Max Genève
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Note moyenne : 6.5/10Nombre d'évaluations : 4
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Les derniers commentaires sur ses livres
Petit roman à la plume souriante, coquine et hardie qui m'a bien plu. Je n'ai pas apprécié tous les chapitres de la même manière. Certains m'ont laissée de marbre; d'autres m'ont dégoûtée; d'autres encore m'ont entraînée sur des sentiers inconnus, délicieux, surprenants ou encore enivrants. Le sexe peut sembler s'imposer au coeur du roman. Et pourtant, c'est l'amour qui y trône en maître, entraînant tout sur son passage.
C'est mon premier livre de cet auteur. Il me donne envie d'en lire d'autres, romans érotiques ou non. Apparement, Max Genève est inclassable et a l'art de mélanger les styles. Une bonne découverte !
Afficher en entierJ'ai lu ce livre sans y prêter une attention particulière. Disons qu'il est efficace au sens où on le lit volontiers en entier.
Par contre, pour ce qui est de s'en souvenir...
Afficher en entierVoyeurisme et exhibitionnisme sont les moteurs de cette histoire, parmi quelques actes physiques. Un étudiant et ses expériences… se laisse lire, sans intérêt particulier.
Afficher en entierUne histoire plutôt plate, ou le personnage principal étale ses transformations sans fil rouge. Bof.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Max Genève
et autres évènements
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Editeurs
Zulma : 10 livres
Editions Anabet : 2 livres
Bernard Barrault : 2 livres
Le Verger Editeur : 2 livres
La Musardine : 1 livre
Jean-Paul Bayol : 1 livre
Pocket : 1 livre
Gallimard : 1 livre
Biographie
Max Genève est né à Mulhouse en 1945 sous le nom de Jean-Marie Geng. Son père était journaliste et critique musical. Il écrit son premier roman à vingt ans (Jeune homme assis dans la neige), que Bernard Barrault éditera vingt ans plus tard. Licence et maîtrise de philosophie à Strasbourg. Il est docteur en sociologie en 1972. Il publie quatre essais, tous polémiques, salués par Roland Barthes, Pierre Bourdieu et Jacques Derrida. De ce dernier, il devient un ami proche (cf. Qui a peur de Derrida ?, Anabet, 2008). Il enseigne la sociologie à Strasbourg de 1973 à 1982.
En 1982 il démissionne, choisit la littérature et le nom de Genève (cf. La Prise de Genève, Bueb et Reumaux, 1980, réédité chez Zulma, en 2000). Il s'installe à Paris, devient romancier à temps complet. Il est l'auteur de vingt romans, de plusieurs recueils de nouvelles, de préfaces, d'articles et d'écrits divers. Il a aussi travaillé pour la radio (France Culture et France Musique) et la télévision (il a écrit pour Antenne 2 deux épisodes de la série Le Lyonnais de René Belletto).
Voici ce qu'écrivait en 1993 Jérôme Garcin à son propos : « Max Genève persiste à culbuter les tabous. Rappelons qu'il est l'auteur d'une douzaine de livres iconoclastes, dont Le Salon, féroce portrait des gens de lettres, Cher Patrick, satire meurtrière de l'odieux-visuel, et Le Défunt libertin, ou peut-on prendre son pied dans la tombe ? On regretterait que Genève ne fût pas davantage connu si lui-même, qui signa jadis L'Illustre inconnu sous le pseudonyme de Jean-Marie Geng, ne s'appliquait à être aussi talentueux qu'invisible, aussi mordant qu'insaisissable »
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