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Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
Une histoire très bien menée et passionnante.
Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
J'ai vu la série bien plus tard et honnêtement, je la trouve très bonne. Elle est fidèle au livre et Anya Taylor-Joy (l'actrice de Beth) est exactement comment j'imaginais Beth en lisant le livre.
Si je peux vous donner un conseil : foncez! Même si vous n'êtes pas fan d'échecs (je ne l'étais pas moi-même avant de lire ce roman), c'est une lecture pertinente et qui vaut le coup d'être lue.
Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
Évidemment, il y a de nombreux détails présents dans le roman original manquant à l'adaption mais c'est génial de comparer les différences. Les parties d'échecs étaient davantage détaillées bien sûr, mais il m'a semblé -entre autres, que la relation entre Beths et Jolene était aussi plus approfondie. J'adore toujours autant la personnalité de Jolene d'ailleurs ainsi que la relation de Beths et de monsieur Shaibel !
En espérant qu'une traduction française sorte un jour !
Le Jeu de la dame
Même si la série m'a plu et que je connaissais donc l'histoire, j'ai adoré le roman, le préférant, et de loin, à l'adaptation télévisuelle.
Walter Tevis a eu l'intelligence de ne pas nous abreuver et nous perdre dans ces parties d'échecs hyper techniques. Au contraire, les descriptions qu'il donne servent son récit et retranscrivent très judicieusement l'extrême tension des moments clés du jeu.
Quant au personnage principal, Beth Harmon, l'auteur nous la rend attachante, en rapportant avec talent son parcours de l'orphelinat jusqu'à sa consécration dans un milieu presque exclusivement masculin. Il la rend aussi humaine que possible, et malgré des capacités hors normes, elle n'apparaît pas aussi brillante dans d'autres domaines.
Un pur plaisir de lecture additionné d'une originalité bienvenue.
Le Jeu de la dame
Dans ce roman, on va suivre Beth Hamon de ses 8 ans à ses 19 ans et son évolution dans le monde des échecs. Beth se retrouve dans l’orphelinat Methuen, suite à la mort de sa mère, où elle va faire la rencontre de M. Shaibel qui va l’initier au jeu des échecs et qui va se rendre compte que Beth est un génie.
Grâce à lui, elle va se découvrir une raison de vivre une ambition et c’est là où je suis totalement tombé sous son charme. Beth est l’incarnation du génie incompris de cette société ainsi que solitaire, mais aussi d’une femme qui évolue dans un monde dit “d’hommes”. Elle va subir les railleries de ses camarades, la jalousie de ses pairs et l’intérêt du monde. On va la suivre dans ses réussites mais aussi dans ses échecs.
Et c’est ce que j’ai aimé dans ce livre, Walter Tevis ne nous fait pas un personnage tout blanc à qui tout réussi et qui deviens tout de suite le champion du monde. Tevis a aussi une plume hyper abordable qui nous permet de nous immerger rapidement dans cet univers, de le comprendre et de nous faire oublier aussi l’idée que les échecs sont un monde élitiste. Je n’aurais jamais pensé devenir accro à ce livre et à tout prix vouloir savoir si Beth atteindra son objectif.
Je suis malheureux par contre de savoir que je ne retrouverai jamais ce personnage car Tevis est décédé un an après la publication de ce livre et l’on sent qu’il voulait poursuivre les aventures de Beth et à la fermeture de ce livre j’ai dû faire le deuil de ce personnage formidable et humain.
Le Jeu de la dame
Le Jeu de la dame
Attention, il ne s'agit pas d'une antiquité non plus ! Il n'a que 38 ans (deux de moins que le premier film Blade Runner, soit dit en passant), mais a été nommé, en son temps, pour les prix Locus et Nebula du meilleur roman, et revient régulièrement dans des listes de romans d'anticipation préférés chez certains lecteurs.
Avec un roman de ce genre, vous ne serez pas surpris d'apprendre que le XXVe siècle dépeint ici est sinistre et déprimant. D'ailleurs aucune date précise ne filtre avant le dernier chapitre pour millésimer ce monde .On ne parle plus en mois ou en année, mais en bleus ou jaunes pour se représenter le temps passé.
Une façon de nous aviser que le temps, et l'histoire elle-même, n'ont plus de signification pour le peu d'humains qui restent sur terre, puisqu'ils ne travaillent plus, ne raisonnent plus, ne communiquent plus, ne savent même plus lire, ni même ce qu'était un livre !
Le propos central de l'auteur tourne effectivement auteur de cette idée, que l’abrogation de la lecture et la prohibition de l'accès à la connaissance engendreraient l’aliénation et l'effondrement à terme de l'humanité. Et que par opposition, de la résurrection du savoir naîtrait la rédemption du monde des hommes et l'accès à leur libération.
Toutes ces thématiques ne sont pas nouvelles, et je vous mentirais en disant que cette histoire déborde d'originalité, tant les thèmes évoqués ont déjà été traités dans bon nombre de romans ou de films. Mais son attrait n'est pas là !
J'ai d'abord été frappée par la simplicité et la pureté du style, entraînant une aisance à faire défiler les pages assez étonnante, et qui pour moi, s'apparente à de l'habileté.
La surprise m'attendait aussi au tournant face à la poésie teintée de mélancolie de certaines scènes, et ce, dès le premier chapitre, sur le toit de l’Empire State Building. Je me suis d'ailleurs fait la réflexion comme quoi le titre original de "Mockingbird" était bien plus beau que celui de la traduction.
[...]
L'impression que ce roman n'est pas une dystopie traditionnelle ou un roman de SF classique perdurera en moi ! Je garderai à l'esprit l'image d'une parabole aux contours philosophiques, centrée sur l'âme humaine, la force de l'amour, le recouvrement de toutes les libertés, en passant par celle de vivre ou de mourir. Le futur de l'humanité pourra-t-il être secouru par le pouvoir de la connaissance ? C'est une petite lueur d'espoir qui refusera de s'éteindre une fois le livre refermé.
L'Oiseau moqueur
L'Homme tombé du ciel