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Tous les livres de Pascal Garnier

De Gabriel, on ne sait tien, ou presque. Un jour, il débarque dans un village breton, non pas sur le littoral mais dans l’arrière-pays, moins riche, sans chichis. A l’hôtel, il sympathise avec la réceptionniste. Puis avec José, le taulier portugais du Faro, un bar-restaurant où personne ne manque jamais à l’appel, sinon la femme de José, dans le coma à l’hôpital.

Acceptera-t-on un étranger dans cette bourgade où les jours s’écoulent avec monotonie ? Un type comme l’ange Gabriel, oui. Pour ses talents de cuisinier. Pour sa capacité d’écoute et de rencontres des clients ordinaires et des marginaux. Pour sa profonde tendresse…

C’est dans ce monde constitué de gens simples et chaleureux que nous plonge Pascal Garnier : ici, des choses minuscules s’échangent et se partagent ; ici, une belle toile d’humanité se tisse à même le comptoir, le temps de petits dialogues drôles et subtils. Un très joli livre

Au cours d'une opération acrobatique, le petit Robert (sic) fait tomber le dictionnaire. Les mots échappés du livre jonchent le sol dans un joli désordre : il les ramasse à la hâte et les fourre, en vrac, entre les pages. Mais des invités arrivent et son père leur propose de "l'alpaga avec des ampoules farcies et des tranches de Mobylette"... Une histoire parfaitement loufoque qui séduira tous ceux qui aiment jouer avec la langue et "virguler de la girouette".

Edouard Lavenant est un vieux monsieur. Il est veuf et fortuné de surcroît.

Il vit dans un petit village reculé de la Drôme où les jours s’écoulent paisiblement, au milieu d’une nature gorgée de soleil et rythmée au chant des oiseaux.

Dans ce cadre idyllique, il vie avec Thérèse, sa dame de compagnie qu’il a recrutée depuis qu’un AVC a considérablement réduit sa motricité, et qu’Alzheimer s’est invité pour l’accompagner dans ses dernières années.

Bien que délicieusement détestable avec elle, Edouard ne peut plus s’en passer. Elle remplit et distrait la vie de cet acariâtre qui ne manque jamais une occasion de la railler ou de la contredire.

Au fil du temps pourtant, leur relation ressemble de plus en plus à celle d’un vieux couple emmitouflé dans la routine du quotidien.

Quelques ballades et pique-niques, quelques sorties au village où Edouard en profite pour fausser compagnie à Thérèse occupée à faire les courses, histoire vcfdd’aller au bistro de la place pour s’humecter le gosier d’un ou deux pastis.

Un jour Edouard reçoit la visite d’un homme. Il apprend que c’est son fils. A peine surpris, il le découvre sans vouloir s’y attacher. Ils se parlent, un peu, partage quelques moments. Edouard lui apprend à siffler, l’emmène à la pêche.

L’histoire aurait pu être celle de retrouvailles entre un père et son fils, et ouvrir des perspectives joyeuses.

Mais vous avez oublié une chose. Vous lisez un roman noir. Et celui qui tient la plume de cette histoire est un des maître français en la matière !

Alors de retrouvailles il n’en sera pas question. Car son fils, en voulant rattraper le chapeau de son père qui s’envole, va se précipiter accidentellement dans un ravin. Mort. Plus de fils. Point final.

C’est bête, mais après tout Edouard a toujours vécu sans, alors…

Alors la vie continue. Jusqu’au prochain drame.

pique-niquePascal Garnier fait indéniablement partie de mes auteurs préférés. J’ai eu l’occasion déjà de chroniquer certains de ses romans comme « La place du mort », « la théorie du panda » ou « lune captive dans un œil mort », et c’est toujours avec la même gourmandise que j’ouvre un de ses livres.

Se plonger dans l’une de ses œuvres c’est assurément la garantie de lire quelque chose de jubilatoire, délicieusement méchant, tout autant qu’attendrissant.

Car cet écrivain n’a pas son pareil pour croquer avec férocité les travers de notre société, tout en ayant pour ses personnages, dont on le sent très proche, la plus grande des tendresses.

Les protagonistes de ses romans, c’est vous, c’est moi, des gens ordinaires, qui se retrouvent durement confronté à la vie, cabossés par ses difficultés et ses coup durs, qui réagissent comme ils peuvent quand celle-ci les fait basculer brutalement dans le drame ou l’horreur, sans finalement jamais maîtriser grand-chose de leur destin.

L’horreur dans l’ordinaire, voilà la patte de Pascal Garnier. Et « Les hauts d’en bas » s’inscrit dans cette architecture propre à l’auteur. Vous lisez quelques chapitres qui décrivent une vie tout ce image_4qu’il y a de plus ordinaire, de plus banale, et survient le drame, presque par inadvertance, et le plus naturellement du monde. C’est posé là dans le texte, froidement, sans préavis.

Dans « Les hauts d’en bas », ce qui est encore plus délicieusement incorrect, c’est le détachement avec lequel Edouard Lavenant regarde la catastrophe s’abattre autour de lui, sans jamais ressentir la moindre empathie pour ceux sur lesquels le drame survient.

Il avance dans sa propre existence sans se soucier du reste, comme un spectateur du monde qui l’entoure. Et le pire, c’est que l’on parvient à s’attacher à ce genre de bonhomme qui malgré tout porte en lui une faiblesse toute attendrissante.

Les protagonistes de Pascal Garnier sont bien loin d’être superficiels comme ils semblent l’être de prime abord. Avec beaucoup d’ironie mais sans le moindre soupçon de cynisme, l’auteur nous offre des œuvres savoureuses et truculentes d’humour noir, parfois caustique et grinçantes.

Et c’’est sans doute parce que Pascal Garnier aimait à regarder les hommes pris dans la toile de l’existence, se débattre désespérément contre la fatalité, qu’il les trouvait attachant dans leur faiblesse et leur vulnérabilité. Sans doute aussi, parce que fasciné par leur propension à provoquer toujours pire encore, il avait pour eux cette infinie tendresse qui transpire de ses textes.

Pascal Garnier est un auteur qu’il faut absolument lire si vous aimez le roman noir. Malheureusement parti trop tôt en 2010, emporté par la maladie, je n’aurai pas eu l’occasion de le rencontrer. Ce sera là, un de mes plus grands regrets de lecteur.

source : passion polar

Le père de Daniel vient de mourir. Il est temps de prévenir Solange, sa fille, Jacques, son gendre. Daniel n’a rien à leur dire. Toilette du mort. Inventaire. Il repart seul. Dans l’ascenseur en panne de son immeuble, il rencontre Corinne. Elle a un petit garçon. Elle travaille pour une entreprise qui lutte contre « les nuisibles », blattes, puces, mouches, etc. On les libère. Daniel retrouve Titus, le chat de Gina, son ancienne compagne. Il bricole un scénario. Un soir, Daniel dîne chez Corinne. Il ne se passe rien. Ils se revoient régulièrement. Daniel apprend la mort de Gina, à la suite d’un crash d’avion. Corinne est nommée à la mairie de Valence. Daniel la rejoint. Ils vivent ensemble. Le père de Corinne est leur voisin. Il cultive un potager. Paul, le fils de Corinne, a trois ans. Il ne dit pas un mot, ne marche pas. Daniel, qui a pris Titus avec lui, s’habitue à ne rien faire. Lui et Corinne n’ont pas de rapports sexuels. L’apparition d’Angela, une Anglaise rousse, écrivain, va briser cette tranquillité. Elle a acheté une bergerie en ruine. Daniel ne cesse de penser à elle. Elle revient souvent, toujours bronzée, énergique. Un étrange trio se forme. Une nuit, ils se couchent dans le même lit, avec l’impression d’être épiés. Au matin, Paul a disparu. Une tragédie se prépare. Et quelque chose qui ressemble à une rédemption inachevée. Daniel, resté seul, adopte un petit chat pour remplacer Titus.

Charles est veilleur de nuit dans un modeste hôtel du treizième arrondissement. Une vie minuscule, que rythment les " bonjour-bonsoir " - ceux des clients, représentants ou étudiants fauchés, ceux de Malika la caissière, ceux de ses copains du Balto. Une vie entre parenthèses, une vie à l'abri de la vie. Puis un soir " elle " arrive, improbable dans son grand manteau blanc, anonyme derrière les verres fumés de ses lunettes, protégée par le casque de ses cheveux métal, la locataire de la chambre 12. Sans savoir qui elle est, chacun croit la connaître, car elle est celle que nous attendons tous... Charles va lui prendre la main pour ne plus la lâcher. Pascal Garnier est né en 1949 et vit à Lyon. Après deux recueils de nouvelles parus chez POL, il construit une œuvre originale, aux marges du roman noir (" La Solution esquimau " ; " Trop près du bord, Fleuve noir " ; " L'A 26 ", Zulma, 1999) et saluée par la critique pour " sa poésie noire ", " cet art déchirant de dire en quelques traits aussi aigus que tendres les petites gens. " (Michel Abescat, Le Monde des Livres).

On ne saurait dire pourquoi l'univers de Pascal Garnier nous est si proche.

Pourquoi il nous envoûte avec des histoires plutôt simples, des personnages a priori ordinaires et malmenés par la vie, des mots familiers et des silences qui le sont encore plus. Ainsi Bernard, crétin solaire qui pose sur le monde un doux regard écarquillé. C'est ce qui séduit Simon, le cynique et élégant Simon, " éradicateur de nuisibles " en préretraite, autant dire tueur à gages au bout du rouleau.

La rencontre a lieu à Vals-les-Bains. Et le hasard fait bien les choses : Simon a de l'argent, et Bernard, tout son temps. Il sera son chauffeur pour sa dernière mission. Avec affection, on range les romans de Pascal Garnier au panthéon de nos auteurs d'atmosphère. Entre Simenon et Hardellet. Entre tendresse et cynisme, réalisme et humour désenchanté. Dans Comment va la douleur ? on retrouve cette façon si singulière et si attachante qui comme un miracle réjouit le c?ur et fait du bien à l'âme.

Jimmy et son père sillonnent les routes, des images plein la tête : ils ont fait de leur camionnette un cinéma itinérant. A eux les grands espaces, l'air pur, la liberté et les échanges avec le public ! Mais un soir, la camionnette tombe en panne sur une route isolée. Jimmy, parti chercher de l'aide, s'enfonce dans la forêt et se perd. Au milieu de la nuit, il découvre enfin un château, habité par une jeune fille énigmatique. De cette rencontre inattendue naît une histoire d'amour où la vie, le merveilleux et la mort vont étroitement se mêler.

Martial et Odette viennent d'emménager dans une résidence paradisiaque du sud de la France, loin de leur grise vie de banlieue. Les Conviviales offrent un atout majeur : protection absolue et sécurité garantie - pour seniors uniquement. Assez vite, les défaillances du gardiennage s'ajoutent à l'ennui de l'isolement. Les premiers voisins s'installent enfin. Le huis clos devient alors un shaker explosif : troubles obsessionnels, blessures secrètes, menaces fantasmées du monde extérieur. Jusqu'à ce que la lune, une nuit plus terrible que les autres, se reflète dans l'œil du gardien... Avec beaucoup d'humour et de finesse, malgré la noirceur du sujet, Pascal Garnier brosse le portrait d'une génération à qui l'on vend le bonheur comme une marchandise supplémentaire. Une fin de vie à l'épreuve d'un redoutable piège à rêves.

Présentation de l'éditeur (Zulma) :

D’abord il y a Yolande, tondue à la Libération. Qui depuis ne sort plus. Regarde juste à travers le trou de la serrure. Et puis il y a Bernard, le frère, ancien de la SNCF. Qui a sacrifié sa vie pour Yolande. Qui se débat entre sa sœur et les pinces du cancer.

C’est dans le Nord, au milieu de sombres champs de boue, non loin de l’A 26 encore en construction, prête à servir, en coulées de béton, de cimetière discret pour jeunes filles égarées…

Après Comment va la douleur ? ou La Théorie du panda (Prix du polar 2008 de Montigny-lès-Cormeilles), Pascal Garnier confirme son art du suspense et du scénario, comme sa virtuosité diabolique dans le flegme qu’il tient du roman noir. On ne s’étonnera pas qu’il ait reçu le Grand Prix de l’Humour noir pour Flux en 2006.

12,5 x 19 cm

128 pages

ISBN 9-782-84304-475-5

Paru le 12/03/09

Un chien qui pue monté sur des roulettes, un type apparemment simplet qui va au Lavomatic pour voir ses chemises propres tourner dans le hublot, un asile d'aliénés où les pensionnaires sont plus fréquentables que bien des gens dits normaux, un flux de faits et gestes aussi désopilants que vraisemblables font du roman de Pascal Garnier un festival de scènes drôles et subtiles, entre passé et présent, réalité et fiction, violence et tendresse. Après l'A 26 et les Hauts du Bas, deux romans très remarqués, après le Prix " Polar dans la Ville " de Saint-Quentin-en-Yvelines, Pascal Garnier, dont on a rapproché l'univers de ceux de Simenon, Calet ou Hardellet, fait preuve une fois de plus dans Flux de cet humour désespéré et cette tendre émotion qui sont sa marque de fabrique.

Père placide et d'humeur conciliante, voilà Marc parti vers le sud avec sa fille Anne qu'il vient d'enlever à son hôpital psychiatrique pour le week-end. Mais la petite escapade tourne bientôt à la cavale. Anne ne veut plus rentrer, surtout pas à l'asile. Elle veut aller loin, très loin, le plus loin possible. Constellée d'incendies bizarres et semée de cadavres, la drôle d'équipée se transforme vite en un hallucinant road-movie. Avec férocité, avec fragilité aussi, les personnages de Pascal Garnier s'accrochent à leurs rêves naïfs ou dérisoires, en éclopés de la solitude fuyant le réel pour davantage s'y perdre. Ange du mal déguisé en cordon bleu ou en tueur à gages flapi, ce sont décidément des gens comme vous et moi, des monstres candides en proie à leur plus chère folie.

" C'est l'histoire d'un type, Louis, la quarantaine, gentil mais fauché, qui tue sa mère afin de toucher l'héritage. " Tel est le sujet un peu loufoque qui naît dans la tête d'un écrivain réfugié sur la côte normande pour écrire son prochain roman. Avec une générosité et une discrétion exemplaires, Louis se met bientôt à tuer aussi les parents de ses amis ; à eux désormais la belle vie ! Mais notre écrivain taciturne et solitaire se retrouve envahi par la famille, les amis, et une troublante présence féminine. Une étrange confusion s'installe alors entre son quotidien et celui de ses personnages... Attention ! humour noir sur blanche banquise. Ou comment redonner à l'immoralisme un petit goût de fraîcheur.

Voici trois romans, chefs-d’œuvre d’humour noir aux rebondissements rocambolesques. On y retrouve tout l’univers de Pascal Garnier, à la fois tendre et cruel, habité de personnages dont le quotidien dérape pour des aventures qu’on trouve, d’ordinaire, à la page des faits divers. Dans la Place du mort, un homme tranquille se découvre veuf… et trompé. Les Insulaires conte les retrouvailles hasardeuses de deux amants, coupables d’une folie homicide. Et dans Trop près du bord, on s’attache à Éliette, veuve sexagénaire isolée dans sa villa ardéchoise, qui s’acoquine bien malgré elle avec un petit truand frais sorti de prison. Mais on n’a rien dit de l’art de Pascal Garnier si on oublie l’écriture, étonnamment visuelle, cousue de mots d’esprit et de croquis à main levée : le monde qui nous entoure est le plus mal connu, Garnier nous en restitue le fond humain d’une plume admirable.

Ca avait l'air d'une bonne idée de grimper sur le toit de l'immeuble: rêver tranquille, au soleil, les yeux rivés sur l'horizon. Tranquille? Aie! Pas tant que ça!

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Stan s'est enfermé sur le toit sans le vouloir, et personne ne peut venir à son secours...

Sauf quelqu'un de l'immeuble d'en face, peut-être... Justement, une fenêtre vient de s'ouvrir, et Stan reconnaît sa voisine. Mais... Qu'est-ce qu'elle fait ? On dirait qu'elle veut sauter ! Elle est folle ou quoi ?

antoine est un petit garcon qui ne supporte pas le déménagement de ses parent.il perd tout ses amis, ses habitude,son école,il se réfugie donc dans un mutisme complet.na parle plus a personnes,ne communique plus en rien ,ses parent affolé pense le mettre dans un lieu adapter quand survient l'oncle féfé,et la tout va changer...

Jean-François Colombier - Jeff pour les intimes - se retrouve, à cinquante ans, sous le feu des projecteurs : romancier peu ou prou accoutumé à de très modestes tirages, le voilà lauréat d'un prix littéraire prestigieux.

Entre la célébrité télévisuelle, l'argent qui convertit son banquier en vieil ami et l'arrivée d'un nouvel amour, tout lui tombe dessus en même temps. Mais Jeff, accablé par cette réussite soudaine, préfère renoncer à un excès de bonheur et rattraper aux côtés de son fils sa jeunesse (é)perdue...

On marche dans la foule et d'un seul coup, ça vous prend comme une rage de dents, la sensation que cette masse peut d'un moment à l'autre vous broyer, vous effriter comme une vulgaire biscotte. On n'y voit plus rien dans ce brouillard d'hommes, on n'a plus qu'une idée en tête, en sortir.

Vincent n'en peut plus de sa famille, de sa cité.

Sur un coup de tête, il décide de partir et finit par rejoindre son oncle excentrique, un sculpteur vivant dans un blockhaus, au bord de la mer du Nord. Vincent reste quelque temps avec lui, jusqu'au jour où il tombe fou amoureux d'une jeune fille croisée sur la plage, qui habite à Saint-Jean-de-Luz. Alors, même si cela doit lui prendre une année, Vincent longe la côte à pied. De petits boulots en rencontres inoubliables, il suit avec confiance le long chemin de sable qui le rapproche chaque jour de celle qu'il aime.

Un voyage initiatique, où la force des uns répond aux fragilités des autres. Une formidable école de la vie !

Ce roman a déjà été publié, en 5 vol, chez Pocket jeunesse entre 2000 et 2004.

Lucas en a assez des mauvaises notes et des bulletins scolaires. Il ne souhaite qu'une chose : disparaître !

Une nuit. dans la vieille maison où il a trouvé refuge. Lucas va faire une étrange rencontre...

Tout commence par un déménagement - cette " catastrophe naturelle " : Brice, illustrateur de livres pour la jeunesse et compagnon de la dive bouteille, quitte son appartement lyonnais pour une grande maison plutôt isolée à la campagne.

Il a choisi l'endroit avec son épouse journaliste d'ailleurs partie quelque part en Egypte. Esseulé, sans nouvelles d'Emma, Brice s'abandonne peu à peu au désespoir en squatteur de son propre logis, ne sortant plus guère du garage où sont entassés les cartons qu'il éventre au petit bonheur. Les évocations d'Emma, l'attente d'un appel qui ne vient pas, et la rencontre de Blanche, une étrange femme-elfe sans âge, sorte de spectre de l'enlisement provincial, ponctuent cette dégringolade dans l'enfer des cartons.

Tout se précipite bientôt et le roman d'atmosphère vire au roman noir. En maître absolu du genre, Pascal Garnier nous réserve une grave, terrible surprise, qu'on soupçonne et refuse longtemps, comme s'il avait écrit ces pages intenses depuis l'au-delà routinier de la vie : rien d'autre qu'une histoire de cartons par où tout commence et tout s'achèvera.

Elles étaient trois filles de seize ans à Saint-Martin-sur-Cher - la grosse Arlette, Gisèle l'effrontée et Lucienne la forte en thème. Trois amies pour la vie. Si bien qu'à la Libération, les braves gens n'ont pas eu le cœur de les séparer ils les ont tondues toutes les trois... Cinquante ans plus tard, un drôle de hasard les réunit en ce lieu que deux d'entre elles ont fui. Si le temps a passé, si leur jeunesse est morte, tout s'est-il vraiment effacé ? Tandis que le trio d'antan vacille au bord du souvenir, Laurent, fils unique d'Arlette devenue boulangère, commet l'ultime " grosse bêtise " de sa pauvre vie de raté. A moins qu'à sa manière, il ne s'efforce simplement de refermer la parenthèse sur ce jour d'un lointain été devenu trop lourd à porter... Avec ses mots tout simples, cette Parenthèse aux allures de parabole est un hymne à la vie.

Comment me suis-je retrouvé dans cet hôpital psychiatrique ? Qui suis-je ? Que m’est-il arrivé ?

Un garçon d’environ quatorze ans se réveille à l’hôpital. Il ne se souvient plus de rien. Pour faciliter la communication, il se choisit un prénom : Fox. Un jour, dans les couloirs de l’hôpital, il rencontre Elvis, un fan de la rock star complètement paumé. Cette fréquentation n’est pas au goût de Mme Mado, la psychiatre qui suit Fox. Un soir, Elvis incite Fox à faire le mur.

Il doit régler une affaire. Et tandis qu’il l’attend au coin d’une rue, Fox aperçoit dans la vitrine d’un antiquaire une vieille malle qui lui rappelle des souvenirs… Avec son nouveau copain, Fox décide de sortir de l’hôpital pour retrouver le fil de son passé.

Il revient aux abords d’une vieille maison, qui a été la sienne, et qui abrite de douloureux secrets de famille.

Source : Fnac

Poussé hors du TGV par la peur du contrôleur, Simon atterri dans le parc de Valence. Une jeune femme lui confie un bébé dans une poussette, le temps pour elle, d'acheter des cigarettes. Elle disparaît... La nuit arrivant, Simon et le bébé sont recueillis par Victor de Montéléger, un ancien légionnaire. Leur vie à trois s'organise, ensemble, ils retrouvent une chaleur familiale. Ils sont bientôt rejoints par Mme Deniau, une vieille amie de Victor avec qui ils font des brocantes. C'est elle, qui leur donne l'adresse d'Elisabeth. Elle possède une vieille maison assez délabrée. Elle aimerait vendre ce qui peut l'être avant de s'en séparer. M'sieur Victor et elle sympathisent, ils se reconnaissent (ils se sont connus enfants), ils se plaisent et commencent à faire des projets d'avenir... Cette grande maison...

Fabien mène une existence paisible jusqu’au jour où sa femme décède dans un accident de voiture. Un drame n’arrivant jamais seul, il découvre qu’elle était accompagnée de son amant. Fabien, désarçonné mais déterminé, décide de se venger : « Il a piqué ma femme, je lui piquerai sa veuve. » Mais ce désir si légitime va l’entraîner dans une situation abominable.

Les parents de Laura ont hérité d'une fortune colossale! Aussitôt, toute la petite famille s'empresse de la dépenser dans des achats démesurés. Laura décide qu'elle n'a plus besoin de travailler à l'école, maintenant qu'elle est riche. Vite, il faut encaisser l'argent! Mais le destin a plus d'un tour dans son sac

LES PÈRES DE MANO ET BOULE, deux copains de classe, ont la même passion pour la navigation et rêvent de voyage dans les îles lointaines. Pendant deux ans, ils se consacrent entièrement à la construction de leur bateau et entraînent Mano et Boule dans leur périlleuse aventure...

Eliette est veuve et s'ennuie dans sa maison ardéchoise. Ses enfants sont grands, et elle n'a pour amis que ses voisins, un couple de braves gens. Et puis surgit Etienne, comme au détour du chemin... Une voiture en panne, un ou deux mensonges improvisés, la fille d'Etienne entre en scène et plus rien ne tourne vraiment rond.

- Faut qu'on parte ! La famille Bonnot va être chassée de sa baraque en tôle ondulée parce que le supermarché veut s'agrandir. Thomas et ses copains ont décidé d'agir pour empêcher cette injustice. Faire sauter le magasin à la dynamite, organiser une manif géante... ils ne manquent pas d'idées !

Quelle histoire ! Cet après-midi, quand Mathilde se rend chez sa voisine, Madame Pinchon, celle-ci a disparu. La pendule est bloquée sur six heures pile ; en l'air, une mouche est immobile comme suspendue par un fil invisible et les flammes du feu ne dansent plus, gelées comme sur une photo !

" Il y a quelques années, j'étais toute petite, un camion est venu ici en pleine nuit. Trois hommes ont extirpé du camion un coffre-fort et l'ont balancé au beau milieu de la décharge. Puis ils sont repartis...

Peu après, j'ai rencontré Rico et lui ai montré mon trésor... "

Quand un homme au chômage se laisse entraîner dans une série d'aventures qui le dépassent, opposant simplement sa passivité aux coups du destin. Un premier roman très noir et plein de tendresse.

Adrien est seul chez lui lorsque Cachoudas, son ami le cordonnier, lui demande d'héberger une jeune fille. Elle est clandestine, et elle est en danger : il faut qu'elle soit conduite le plus vite possible dans l'Yonne, chez un mystérieux bienfaiteur. Mais les événements se précipitent, et Adrien doit s'enfuir avec Tanya pour échapper à trois sales types qui les poursuivent.

Antoine devient muet pour exprimer sa tristesse à l'idée de déménager, jusqu'au jour où il se rend chez son oncle Féfé.

Neuf nouvelles autour de personnages pitoyables mais attendrissants : un vieux chien incontinent, un simple d'esprit fasciné par les avions..

Hyperconnecté, chacun d’entre nous est une proie des pirates du numérique, capables d’entrer sur nos comptes, de voler nos données personnelles, de bloquer entreprises et gouvernements. Au-delà de simples individus, c’est un réseau complexe de cyberattaquants qui s’est développé à grande échelle.

À partir d’histoires saisissantes, vécues sur le terrain, Gérôme Billois décrypte cet écosystème :

De l’origine des cyberattaques jusqu’aux événements géopolitiques et économiques majeurs d’aujourd’hui.

Les profils des cyberattaquants et leurs motivations, entre idéologie, gain financier, espionnage et guerre numérique.

L’écosystème des attaquants : les chercheurs de failles et les marchés noirs cyber.

Les défenseurs du numérique : leurs rôles, leurs motivations et leur quotidien, avec en prime les conseils pour sécuriser vos équipements et réagir en cas de problème.

Le futur de la cyberconflictualité dans un monde toujours plus connecté et complexe géopolitiquement.

Un documentaire captivant et éclairant sur les affrontements entre attaquants et défenseurs du numérique, face à la plus grande menace de la prochaine décennie.

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