Alan Davis

Comics moyen. Je n'aime pas trop les dessins d'Alan Davis mais le scénario de Paul Cornell est bien. Wolverine and the X-Men est très bien, les dessins sont très bien. Nick Bradshaw à un talent incroyable. Steve Sanders, j'aime moins mais bon il dessine très bien quand même.

Ca reste space.L'histoire est vraiment plein d'aventures.

Un regroupement d'épisode des aventures des 4 fantastiques... Le résultat est vraiment super sympa !

Les dessins sont très chouettes, il y a de l'action et de l'humour !

La présence de certaines petites notes permet de rappeler certaines aventures antérieur !

Un bon moment de lecture !

Le 3e épisode de la série régulière Wolverine (qui en est à sa 5e version, ça aussi ça m'insupportait) porte sur l'arc Hunting Season, plutôt agréable à suivre grâce à un Alan Davis percutant (malgré des décors assez pauvres, on se régale des expressions faciales parfois légèrement simiesques de ses personnages et de la dynamique de sa mise en page) qui sert à merveille une intrigue pleine de menaces dans laquelle, aux côtés d'un duo sympathique formé de Logan et de Nick Fury Jr, le lecteur se perd en conjectures avec des mystères de bonne facture.

Pour Wolverine & the X-Men (n° 23 & 24), ça se gâte déjà. La fin de l'arc sur le Dernier Frankenstein était attendue au tournant : des X-Men transformés en bêtes de cirque, ça avait été fait, avec talent et cynisme (Mesmero, boosté par Magneto, les avait hypnotisés avant que ce dernier les emmène dans sa base antarctique). Ici, malgré de très sympathiques dessins de Bradshaw, précis et enlevés, on se perd entre une révolte mal fichue et la sous-intrigue impliquant Idie et Maximilian du Club des Damnés. C'est parfois rigolo, mais je n'accroche pas. L'arrivée d'une ancienne Nemesis de nos mutants fait même presque tache. L'épisode suivant, servant à reposer tout le monde avant un nouvel arc narratif, la joue tout miel tout sucre : amours et désamours dans la communauté mutante ; les uns savourent leur sérénité toute relative et profitent de la vie, d'autres dépriment comme seuls des mutants peuvent déprimer. C'est aussi l'heure des choix. La partie avec Quentin Quire est la plus amusante, presque irrévérencieuse.

A l'intérieur, trois épisodes : deux pour la suite de Wolverine & the X-Men rédigée par un Jason Aaron qui se lâche complètement. Nick Bradshaw suit le mouvement en soignant ses détails et on finit par se faire à ses personnages qui semblent tous avoir rajeuni et à ces couleurs vives donnant un aspect un peu cartoon à l'ensemble.

Pourtant, les dangers planant sur l'Ecole Jean Grey sont toujours présents et on peut mal digérer l'écart entre ces graphismes sucrés et la cruauté ou la perversité des adversaires. Et alors que le Club des Damnés junior fomente une énième revanche sanglante, l'arrivée d'un spectacle itinérant d'un genre particulier promet quelques moments très excitants. Las, l'épisode suivant (Wolverine & the X-Men #20) choisit un autre centre d'intérêt, multipliant un peu trop les points de vue sur l'école : Angel, toujours en train de se chercher une identité et un but, décide d'aider les nouveaux mutants à s'intégrer. La presque totalité de l'épisode le met aux trousses d'une jeune requin-garou ( ?) qui a bien du mal à accepter la réalité de ses pulsions et transformations. En outre, les dessins de Sanders paraissent assez grossiers et rétrogrades, ce qui nous laisse penser à un épisode bouche-trou rythmé par quelques dialogues savoureux.

Reste le plat de résistance, le nouvel arc de la série principale : Hunting Season est donc confié aux bons soins du duo britannique Paul Cornell & Alan Davis. Les habitués de Clan Destine et d'Excalibur retrouveront la « patte » Davis, ses silhouettes élégantes, sa mise en page dynamique, ses visages expressifs dans une ligne claire et parfaitement intelligible qui se prête bien aux déferlements de puissance. Si le script ici pique la curiosité par sa radicalité et son refus de la facilité, il ne permet pas d'en dire davantage tant on manque d'éléments. Ecrit comme un épisode de feuilleton télévisé, il n'y a guère de « gras » : pas de dialogue inutile, pas de changement de lieu, pas d'intrigue secondaire, pas d'intervention d'un tiers ; juste Wolverine et un ennemi qu'il refuse de reconnaître comme tel. Et beaucoup de victimes. A suivre donc.

Mon premier comic. Intéressant, on reconnait bien l'humour de Marvel.

Cette fois, Thanos n'est pas à l'origine d'un complot cosmique : quelqu'un vient lui demander de l'aide pour sauver l'univers d'un péril inexorable. Et ce quelqu'un n'est autre que son frère, Eros, le gentil play-boy qui a un temps fait partie des Avengers. Sauf qu'il s'agit d'une version beaucoup plus âgée car il arrive du futur porteur de ces mauvaises nouvelles. Son plan nécessite l'aide d'un troisième individu, ex-membre des Gardiens des Gemmes de l'Infini, et l'appui des technologies temporelles de Kang le conquérant, allié de circonstance.

Le récit se complaît ainsi dans les différentes strates d'un événement qui s'est passé ou se passera, à moins que... Alliances et mésalliances seront de mise, et on peut compter sur le Titan fou pour tirer les marrons du feu : trahir est une seconde nature chez lui. Sauf que, si son frère s'avère nettement plus retors qu'auparavant, un autre protagoniste s'immiscera dans le plan, quelqu'un de bien plus puissant et roublard que Thanos...

Dessins remarquables de Davis qui parvient à rendre intelligible l’inintelligible. Puzzle temporel et récit déconstruit pour une conclusion étonnante.

Je n'avais encore jamais lu de comics de super héros et finalement découvrir cet univers par cette collection c'est une bonne idée. Autour d'un personnage ou d'un thème (ici Ultron et par extension Vision) on découvre les Avengers à travers plusieurs épisodes publiés à des dates différentes. Ca permet de se faire une idée de l'évolution des personnages, du dessin, des scénarios, ...

J'ai eu du mal avec les épisodes les plus anciens. Le dessin n'est pas mauvais mais j'ai juste eu l'impression à chaque case que les dessinateurs se sont contentés de placer leurs personnages dans les poses les plus héroïques possibles sans vraiment que ces poses n'aient de cohérence avec l'action. Quant aux scénarios, il sont sympas (même si ils sont simples et les personnages caricaturaux) mais la narration est malheureusement expédiée, avec même parfois l'impression qu'il manque des cases.

J'ai par contre vraiment aimé le dernier épisode publié plus récemment. Il se passe dans le futur et mêle des personnages passés, présents et futurs, et il m'a fait comprendre à quel point l'univers est devenu riche et complexe avec sa multitudes de personnages aux aventures alternatives.

Au final, je suis contente d'avoir découvert cette collection qui permet de se faire une idée de l'univers Marvel sans avoir besoin de se casser la tête pour savoir par quel bout la prendre. Je lirai les tomes suivants avec plaisir.

J’ai beaucoup de mal avec certains dessins, et ca gâche toute l’histoire, car dans un comics (ou une BD) il y joue une grande part.

Dans les Comics mensuels, il y a souvent plusieurs histoires en cours, et donc plusieurs scénaristes, et dessinateurs.

Dans cet album, l’histoire principale d’Iron Man ca passe, mais la suite … ce n’est pas possible.

Ca ne me correspond pas du tout, Trop enfantin je dirais.

Avec ce comics, je boucle la série Original Sin.

Ce n’est vraiment pas le meilleur dans tous les domaines.

On ne découvre pas grand chose ( rapport à l’œil de Uatu).

Et le dessin est toujours aussi difficile à supporter pour moi.