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Mia Couto

Auteur

32 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par 21la 2013-02-16T22:51:17+01:00

Biographie

Mia Couto est né au Mozambique en 1955.

Après avoir étudié la médecine et la biologie à Maputo, il devient, en 1974, journaliste d’abord au quotidien Noticias de Maputo, puis à l’hebdomadaire Tempo. Actuellement il vit à Maputo où il est biologiste, spécialiste des zones côtières, et il enseigne l’écologie à l’université.

Pour Henning Mankell, « il est aujourd’hui l’un des auteurs les plus intéressants et les plus importants d’Afrique ».

Ces romans sont traduits dans plus de 22 pays.

Prix International Union des Littératures Romanes, 2007

Prix Mário António, 2001

Prix Vergílio Ferreira, 1999

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.79/10
Nombre d'évaluations : 19

0 Citations 12 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Mia Couto

Sortie France/Français : 2023-01-20

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Phil_33 2019-01-30T00:02:14+01:00
La véranda au frangipanier

Le frangipanier est omniprésent dans ce roman. Il incarne le temps, car c'est le seul arbre à feuilles caduques de ce coin d'Afrique. Les vieillards sont les gardiens de la tradition mais l'évolution de la société les a remisés dans un asile. L'inspecteur, bien que noir, parait à tous blanc car il vient de la ville et a perdu ses racines. L'auteur, dans ce récit fantastique, poétique, souvent drôle et nourri de toute une mémoire collective, illustre toute la puissance d'évocation d'une littérature métissée dont il est l'un des plus brillants représentants. Ce bon livre porte à la réflexion et nécessite un second niveau de lecture ce qui ne le rend pas accessible à tout public. Pour bon lecteur.

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Commentaire ajouté par Granny-1 2020-03-18T07:27:42+01:00
Poisons de Dieu,remèdes du diable

" Poisons de Dieu, remèdes du Diable" de Mia Couto (176p)

Ed. Métailié

Bonjour les fous de lectures ...

Nous partons à la découverte d'un auteur du Mozambique.

Sidonio Rosa, jeune médecin portugais, est tombé fou amoureux de Deolinda, rencontrée un jour à Lisbonne.

La belle ayant joué les filles de l'air, notre jeune toubib se rend dans à Vila Cacimba, village perdu du Mozambique d'où est originaire Deolinda, sous prétexte de soigner une épidémie de méningite.

Mais où est passée la belle ?

Il en profite pour questionner ses parents, un couple haut en couleurs. Lui, un vieux marin grabataire et elle, mulâtre au destin compliqué, règlent leur comptes mais en révèlent peu sur Deolinda...

Ecrit à la manière d'un conte, ce récit nous plonge dans l'Afrique des mythes et désillusions.

Tout y est abordé: le racisme, la religion, la politique avec ses magouilles, les secrets et les mensonges bien cachés….

Et, ce qui ne gâche rien, soudain arrive le dénouement qui vous flanque par terre.

Même si le début est un peu lent, il traduit bien l'ambiance de l'Afrique et soyez patients, la deuxième partie en vaut la peine.

J'ai beaucoup aimé l'écriture fleurie, vive et humoristique de Mia Couto que je découvrais avec ce récit.

Belle découverte.

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Commentaire ajouté par CLAUDE553 2020-08-24T11:41:25+02:00
Les Sables de l'empereur

ENNUIE JUSQU'AUX 50 DERNIERES PAGES QUI DONNENT L'HISTOIRIQUE DU ROI DECHU

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Commentaire ajouté par Miaouss 2021-12-24T09:18:06+01:00
L'accordeur de silences

Au cœur du Mozambique, dévasté par les guerres, Mwanito notre accordeur de silences voit sa vie basculer quand une femme inconnue débarque. C’est un roman singulier, beau, poétique et tragique, c’est tout un tas d’émotions qui submerge le lecteur. La relation père-fils est forte, ils vivent reclus dans un minuscule village avec cinq hommes alors forcément quand la mystérieuse femme arrive, ça soulève bien des secrets de famille. J’ai apprécié la plume et le ton que Mia Couto donne à son roman, un roman initiatique qui prend son temps, le thème de la guerre est présente, mais surtout la fuite de celle-ci, ce qui explique pourquoi ce petit village existe, pour les autres questions toutes trouvent réponses au fil du livre, je vous passe les détails qui pourraient vous gâcher la lecture mais sachez qu’il y a de la profondeur dans l’intrigue comme dans les personnages et ça me plaît toujours.

Pour résumer, l’auteur nous livre une belle histoire, fragile et tourmentée, dans le beau décor du Mozambique on avance avec fluidité vers le dénouement de l’histoire, un roman poétique part bien des aspects loin de la folie des humains.

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Commentaire ajouté par Lorelei0609 2022-02-27T11:01:56+01:00
La Confession de la lionne

Étrange et impressionnant, la vie d'un village du Mozambique et de ses habitants se touche du doigt mais ne se comprend pas totalement.

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Commentaire ajouté par Miaouss 2022-07-22T18:09:00+02:00
Le Cartographe des absences

Je connais Mia Couto par l’accordeur des silences et je suis très content de retrouver cette même manière d’écrire si unique, si transcendantale et si juste. Bien que l’intrigue se base sur des histoires vraies, ça n’en est pas moins un roman qui vise l’authenticité.

L’auteur signe ici sans aucun doute de ma part son meilleur roman, commençons par parler des dialogues qui sont exquis, j’ai adoré les échanges entre notre narrateur et Liana par exemple, ça m’a tout de suite accroché et plongé dans l’ambiance post-colonialiste du Mozambique. C’est très fluide et naturel comme dialogues, j’ai ressenti à travers eux l’envergure des personnages, leurs profondeurs, quelques lignes suffisent pour comprendre de quoi il en retourne et ça me plaît beaucoup. J’aime aussi le fait qu’il faille un peu lire entre les lignes pour comprendre toute la portée des paroles.

Côté personnage on a notre narrateur, Diogo, un poète dont le père exerçait lui aussi le même métier, principal protagoniste mais qui sait aussi laisser la place aux autres le temps venu, il n’éclipse pas tous les personnages mais rayonne par ses formules. Il fera un « voyage vers le centre de son âme » comme il aime à le dire, on le retrouvera durant son adolescence tiraillée entre le racisme, le colonialisme dont il est victime, les trahisons, les polices qui sont plus proche d’une milice militaire que d’un groupe ayant pour but de protéger et servir. Les autres personnages sont haut en couleurs, je pense notamment à Maniara qui met un peu de piment dans l’aventure.

Pour l’intrigue, c’est très simple, j’en ai parlé un peu au-dessus mais je ne vous ai pas dit le plus important, le cyclone qui dévaste la ville de Beira sur la côte du Mozambique. Mais le propos du roman tourne plutôt autour de ce qu’a vécu notre narrateur. En fait, c’est tout un pan d’Histoire qui nous est raconté au travers des personnages, c’est une histoire que l’on voit à travers les yeux d’un poète, d’un adulte, d’un conteur et d’un fils, c’est une intrigue intime sur un sujet global, celui du racisme dont il est beaucoup question mais c’est plus que ça, c’est presque indéfinissable, c’est un je ne sais quoi, un mélange parfait entre réalité et fiction.

Le roman est très accessible et se lit rapidement, les chapitres courts donnent un bon rythme au livre. Même si le livre s’oriente plutôt sur un public adulte, les jeunes adultes pourront aussi trouver dans ce roman un témoignage fort, un récit d’une vie hors du commun et pourtant presque banale. A titre personnel, c’est un roman qui m’a marqué, les sujets sont bien traités et c’est une redécouverte totale de cet auteur qui m’avait déjà fait une bonne impression.

Merci à #NetGalleyFrance pour l’envoi bien en avance de #LeCartographeDesAbsences et aux éditions Métailié de se prêter au jeu.

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Commentaire ajouté par Blandine1 2022-10-21T23:24:27+02:00
Le Cartographe des absences

Un écrivain revient au Mozambique, son pays natal. Une femme lui remet les écrits de plusieurs personnes : ceux de son propre père policier de la PIDE qui a arrêté le poète qui s’est battu contre la colonisation portugaise et qui est le père de l’écrivain, ses propres textes élaborés alors qu’il était enfant et d’autres encore. Il va revoir ceux qui avaient traversé sa vie dans les années 70 et surtout découvrir la suite de l’histoire de cette jeune fille amoureuse d’un homme de couleur, donc amour interdit et qui se sont jetés dans le fleuve enchaînés l’un à l’autre. Peu à peu les vides de leurs passés respectifs vont se remplir tandis qu’un cyclone s’approche...

Un mélange de biographie et de documentaire servi par une belle écriture parfois poétique. J’ai beaucoup aimé les citations en débuts de chapitres et quel magnifique titre !

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Commentaire ajouté par Liloulitdeslivres 2022-11-25T09:29:25+01:00
Le Cartographe des absences

« J'ai appris que les hommes avec de grands idéaux sont très souvent des gens aux idées courtes. Heureusement, je n'ai ni idées, ni idéaux.»

1973 et de nos jours au Mozambique. Je me suis retrouvée prise dans un panier de crabe. La colonisation du Mozambique par les Portugais m'était inconnue jusqu'à présent. C'est un contexte historique très fort.

Les absents présents partout.

Le poids des secrets.

Le besoin de comprendre, de savoir.

Une envie de retrouver ses racines, son pays.

D'un cyclone à l'autre le narrateur va reconstituer son passé.

Chaque lieu est un bout de l'histoire raconté par différentes personnes.

J'ai admiré cette femme qui voue un amour inconditionnel à son poète de mari.

Il y a aussi cette jeune femme qui recherche sa mère . Et aidera le fils à comprendre le père et le pays.

Qu'elle est la place du poète face à la guerre, face aux cyclones.

Il se joue de la nature en lisant.

Face à la folie de la guerre, il fait son possible pour sauver des hommes, témoigner et se retrouve pris dans une tourmente et des mensonges dont il ne peut s'extirper

Je n'ai pu m'empêcher de penser à Baudelaire et à son poème L'albatros, le prince des nuées si désarmé face à la duplicité de certains hommes.

J'avais très envie de découvrir la littérature lusophone et cet auteur mais là j'ai aussi découvert un pays et une autre culture passionnants.

Bien entendu je suis tombée sous le charme de Mia Couto. Quelle plume ! Quel panache !

Merci au éditions Métalié

#LeCartographedesabsences #NetGalleyFrance

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Commentaire ajouté par Julie-176 2023-04-16T21:59:20+02:00
Le Cartographe des absences

« Le cartographe des absences » a été, pour moi, ma première incursion dans la littérature mozambicaine et j’ai vraiment mais alors vraiment été agréablement surprise ! Il est vrai que j’ai de graves lacunes en matière de littérature africaine, malgré les très nombreux talents issus de ce continent. C’est d’ailleurs dommage qu’ils ne soient pas plus mis en lumière et notamment, pour celui-ci, en la personne de Mia Couto.

L’auteur, Mia Couto, y narre l’histoire d’un poète qui revient dans la ville de son enfance et adolescence, sur invitation, peu de temps avant le passage d’un cyclone dévastateur et y redécouvre tout un pan de son histoire familiale. Il y aura son père, poète aussi et engagé contre la colonisation portugaise, Benedito, leur jeune serviteur devenu dirigeant du FRELIMO au pouvoir, son frère caché, … Ce retour aux sources va lui ouvrir les yeux sur de nombreux secrets, révélant aussi tout un pan de l’histoire du Mozambique.

La plume de Mia Couto m’a tout simplement séduite. Ce pèlerinage se vit comme une enquête sur les pas de ce père, poète engagé, dont les empreintes ont laissé d’importantes traces. J’ai énormément appris par cette lecture, notamment sur le passé colonial subi par cet état d’Afrique orientale durant de longues années. Comme nous le savons tous, les colonisations ont souvent laissé de terribles cicatrices après les massacres et destructions dont les colons pouvaient faire preuve.

Déjà en lisant le roman, je me suis demandé si l’auteur s’était inspiré de sa propre histoire. En faisant quelques recherches sur Internet pour écrire cette chronique, je me suis rendue compte que l’auteur et son héros principal partageaient de nombreux points communs. Finalement, tout cela fait que les lecteurs se demandent jusqu’à quel point certains éléments sont fictifs ou bien biographiques.

Voici donc l’un des livres qui me marquera le plus dans le cadre du Prix Bookstagram du roman Etranger. Je vous le conseille vivement !

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Commentaire ajouté par HundredDreams 2024-06-02T09:05:08+02:00
Le Cartographe des absences

Un titre est déjà une porte d'entrée vers un livre, un univers, une plume. Ceux de Mia Couto sont emplis de profondeur et de poésie. Ils nous invitent à entrer dans son monde, celui de l'absence et des silences, de la mémoire et de l'histoire du Mozambique.

Après « l'accordeur de silences », je m'étais promise de revenir vers cet auteur mozambicain dont la plume m'avait marquée par sa beauté et sa force narrative empreinte d'onirisme et de folie. J'ai donc choisi « Le cartographe des absences ».

C'est un récit émouvant et profond qui nous amène à réfléchir à travers l'histoire familiale de Diogo Santiago, au colonialisme et aux guerres d'indépendance, au poids des souvenirs et aux réalités cachées, au pouvoir de l'écriture et à la place du poète face à la guerre.

*

Alors que le cyclone Idai se rapproche des côtes du Mozambique, Diogo Santiago, un poète reconnu et estimé, revient à Beira, sa ville natale, pour y recevoir l'hommage de ses concitoyens.

Mais en quête de son histoire et des lieux de son enfance, ce retour est avant tout pour lui un rendez-vous avec son passé et ses fantômes, ses souvenirs de jeunesse et ses drames, alors que le Mozambique était encore à l'époque sous domination portugaise.

« C'est ici que mon enfance s'est déchirée, … je viens réparer cette déchirure. »

« Voici ma maladie : il ne me reste plus de souvenirs, je n'ai que des rêves. Je suis un inventeur d'oublis. »

C'est un passé révolu qui a laissé des cicatrices certes anciennes, mais visibles et indélébiles. Nous voilà entrainés à la suite de Diogo dans sa recherche de lui-même. Et c'est un véritable cheminement qui l'enlace aux souvenirs de son père, poète également et journaliste engagé dans la lutte contre la colonisation portugaise dans les années 1970.

*

J'ai trouvé l'histoire assez complexe.

Le roman restitue avec justesse et profondeur, les évènements tragiques de la décolonisation au travers de lettres, d'extraits de journaux intimes, d'interrogatoires, d'archives et de témoignages des vivants, mémoire indispensable pour ne pas oublier.

Tout se mélange, passé et présent, époque coloniale et violences de l'armée portugaise à l'encontre des populations noire, histoire familiale et collective, oubli et besoin de se souvenir, comme si le cyclone était déjà présent entre les lignes, tourbillonnant, de sorte que la mémoire du passé s'incruste dans le présent.

Dans ce remous où se rejoignent présent et passé, réalité historique et fiction, victimes et tortionnaires, rapports de force entre blancs et noirs, oubli et héritage, une multitude de personnages se croise, dont le destin sera changé par leurs rencontres.

Chaque personnage est finement brossé, même les personnages secondaires. Dans ce récit spiralaire, chacun gagne peu à peu en consistance. Il y a de très beaux portraits de femmes, comme celui de Maniara ou d'Almalinda, toutes deux entraînées dans un monde chaotique de violence et de haine.

*

L'auteur crée une ambiance étrange et hantée par les souvenirs de la décolonisation et des disparus, soulignant ainsi l'impact psychologique de cette période douloureuse.

« … la nuit est la même araignée sombre qui émerge des entrailles de la terre et grimpe par le toit de la maison. Tous les matins, je défais la toile. Toutes les nuits l'araignée renaît. »

A travers la narration du fils et les écrits du père, l'auteur fait naître des personnages authentiques animés par la violence et la peur, la douleur et les regrets, la solitude et le manque, la perte et le chagrin.

Dans les notes de l'auteur, on apprend que ce roman est inspiré d'évènements et de personnages réels. Celui qui apparaît central dans cette oeuvre est sans aucun doute l'image de son père. Journaliste et poète, il reçut les preuves d'un massacre commis par les troupes portugaises au Mozambique, en 1973.

« S'il y avait un enfer sur terre, cet enfer était la ville d'Inhaminga »

L'auteur a hérité de son père cette attirance pour les mots. La poésie lui permet le langage des émotions et de l'intime. Elle ose voyager au coeur des sentiments pour les rendre visible au regard des autres.

C'est un récit empreint de mélancolie et de tristesse qui ne peut que séduire par son écriture aussi délicate que profonde. L'écriture est remarquable, les dialogues ciselés.

« La poésie n'est pas un genre littéraire, c'est une langue antérieure à tous les mots. »

*

« Le cartographe des absences » est l'histoire d'un père et d'un fils pris dans les turbulences de l'Histoire, une vie qui tente de se reconstruire après les traumatismes en rassemblant et recousant les morceaux épars de son histoire.

Le roman le plus personnel de l'auteur, sans aucun doute.

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Dédicaces de Mia Couto
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Métailié : 5 livres

Editions Chandeigne : 4 livres

Albin Michel : 2 livres

10/18 : 2 livres

Chandeigne : 1 livre

Caminho : 1 livre