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Livres - Bibliographie

John Fante


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Toutes les séries de John Fante

4 livres
210 lecteurs

Bon et méchant, généreux et voleur, Arturo Bandini détruit d'une main ce qu'il construit de l'autre. Dans son roman de jeunesse devenu culte, Fante a versé toutes les frustrations de l'enfance. Et à l'instar de son père maçon, impuissant devant la rudesse de l'hiver qui l'empêche de travailler, le jeune Bandini assiste résigné à l'implosion du couple parental.

3 livres
4 lecteurs

Des romans, des nouvelles, toujours intensément nourris d'autobiographie, parmi lesquels se détache la présente trilogie, aujourd'hui rassemblée en un seul copieux volume : La Route de Los Angeles, Bandini, Demande à la poussière, une immersion en apnée dans la bruyante et brouillonne épopée familiale des Bandini, un clan récemment déraciné d'Italie, cherchant tant bien que mal à prendre part au fameux rêve américain...

Tous les livres de John Fante

Un énorme chien à tête d’ours, obsédé et très mal élevé, débarque un soir dans la famille en crise d’Henry J. Molise, auteur quinquagénaire raté et désabusé. Dans leur coquette banlieue californienne de Point Dume, ce monstre attachant s’apprête à semer un innommable chaos.

Quatrième de couverture

« Personne ne sait mieux que Fante dire les humiliations de l'enfance, les espoirs insensés et déçus, les rages au cœur et au ventre, les tendresses frustrées, les désirs impétueux. Personne ne sait dire aussi bien cette enfance-là, avec ses drames et ses rêves. Sans eau de rose, sans trémolos, avec une émotion vibrante et sèche, Le Vin de la jeunesse est à coup sûr un grand classique de la littérature sur l'enfance. »

« Pour écrire l'Orgie, comme pour son Vin de la jeunesse, Fante a pressé, furiosissimo, les Raisins de la colère. De la vendange, le père Steinbeck tirait une morale ; malgré l'adversité, Fante en rapporte d'abord une extraordinaire énergie. Du désespoir ? »

Présentation de l'éditeur

Né en 1909 dans le Colorado et mort en 1983, John Fante est le fils d'immigrants italiens. Après des études dans une école de Jésuites, Fante place très vite quelques nouvelles. En 1938, il publie son premier roman Wait until Spring Bandini (Bandini dans la traduction française). Inlassablement, à travers tous les livres qui suivront et qui constitueront une oeuvre attachante et forte, Fante racontera la même histoire : la sienne où il mêlera vérité et mensonges.

Dix-sept nouvelles inédites et excellentes de John Fante, plus l’intégralité du prologue à Demande à la poussière, voilà une découverte inespérée que l’on doit à Stephen Cooper, le biographe de Fante et l’éditeur du présent recueil.

Ces nouvelles, écrites entre 1932 et 1959, ont parfois été publiées dans des revues ou des magazines américains, mais jamais réunies sous forme de livre. Grosse Faim est donc un vrai recueil d’inédits, et certes pas un amalgame de divers fonds de tiroir que l’on découvrirait sur le tard. Toutes les nouvelles du livre sont dignes de celles du Vin de la jeunesse, ou de textes courts de Fante tels que L’Orgie ou encore Mon chien Stupide. Ecrites sur plus d’un quart de siècle, elles abordent tous les thèmes chers à Fante : l’enfance et les extraordinaires dons d’imagination d’un écrivain en herbe (Grosse Faim) ; les conflits tragi-comiques entre le plaisir et le péché, les vertus de la confession catholique, les affres et les impostures de la religion ; le mensonge et la fiction comme antidotes indispensables à une existence minée par la misère, la mésentente des parents, l’indécrottable italianité, la haine et l’amour des poivrons, de l’ail, du vin rouge et de toutes choses originaires des Abruzzes ; la toute-puissance des femmes et les anathèmes qu’elles jettent non seulement sur les hommes, mais aussi et surtout sur les femmes étrangères au clan des « Ritals » ; la violence destructrice à l’oeuvre dans un couple ; le pathétique de la pauvreté et le désir de s’en sortir pour devenir « un vrai Américain » conforme aux modèles de la réussite, grâce à l’écriture, à cette volonté forcenée qu’est celle de John Fante et de son double, Arturo Bandini, d’écrire et d’être publié pour survivre et écrire encore.

Les amateurs du grand John Fante retrouveront ici cette écriture sèche, à l’os, lyrique mais jamais grandiloquente, sûre de ses effets mais jamais prétentieuse, « cocasse et pathétique » comme disait Louis Jouvet à propos de la vie, pour évoquer tribulations de l’existence et écarts de conduite, grandes espérances et désillusions amères, tout ce théâtre de l’émotion hypertrophiée, cet opéra du moi qui caractérise l’auteur de Bandini et de Demande à la poussière. La préface enfiévrée, délirante, à ce dernier roman est ici publiée pour la première fois dans son intégralité.

Grosse Faim est un grand Fante !

Quatrième de couverture

« Ouvrir ce recueil de dix-sept nouvelles, c'est écouter la voix d'un des plus humains et touchants écrivains que l'Amérique ait comptés : celle de John Fante. Grosse Faim, composé de textes retrouvés bien après sa mort en 1983, aurait pu n'être qu'une compilation de feuillets surestimés à l'attention des seuls nostalgiques. Ce n'est pas le cas. Tout ce qui rend l'auteur si unique tient dans ces pages écrites entre 1932 et 1959. Les souvenirs d'enfance doux amers du fils d'immigrés italiens issu d'un foyer modeste, la tradition religieuse, l'adultère des plus grands... et les premiers élans amoureux, forcément maladroits. Si Arturo Bandini, le jeune héros, est si franc et spontané, émouvant et horripilant, c'est parce que Fante n'a pas trouvé mieux que de se raconter lui-même à travers lui. D'où un style brut, tout simplement sincère. [...] La préface intégrale de Demande à la poussière, ce bijou de bouquin, est l'un des meilleurs moments de cette Grosse Faim sensible et passionnée, qui donne envie de dévorer tout entière l'oeuvre de Fante. » Max Edison, Newlook 0 --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Pleins de vie ne manie ni l'humour ni l'émotion au niveau du cortex cérébral. Fante frappe au coeur, aux tripes et au plexus solaire, jamais à la tête. Il n'écrit pas comme un ingénieur mais comme un paysan, sensible à la densité des choses et au lent travail du temps. Il n'argumente ni ne démontre mais cherche les moyens de rendre au plus près, au plus juste, au plus vibrant, le plein de vie avec sa charge de pulsions contradictoires, de dérapages contrôlés, de dérives triomphales et de victoires dérisoires. Et si le lecteur est ému, c'est simplement parce que John Fante a atteint le but que se fixent les artistes les plus ambitieux: imiter la vie.

«À l'image de Fante, Bandini et Molise, ses héros de papier, débordent de rancoeur, de tendresse, de générosité ou d'une méchanceté noire inouïe. Ils sont infects, drôles, adorables, émouvants. Des passionnés et des exaltés, obsédés par leurs désirs féroces de ne plus être, dans l'Amérique fière et conquérante, le sale petit Rital catholique immigré, mais un Amerloque, admis et enfin respecté par ces sang-bleu protestants et anglosaxons.» - La Vie

Amazon

"En 1930, un jeune écrivain en herbe, originaire du Colorado, écrivit à H.-L. Mencken à l'American Mercury de New-York pour lui exprimer son désir de collaborer à sa revue. Ce fut peut-être l'audace de la jeunesse qui poussa John Fante, âgé de vingt et un ans et encore non publié, à s'adresser d'emblée au sommet de la hiérarchie littéraire. Car le Mercury était alors la revue culturelle et littéraire la plus respectée des Etats-Unis. Il s'ensuivit une correspondance qui dura plus de vingt ans."

Michael Moreau

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