Commentaires sur ses livres

Un histoire vraie intéressante mais un peu longue à démarré. On a du mal à entrer dans le livre mais plus en progresse plus on a envie de savoir ce qui est arrivé au naufragé.

Un roman prenant et poignant, inspiré de faits réels et basé sur une documentation et des recherches poussées et sérieuses. Le décor est planté d'emblée et révèle toute la cruauté de l'Ile qui est le " personnage principal. La narration est extraordinaire et m'a fait chavirer avec l'équipage, lutter, résister, survivre, espérer, désespérer à nouveau, avoir honte de certains comportements dit " humains "... Un vibrant plaidoyer contre le racisme, une sacrée leçon de vie et de fraternité !

une leçon d'humanité où on se retrouve à la fin du livre comme un orphelin, on ne veut pas que cela cesse, cette façon dont l'auteur nous berce d'une philosophie de vie inimaginable à notre époque.......et pourtant on a envie d'y adhérer. Une vrai merveille ce livre

La première partie du roman est un conte des mille-et-une nuit, dépaysant, rafraîchissant. La seconde est d'une émotion intense, dramatique, bouleversante.
Les 29 ont tant à nous apprendre.
À lire, sans modération !

Irène Frain nous entraîne avec délices et frissons de l'autre côté de l'Atlantique pour nous parler d'amour. Celui que Simone de Beauvoir a passionnément éprouvé pour l'américain Nelson Algren. S'entremêlent l'ardeur et les tourments des sentiments, l'emprise de Sartre, la rançon du succès et de la gloire, mais aussi les fureurs et les émois enfantins. On est tout au long à la fois subjugué et agacé par les agissements de cette femme, une si grande figure du féminisme et de l'existentialisme prônant de telles idées tout en étant à ce point l'esclave d'un tel goujat pervers et égocentrique !!! au point d’y sacrifier sa passion pour un homme qui l’aimait vraiment et la respectait !!!!!

J’ai beau avoir le mal de mer, j’adore les histoires de marins, de navigateurs, de pirates et bien entendu il y a souvent des naufrages dans le lot.

Bien loin de l’île déserte paradisiaque, Irène Frain narre l’histoire vraie de ce coin du monde qui doit sa célébrité à un drame. Les deux premiers chapitres sont sur la formation de l’île Tromelin, les animaux qui la peuple et les premiers à l’avoir vu ou cherchée. Heureusement rien de trop scientifique mais ça pose le décor pour la suite. Le livre est romancé même s’il s’appuie sur divers documents, je préfère ce premier type de lecture.

Très rapidement le premier défaut apparaît, les rallonges d’évènements. Par exemple chapitre 3 il y a dix pages consacrées au choix de la carte d’expédition alors qu’en un seul paragraphe, l’auteure résume parfaitement ce choix et ses implications sur le bateau. Donc je me suis permis de lire en diagonal certains de ces passages.
L’histoire est bonne, un naufrage et la survie des occupants, la partie que j’ai le plus aimé est celle où les esclaves illégalement obtenus se retrouvent seuls sur l’île avec pour seul espoir la promesse d’une aide de ceux qui ont pu fuir, ces mêmes qui les traitent comme des bêtes. Psychologiquement c’est très fort, Irène Frain rend bien ces passages en me laissant quelques sueurs froides.

Malgré les longueurs, j’ai aimé cette histoire vraie romancée mais pas trop et au final, ces mêmes longueurs, je les aie appréciées quand elles tournaient autour des survivants.

Très belle surprise !!!! Je ne m'attendais pas à autant aimé !!! Mon premier GROS coup de cœur de cette année <3
Irène Frain a vraiment la plume d'une conteuse <3
J'avais peur de m'ennuyer, que ce soit trop long et surtout trop lourd mais bien au contraire ! Elle m'a fait voyager, ressentir pleins d'émotions et j'ai même eu la petite larme à la fin du livre !
Je le recommande chaudement c'est un livre à lire !!!! 100% plaisir <3

c 'est un magnifique livre basé sur des faits historiques et très bien écrit. Contrairement à ce que disent certains booknautes, les descriptions n'allourdissent pas l'écriture. Au contraire elles permettent vraiment de partager d'abord la promiscuité des marins sur le navire et ensuite la vie, les douleurs et l'espoir (pour ne pas dire le désepoir) et l'instinct de survie des naufragés. Seul reproche, certaines explications sur les recherches en cours de roman cassent le rythme de l'histoire. Elles auraient pu se trouver avec les autres à la fin du livre. Elles sont toutefois essentielles pour se rendre compte que l'histoire est fidèle à l 'Histoire.

J'ai bien aimé ce livre moi aussi.
Il commence par la vie de Djambo dans son village. l est rejeté par tout le monde, même sa famille, quitte le village avec un vieux monsieur qui vit en faisant des spectacles. Il découvre alors un autre monde. Puis il quitte le vieux pour rejoindre une autre troupe de danseurs.
Avec toutes les expériences qu'il a vécu, bonnes ou mauvaises, il se fait une idée de comment devrait fonctionner le monde et avec d'autres personnes ayant le même point de vue créé une communauté.
Là le roman prend un virage écolo, la communauté vit avec la nature, avec les animaux sauvages, les laissent se nourrir dans leurs propres cultures de légumes, ne mangent pas de viande, font attention à l'eau qu'ils utilisent, instaurent des règles d'hygiènes pour éviter les épidémies,...
Un livre qui nous fais réfléchir à la façon dont on devrait vivre en tenant compte des ressources de la planète, de l'eau et des arbres en particulier

Une histoire originale et incroyable. Découverte d'une époque et d'une région. L'écriture est toujours un régal au service de personnages profonds et singuliers. Un très bon moment de lecture.

Une enquête intime bouleversante. L'écriture est limpide. Le livre se lit d'une traite. Un très bon moment de lecture.

L'île de sable

En 1761, un navire français transportant une cargaison clandestine d'esclaves s'échoue sur une île perdue de l'océan Indien. Blancs et Noirs devront cohabiter pour survivre.

Un beau début avec le naufrage ; les descriptions sont sublimes et bien immersives.

Mais après l'écriture est plus aride et le texte aussi.

C'est le premier livre d'Irène Frain que je lis, mais je ne renouvèlerai pas l'expérience.

La survie sur cet îlot, cette poussière d'1 km2 située entre Madagascar et La Réunion qui s'appelait jadis "l'île de Sable" est bien décrite, mais lassant à force.

Le texte s'arrête au départ des Blancs sur un radeau de fortune et abandonnent les esclaves…
Un récit inspiré par les écrits de deux survivants...

Même si les propos à la fin du livre s'orientent sur l'esclavage et son inhumanité, j'aurais aimé que l'auteur décrive la survie de ces hommes et de ces femmes qui furent laissés là pendant plus de 15 ans !
L'auteur rappelle que c'est la Convention nationale en février 1794 qui a abolit l'esclavage.

Une post-face de Max Guérout est très intéressante ; il a dirigé les fouilles sur l'île.
"Après quatre campagnes de fouilles terrestres et sous-marines menées sur place en 2006, 2008, 2010 et 2013, ils ont mis au jour des centaines d'objets du quotidien, ainsi que de nombreuses constructions en dur. Ils ont établi que les naufragés se nourrissaient entre autres de tortues et de sternes, dont ils utilisaient probablement les plumes pour tisser des pagnes. En guise d'ustensiles de cuisine : des coquillages transformés en louches, des objets récupérés à bord de l'épave de l'Utile, ou des récipients fabriqués à partir de matériaux recyclés. Des cuillères en métal, notamment."

Une histoire à connaître :
Avec la passionnante exposition "Tromelin, l'île des esclaves oubliés". A découvrir au musée de l'Homme du 13 février au 3 juin 2019.

Pour aller plus loin : la formidable bande-dessinée Les esclaves oubliés de Tromelin

j'ai décidé que je ne lirais que les lettres dont l'auteur m'intéressait. D'où une première fournée.
Albert Algoud, ancien prof, pour évoquer une coïncidence inattendue.
Jul (je ne sais pas qui c'est précisément), pour la meilleure des lettres que j'aurais lues dans cet ouvrage. Elle n'est pas construite puisque c'est une énumération, mais elle est tellement attachante et nous montre quelqu'un qui s'attache.
Plantu, pour ses planches vivifiantes.
Sylvie Testud : l'exposé sur le chewing-gum et ce prof inventif qui distribue, comme d'autres les remarques, des exposés à faire en 48 heures (c'était signifiant avant Internet).
Bernard Werber : lettre trop courte et trop auto-centrée.
J'en avais fini de mes choix, et me suis dit qu'il fallait faire un second round. D'où :
Charles Berling : gros bof.
Nicolas Beuglet : enfant, il lisait des livres dont vous êtes le héros !
Nicolas Mathieu : lettre pas vraiment passionnante.
Peut-être ferai-je bientôt un 3ème round, pour les auteurs qui suscitent le moins ma curiosité...

Jamais déçue avec les enquêtes de Irène Frain …!

L'histoire des naufragés de l'île Tromelin est un roman historique, un texte sans vie, qui ne permet pas de voir et de comprendre la situation. Je n'ai pas du tout adhérer au livre. Il est plat du début à la fin. Je pensais aimer, mais je ne suis pas bon public pour les romans historiques.