tous les combats, toutes les ruses.

Ce grand roman d'amour – celui d'une mère pour son fils – se situe à la fin du siècle des Lumières, à la veille de la Révolution. Mais les questions qu'il pose sont aussi celles d'aujourd'hui : pour affronter un monde de plus en plus dur, faut-il endurcir nos enfants ? Quelles valeurs transmettre encore, quand autour de nous la société se défait ?

'Divorce ou séparation ?' Lorsque son mari prononce ces mots, Catherine se demande si elle a bien entendu. En vingt-cinq ans de mariage, Francis ne s'est jamais refusé les aventures extraconjugales. Mais ils formaient un vrai couple et, avec leurs quatre enfants, une famille unie. Catherine ne doutait pas d'être la 'première épouse', la confidente, l'âme soeur élue pour la vie. Une vie qui s'effondre quand l'infidélité fait place à la trahison. Contrainte de céder la place à une jeune rivale, elle perd avec Francis les deux tiers de son passé. Du jour au lendemain la voici 'veuve', une veuve qui pleure un vivant tout au long d'un douloureux divorce.

" Deux mille ans de culpabilité chrétienne relayée par les droits de l'homme se sont réinvestis, au nom de la défense des individus, dans la mise en accusation et la disqualification radicale de la France. Et l'école publique s'est engouffrée dans la brèche avec d'autant plus d'ardeur qu'à la faveur du multiculturalisme elle a trouvé dans cette repentance et ce masochisme national une nouvelle mission. Après avoir été le vaisseau pilote de l'humanité, la France est devenue ainsi l'avant-garde de la mauvaise conscience universelle. Lourde rançon. Singulier privilège. "

Tout commence avec la découverte d'une Vie de Jude dans un tombeau d'Abydos en Egypte. Le manuscrit est une traduction en copte de la vie du plus jeune frère de Jésus. Jude y évoque son frère, sa famille et leurs proches dans leurs faits et gestes avérés mais aussi dans leur humanité, avec leurs doutes, leurs failles. C'est là toute l'originalité de ce roman qui nous donne à voir le Christ de l'intérieur.

Sous le regard de Jude, il est avant tout un homme, poussé presque malgré lui par des forces qui le dépassent. Et la magie opère : subtil alliage de véracité historique et d'intuition sensible, cet évangile apocryphe nous plonge au coeur d'une époustouflante reconstitution du monde antique. Comme Marguerite Yourcenar, Françoise Chandernagor maîtrise impeccablement ses sources, sans jamais en être prisonnière.

Dans une langue aux accents bibliques aussi directe qu'évocatrice, elle ouvre des portes à notre perception spirituelle. On est ému, fasciné, certain de tenir entre ses mains un authentique manuscrit !

" Je ne mets point de borne à mes désirs ", disait Mme de Maintenon. De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l'obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d'un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l'âge unir, quel roman que cette vie ! Dans le personnage et le destin de Françoise d'Aubigné, marquise de Maintenon, qu'on surnomma " la belle Indienne ", se reflètent les aspects contradictoires du " Grand Siècle ", dissimulés sous l'apparence immuable de la majesté royale. A partir d'une documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C'est à la découverte d'une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète avec, sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne L'allée du Roi.

Laissons-nous guider par les confidences de celle qui fut presque reine, tout au long de la fabuleuse ascension qui la mène de la Marie-Galante à Versailles et de Versailles jusqu'à Dieu.

Une anthologie de la poésie féminine.

L’amour au féminin à travers neuf siècles d’expression poétique.

Dans cette anthologie très personnelle, les textes émanant de femmes poètes francophones de tous horizons sont accompagnés de récits détaillés de leurs vies, souvent riches en péripéties. De ces regards de femmes sur l’amour émerge peu à peu, au sein d’un patrimoine poétique jusqu’ici essentiellement masculin, un chant singulier.

De la très sensuelle Béatriz de Die à la romantique Marceline Desbordes-Valmore, de la sulfureuse Renée Vivien à la pieuse Marie Noël, des « troubadouresses » aux « garçonnes » et des plumes québécoises aux plumes libanaises, ce choix offre au lecteur la chance de découvrir de grandes poétesses restées injustement ignorées. On constate en effet, une fois de plus, que dans ses jugements le « milieu littéraire » fut et demeure résolument misogyne…

Un panorama incomparable de l’amour vu par les femmes poètes de langue française.

Des rivières sauvages, des vallées sombres, des gorges, des torrents, des cascades, et, au creux des collines, un lac immense : dans un récit autobiographique, Françoise Chandernagor nous décrit la Creuse, pays des sources et des eaux qui inspira Claude Monet. Pauvre, secrète et longtemps inaccessible, cette région du Massif central - dont, pendant trois siècles, les fils devaient migrer chaque printemps vers des chantiers parisiens pour survivre -, cette terre granitique vouée au chêne et au genêt, fut le paradis de son enfance. Une enfance à demi paysanne, placée sous l'égide d'un grand-père lui-même "maçon migrant". Dans un hameau de dix-sept feux, une enfance libre et buissonnière qui est à l'origine de sa vocation d'écrivain. À travers le sort de ceux qu'elle a connus dans son village, et les changements économiques ou climatiques violents de ces dernières années, Françoise Chandernagor, avec son art de conteuse, montre la transformation de cette "île" hors du temps, son île battue des vents où, longtemps, on n'arrivait qu'à pied : "Eux savaient où était caché l'or vrai, et ils se promettaient qu'un jour ils reviendraient vers leurs landes familières, reviendraient dans leur village sans route, perdu entre Limoges et Clermont, pour y contempler chaque été, et jusqu'à en être aveuglés, les paillettes de soleil que nos vents fous arrachent aux rivières."

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