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Massimo Gramellini

Auteur

13 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par anonyme 2013-04-24T18:51:14+02:00

Biographie

Massimo Gramellini a commencé par écrire des chroniques sportives dans divers journaux, notamment Il Giorno et La Stampa. En 1991 il devient journaliste politique et couvre en tant qu'envoyé spécial le siège de Sarajevo. En 1995 il est nommé vice-président de La Stampaà Turin. Parallèlement il collabore à des émissions de télévision sur Rai Tre. Fais de beaux rêves, mon enfant s'est déjà vendu à un million d'exemplaires en Italie. Outre ses articles, il a déjà publié un recueil de nouvelles et un roman.

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Note moyenne : 6.67/10
Nombre d'évaluations : 3

0 Citations 5 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Massimo Gramellini

Sortie Poche France/Français : 2014-04-24

Les derniers commentaires sur ses livres

Fais de beaux rêves, mon enfant

Je dois avouer que j'avais mal lu le résumé ou alors j'étais trop fatiguée pour le comprendre mais j'étais loin de m'imaginer qu'il s'agissait d'une autobiographie. C'est l'un des genres littéraires que je lis le moins car l'évasion que je recherche dans les bouquins est moins présent, du fait de la réalité vécue. Ce bouquin ne m'a malheureusement pas fait changer d'avis sur les autobiographies ...

Nous commençons l'histoire à la période actuelle, où Massimo est adulte mais nous sommes très très vite plongé dans son passé, il faut juste attendre le second chapitre.

On y découvre un petit homme d'à peine dix ans, très attaché à sa famille et notamment à sa maman, seule femme de sa vie, guide de tous les jours. Malheureusement, la maladie sera plus forte que cette femme et cette mère aimante ... De là, sa vie part en cacahuète. Perte totale de confiance en lui, en les femmes car il prend le décès de sa mère pour un abandon et donc si elle a pu le laisser, pourquoi pas les autres ? Sans parler de son père, lui aussi dévaster, n'assumant plus son rôle et confiant son propre enfant à une femme, gouvernante certes mais sans aucune attaches à ce petit bout. Au fil des pages, nous le voyons grandir mais toujours avec ce poids qui ne le lâche pas, qui va diriger sa vie sociale et même sentimentale.

Ce qui m'a la plus déranger dans le roman, sans parler du fait que ce soit de l'autobiographie, est la façon dont sont formulées les phrases. Forcément, tout le roman est à la première personne du singulier mais écrit comme si un enfant nous parlait. Effet voulu, je pense mais assez dérangeant pour moi.

Malgré tout, les émotions sont assez forte une fois l'attachement au petit Massimo faite. On se lie rapidement à ce petit bout qui en bave et qui, à cause d'une saloperie, voit les femmes différemment.

Sincèrement, je ne sais pas si c'est le bouquin que je conseillerais à quelqu'un n'ayant plus du tout d'idées. Je laisserais plutôt chaque personne se lancer dans la lecture et s'en faire son propre opinion.

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Fais de beaux rêves, mon enfant

http://plume-ivoire.overblog.com/fais-de-beaux-reves-mon-enfant-massimo-gramellini

Le livre s’ouvre sur un homme rendant visite à sa marraine. Lui ayant offert le roman qu’il a lui-même écrit, il l’interroge, il souhaite savoir ce qu’elle a pensé des seules parties autobiographiques du livre : celles qui parlent de feu sa mère, une femme qu’elle connaissait très bien avant son décès. En lisant son livre, sa marraine s’est rendu compte que personne ne lui avait dit ce qui s’était passé le soir de sa mort, qu’il n’était pas au courant, elle décide alors de lui révéler les véritables circonstances de ce décès prématuré.

Voilà l’essence de ce court prologue. Coupé juste là où il faut pour attiser la curiosité du lecteur. Même sans connaître encore les personnages, on a envie de découvrir quel est ce secret si bien gardé.

Le prologue donne le ton dès le départ et intrigue aussitôt le lecteur. Les phrases écrites à l’âge adulte sont empreintes d’une touche enfantine qui s’accorde parfaitement avec le narrateur de neuf ans, un peu moins avec celui de quarante mais, une fois dans l’histoire le style se dévore sans discontinuité.

Le premier chapitre est une plongée instantanée dans un récit autobiographique cruel dans sa sincérité, qui se poursuit jusqu’à la dernière page sur une note plus psychologique.

On découvre un jeune garçon de neuf ans, très attaché à sa mère qui est très malade. Mais un matin, à son réveil, elle n’est plus là. Il apprendra plus tard qu’elle a succombé à un infarctus dans la nuit.

Le petit Massimo nous apparaît quelque peu égocentrique. Pour lui, sa mère est partie parce qu’elle ne l’aimait plus. Mais, même malgré cette facette un peu égoïste, il parvient à nous toucher par sa colère et le fait qu’il soit totalement démuni face à la mort de sa mère.

C’est là que le puissant traumatisme qui le poursuivra toute sa vie prend forme. Il restera persuadé pendant très longtemps que si sa mère a pu cesser de l’aimer, personne ne réussira jamais à l’aimer. Il nie l’évident décès de sa mère en étant persuadé qu’elle va revenir mais, il lui en veut énormément de l’avoir abandonné.

On le suivra toute sa vie, le voir grandir, atteindre la quarantaine et surtout, constater les ravages qu’a créé ce douloureux épisode dans sa vie.

L’auteur nous épargne gracieusement les scènes de pathos larmoyants mais, c’est à travers le comportement de l’enfant que l’on perçoit son manque et sa détresse. C’est par ses questionnements qu’on a le cœur qui se serre, quand il voit les autres enfants avec leurs mères ou quand il tente de trouver de l’affection maternelle partout où il peut. Le récit ne contient pas de longueurs inutiles, les épisodes de la vie de Massimo sont concis et il est aisé de comprendre ce qui se trame en lui, qu’il l’explicite clairement ou que l’on doive le comprendre à demi-mots.

L’intriguant prologue qui nous promet son lot de révélations, de secrets de famille enfouis, laisse rapidement la place à un récit posé, sincère et touchant qui nous brosse le portrait d’un homme quelque peu handicapé par un lourd traumatisme.

La question de savoir ce qui s’est réellement passé reste à l’esprit en filigrane, tandis qu’on se prend d’affection pour ce narrateur démuni face à la vie qui ne lui fait pas de cadeaux sentimentalement parlant et s’exprime avec une plume délicate et délicieuse à laquelle on prend rapidement goût. Même dans les pires situations, l’auteur parvient à nous faire sourire par des anecdotes ou des réflexions de son enfance.

Massimo Gramellini nous présente vraiment ici l’histoire d’un homme qui peine à se reconstruire après la mort de sa mère qu’il n’a jamais accepté. Cette perte insurmontable a déclenché la perte d’une partie de lui-même. Même après une vingtaine d’années il se cherche encore, ne sait pas vraiment qui il est, ni ce qu’il veut réellement et cela se traduit beaucoup à travers ses choix d’avenir, qu’il prend à peine le temps de considérer et qu’il laisse couler sur lui en se laissant porter un peu au hasard de la vie.

Il a également développé une peur panique de l’abandon qui le contraint à se cloisonner plusieurs mois dans une sorte de dépression après chaque échec amoureux. Dès qu’une femme qu’il aime le quitte cela le ramène irrémédiablement au douloureux souvenir de sa mère.

Le prologue prend vraiment tout son sens dans les dernières pages et nous touche véritablement par des révélations bien trop cruelles, qui seraient à même d’ébranler totalement le narrateur et risquer de le ramener à son point de départ après tant d’efforts. On s’était attaché à cet homme malmené par la vie et on tremble de voir son univers manquer de s’écrouler tout en donnant sens à certaines de ses certitudes.

Ce sont également ces quelques dernières pages qui nous font comprendre le comportement de Massimo enfant et nous montre clairement qu’il avait assimilé plus de choses qu’on ne le pensait.

En somme, voici un roman aboutit, bouleversant et sincère porté par une plume délicate, poétique et un humour qui fait sourire volontiers. Un roman sur la reconstruction difficile d’un homme, engendré par la perte trop tôt de la figure maternelle. Un roman fondé également sur le refoulement d’évènements trop durs à supporter.

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Fais de beaux rêves, mon enfant

Je voulais me lancer dans ce genre qui est la biographie et c'est chose faite. Une chose est sûre, ce n'est pas un coup de cœur mais pas une déception même s'il n'en reste pas loin. Disons plutôt que je suis un peu mitigée.

Tout commence par une visite chez la marraine de Massimo, à laquelle il a donné son roman. Malheureusement, celle-ci n'aura pas la réaction espérée et lui donnera une enveloppe contenant la vérité sur son enfance. C'est alors, que l'on est amené 40 ans auparavant, le jour de la mort de sa mère. Une mort qui au début peut être prise pour une agression car le petit Massimo âgé de 9 ans ne comprend pas ce qui se passe. On le verra par la suite grandir est essayer de comprendre "l'abandon" de sa mère et surtout apprendre à se découvrir...

Massimo Gramellini a une écriture assez particulière voire même originale. Elle est par moments assez floue. J'ai trouvé que l'auteur s'égarait, se perdait dans ses pensées sautant d'un sujet à un autre. Cependant, le positif c'est qu'il y a de l'intrigue car l'on veut savoir ce qui s'est déroulé.

La suite sur mon blog : www.s0kellys.com

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Comme à la fin des contes de fées

Vraiment inspirant ! Je l'ai lu en deux jours, et je n'ai pas regretté. Une belle leçon de vie, à travers plusieurs passages où l'on peut se laisser porter et découvrir plusieurs vérités.

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Dédicaces de Massimo Gramellini
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Editeurs

Robert Laffont : 3 livres

Longanesi : 1 livre

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