Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 792
Membres
1 013 864

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Orphee3 2019-01-07T22:16:34+01:00

- (…) Si une femme essaie de te faire lire quelque chose, c'est parce que tu lui plais. Elle veut entrer dans ta tête. Elle veut te faire penser à un truc précis."

Afficher en entier
Extrait ajouté par alinounete 2018-04-28T20:02:36+02:00

- Je veux dire, juste parce qu'elle est jolie, qu'elle a de gros nibards et une de ces bouches d'actrice porno qui semblent spécialement conçues pour sucer...

- OK, tu peux arrêter, maintenant.

- Enfin, bref. Je ne pleurerais plus si j'étais toi, dit-elle sagement. Primo, aucun homme n'en vaut la peine. Même Katy Perry te le dira. Deuxio, tes yeux deviennent vraiment, vraiment petits quand tu pleures. Petits genre couilles de mite.

Je ne pus me retenir de rire."

Afficher en entier
Extrait ajouté par alinounete 2018-04-27T21:31:04+02:00

Pour la première fois depuis mon arrivée aux États-Unis, j'eus la sensation presque physique de me trouver au mauvais endroit, comme si j'étais attachée à des cordes qui me tiraient vers un lieu à des millions de kilomètres de là.

À un moment, je me sentis si mal que, quand j'entrai dans ma salle de vains et découvris un gros cafard sur le lavabo, je ne criai pas comme à mon habitude, mais envisageai brièvement de l'apprivoiser, tel un personnage dans un livre pour enfant. Puis je m'aperçus que j'étais officiellement en train de devenir folle et l'aspergeai d'insecticide."

Afficher en entier
Extrait ajouté par Ori06 2018-04-22T15:54:35+02:00

Je me sentis complètement présente, vivante, les sens aux aguets, mon corps tout entier prêt à accueillir les expériences inédites qui se présenteraient autour de moi. Je me trouvais exactement là où j’étais censée être.

Afficher en entier
Extrait ajouté par clarinett 2021-06-26T16:15:21+02:00

"- Où les gens du quartiers font- ils leurs courses?

Ashok grimaça.

- Les occupants de cet immeuble ne font pas de courses, mademoiselle Louisa. Cette idée ne les effleure même pas. A mon avis, la moitié d'entre eux croient que la nourriture apparaît comme par magie sur leur table."

Afficher en entier
Extrait ajouté par magaliB 2020-08-04T22:14:08+02:00

Nathan attendait dans le hall des arrivées, comme promis. Étrangement intimidée, je balayai la foule du regard, secrètement convaincue qu’il ne viendrait pas. Soudain, je le vis agiter son énorme main au-dessus des corps mouvants autour de lui. Le visage fendu d’un sourire, il leva l’autre bras et se fraya un chemin jusqu’à moi avant de me soulever du sol dans une étreinte de géant.

— Lou !

En le voyant, je sentis soudain quelque chose se contracter au fond de moi – quelque chose lié à Will et à cette vulnérabilité qu’on ressent après être resté pendant sept heures assis et secoué dans un avion –, et je fus bien contente qu’il me serre fort dans ses bras, ce qui me laissa le temps de me reprendre.

— Bienvenue à New York, petite ! Je vois que tu n’as pas perdu ton sens du style.

Il me tenait à bout de bras et m’examinait, un grand sourire aux lèvres. Je lissai ma robe, un modèle des années 1970 à l’imprimé tigre. J’avais espéré qu’elle me donnerait un petit air de Jackie Kennedy, celle des années Onassis – à supposer que Jackie Kennedy soit du genre à renverser son café sur ses genoux pendant un vol.

— Ça me fait tellement plaisir de te voir !

Il souleva sans effort ma valise, qui pesait un âne mort.

— Allez, je t’emmène à la maison. La Prius est en révision, mais M. Gopnik m’a prêté sa voiture. La circulation est infernale, mais t’inquiète, tu vas faire une arrivée en beauté.

La voiture de M. Gopnik était élégante, noire, spacieuse, et elle faisait la taille d’un bus. Les portières se refermèrent avec le bruit mat discret trahissant cinq zéros sur l’étiquette du prix. Nathan rangea mes bagages dans le coffre et je m’installai sur le siège passager avec un soupir. Je consultai mon téléphone, répondis aux quatorze messages de ma mère en lui expliquant simplement que j’étais dans la voiture et que je l’appellerais le lendemain. Ensuite, je répondis à celui de Sam, dans lequel il me disait que je lui manquais :

Bien atterri. Bisou.

— Comment va l’homme ? demanda Nathan en me lançant un coup d’œil.

— Bien, merci.

J’ajoutai plusieurs « s » à « Bisou », au cas où.

— Pas trop contrarié par ton départ ?

Je haussai les épaules.

— Il m’a encouragée à partir.

— Comme nous tous. Ça t’a juste pris un peu de temps de trouver ton chemin.

Je rangeai mon portable, me laissai aller contre le dossier et commençai à observer mon nouvel environnement, les noms inconnus éparpillés le long de l’autoroute – Pneus Milo, Richie Muscu –, les ambulances, les camions U-Haul, les maisons délabrées avec leur peinture écaillée et leurs perrons branlants, les terrains de basket et les conducteurs des autres véhicules, qui buvaient dans des tasses surdimensionnées. Nathan alluma la radio ; un type nommé Lorenzo commentait un match de baseball. En l’écoutant, je me sentis brièvement dans une sorte de réalité suspendue.

— Tu as la journée de demain pour atterrir. Quelque chose que tu as envie de faire en particulier ? Je pensais te laisser dormir, et ensuite t’emmener bruncher quelque part. Pour ton premier week-end, il faut absolument que tu fasses l’expérience de l’authentique diner new-yorkais.

— Ça me paraît parfait.

— Ils ne rentreront pas du country club avant demain soir. La semaine a été agitée. Je te ferai un topo quand tu auras un peu dormi.

Je le regardai avec insistance.

— Pas de secrets, hein ? Ça ne va pas encore être…

— Rien à voir avec les Traynor. Juste la famille dysfonctionnelle de multimillionnaires moyenne.

— Elle est agréable ?

— Elle est super. Bon… pas de tout repos. Mais elle est super. Lui aussi.

Je savais que je ne tirerais guère plus de Nathan en matière de recommandations et d’évaluation de personnalités.

Il retomba dans le silence – ça n’avait jamais été un grand bavard – pendant que, assise dans l’habitacle climatisé et confortable de la Mercedes GLS, je luttais contre les vagues de sommeil qui menaçaient sans cesse de m’emporter. Je pensai à Sam, à plusieurs milliers de kilomètres de là, endormi dans son wagon. Je pensai à Treena et à Thom dans mon petit appartement de Londres. Et puis, la voix de Nathan me tira de mes pensées.

— Nous y voilà.

Je levai mes yeux, irrités sous mes paupières pareilles à du papier de verre. Devant moi, de l’autre côté du pont de Brooklyn, Manhattan, étincelant comme si une boule de lumière avait volé en éclats. C’était grandiose, invraisemblablement dense et magnifique – un panorama rendu si familier par le cinéma que j’avais du mal à croire qu’il se déployait réellement sous mes yeux. Sans voix, je me redressai sur mon siège tandis que nous roulions à toute vitesse vers la métropole la plus célèbre de la planète.

— Sacrée vue, hein ? On ne s’en lasse pas. Ça en jette un peu plus que Stortfold.

Je ne crois pas que j’avais intégré l’idée jusqu’à cet instant.

Mon nouveau chez-moi.

— Salut, Ashok. Ça baigne ?

Pendant que Nathan tirait ma valise dans le hall en marbre, j’examinais le carrelage noir et blanc et les rampes en cuivre, prenant garde à ne pas trébucher. Mes pas résonnaient dans l’espace immense. On se serait cru dans l’entrée d’un grand hôtel légèrement défraîchi, avec l’ascenseur en cuivre doré, le sol tapissé d’une livrée rouge et or, et la réception qui aurait pu être un peu mieux éclairée. Dans l’air flottait une odeur de cire d’abeille, de chaussures vernies et d’argent.

— Ça roule, mon pote. Qui c’est ?

— Louisa. Elle va travailler pour Mme Gopnik.

Le portier en uniforme sortit de derrière le comptoir et me tendit sa main à serrer. Il avait un large sourire et des yeux qui semblaient avoir tout vu.

— Ravie de vous rencontrer, Ashok.

— Une Anglaise ! J’ai un cousin qui vit à Londres. Croy-down. Vous connaissez… Croy-down ? Ça vous arrive de vous balader dans le coin ? C’est un grand gars, ça vous dit quelque chose ?

— Je ne connais pas vraiment Croydon, dis-je. Mais j’ouvrirai l’œil la prochaine fois que j’y passerai, m’empressai-je d’ajouter en voyant son visage se décomposer.

— Louisa. Bienvenue au Lavery. Si vous avez besoin de quelque chose, d’un renseignement, venez me voir. Je suis là vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept.

— Il ne plaisante pas, me glissa Nathan. Je le soupçonne de dormir sous ce comptoir.

D’un geste, il désigna un ascenseur de service aux portes d’un gris mat, au fond du hall.

— J’ai trois gosses de moins de cinq ans, déclara Ashok. Croyez-moi, être ici me permet de rester sain d’esprit. Je peux pas en dire autant de ma femme, affirma-t-il dans un sourire. Sérieusement, mademoiselle Louisa. N’importe quoi, comptez sur moi.

— Son offre couvre aussi les drogues, les prostituées et les lieux de perdition ? chuchotai-je tandis que les portes de l’ascenseur de service se refermaient sur nous.

— Non. Plutôt les entrées au théâtre, les réservations au restaurant, les adresses des meilleurs teinturiers… C’est la Cinquième Avenue, ici, bon sang. Tu faisais quoi à Londres ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par BooksFan-ny 2020-04-05T16:52:47+02:00

Il faut des lieux où les gens puissent se réunir, discuter et échanger des idées, et que ce ne soit pas seulement une question d'argent, vous comprenez ? Les livres vous apprennent la vie. Les livres vous enseignent l'empathie. Mais vous ne pouvez pas acheter des livres si vous avez à peine de quoi payer le loyer. Donc, cette bibliothèque est une ressource vitale ! Si vous fermez une bibliothèque, Louisa, vous ne condamnez pas seulement un bâtiment, vous fermez la porte de l'espoir.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2019-10-08T08:40:20+02:00

Il y a clairement une hiérarchie en matière de coeur brisé.

Afficher en entier
Extrait ajouté par keisha50 2019-08-03T19:30:22+02:00

Je retrouvai New York plongée dans le genre de tempête de neige qu'on voit aux informations à la télé, quand seul ke haut des voitures est visible, que les enfants font de la luge dans des rues normalement encombrées de voitures et que même les présentateurs météo ne peuvent réprimer une joie enfantine. Les larges avenues étaient désertes, mesure imposée par le maire, et les énormes chasse-neige de la ville montaient et descendaient les rues principales en ronronnant consciencieusement, telles de gigantesques bêtes de somme.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Orphee3 2019-01-07T22:20:52+01:00

- (…) Mais on trouve une grande consolation à accomplir simplement quelque chose qu'on aime."

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode