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Frank Frazetta

Auteur

26 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Marion 2011-03-02T12:24:54+01:00

Biographie

Né en 1928 à Brooklyn (New-York City), Frank Frazetta manifeste très vite un don pour le dessin. Il intègre la Brooklyn Academy of Fine Arts dès l’âge de 8 ans et y développe son art sous la tutelle du maître italien Michael Falanga. Après la mort de ce dernier et la fermeture de son école, Frazetta est contraint de trouver du travail. Sa carrière commence dans l’industrie de la bande-dessinée alors qu’il a tout juste 16 ans. Sous le pseudonyme de Fritz, il collabore avec plusieurs magazines et participe aux aventures de Buck Rogers et de Flash Gordon.

En 1964, il est repéré par Hollywood grâce à une peinture représentant Ringo Starr dans Mad Magazine et réalise l’affiches de Quoi de neuf Pussycat ?, gagnant ainsi l’équivalant d’un an de salaire en un après-midi. La carrière de Frank Frazetta se poursuit dans l’édition : il réalise les illustrations de plusieurs icones de la littérature d’aventure comme Tarzan, John Carter et surtout Conan le Cimmérien, donnant ainsi un nouveau souffle à l’identité visuelle de l’heroic fantasy. Il réalise un grand nombre de peintures originales, dont celles représentant le mythique Death Dealer, ténébreux guerrier qui marqua les esprits de toute une génération.

Le maître est décédé le 10 mai 2010 à l'age de 82 ans.

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Note moyenne : 8.54/10
Nombre d'évaluations : 13

0 Citations 11 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Frank Frazetta

Sortie France/Français : 2013-12-04

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Adanson 2015-12-06T12:53:04+01:00
Anthologie Eerie, Volume 2

Tout d'abord la forme.

Ce deuxième volume du comics EERIE est comme les trois autres mentionnés toujours aussi magnifique.

Couverture cartonnée et superbe, BD en noir et blanc magnifiquement imprimées et à la fin les couvertures originales en couleurs des numéros 7 à 12 illustrées par Frank Frazetta, Dan Adkins, Gray Morrow et Joe Orlando.

Le fond maintenant.

Nous avons droit tout d'abord à une préface passionnante de Doug Headline qui fut journaliste à Métal Hurlant, Rock et Folk et qui participa à la création de Starfix et qui nous raconte sa passion pour ces comics venus des Etats-Unis.

Toutes les histoires de ce volume datent de 1967.

Cette année là comme le rappelle Delirium marqua la fin de la collaboration entre James Warren et Archie Goodwin (le rédacteur en chef de Creepy et Eerie).

Délirium nous fournit également une lettre parue dans le courrier des lecteurs du numéro 12.

Elle est signée d'un jeune de vingt ans, un certain Jean-Pierre Dionnet.

Outre les fantastiques BD que je ne vais pas vous commentez en détail, nous trouvons la galerie des monstres d'EERIE (L'Hydre, Le Démon, Les Cyclopes, Le Wendigo et Le Minotaure).

Ensuite Bernard Joubert nous parle des posters, films 8 mm et des statuettes que l'on pouvait se procurer dans les exemplaires de Creepy, Eerie et Vampirella.

Je me souviens très bien de tout cela.

Puis nous retrouvons bien évidemment les biographies des principaux auteurs.

Les BD sont épouvantablement croustillantes et savoureuses mais sans doute que pour beaucoup de jeunes qui n'ont pas connue cette époque des années 60/70, leur approche est probablement très différente de la mienne.

Si comme moi vous êtes fan de ces vieux comics US, procurez vous ces quatre livres.

Adanson Marco.

PS: Comme pour Creepy Tome 1 et 2 et Eerie tome 1, je rappelle que l'on ne retrouve pas les reportages de films que l'on trouvait dans les journaux Français.

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Commentaire ajouté par Adanson 2015-12-06T13:05:52+01:00
Anthologie Creepy, Volume 2

CREEPY est pour moi le journal que j'achetais quand j'étais Ados.

J'adorais ces BD Fantastiques et d'épouvantes. Comme le dit Jean-Pierre Dionnet (Métal Hurlant, Les enfants du rock et Cinéma de quartier) dans sa préface, j'espère que cette édition changera votre vie comme cela a changé la mienne.

Il faut savoir que CREEPY a influencé beaucoup de cinéastes de films d'horreur.

Avec ce Creepy Anthologie 2, Délirium nous offre les BD des numéros 8 à 15. A la fin du livre nous retrouvons page par page les couvertures originales en couleur (magnifiques).

Les BD en noir et blanc sont toujours aussi passionnantes.

On y trouve notamment: "Le royaume noir", "Dans la tombe", "La chose dans les ténèbres", "L'homme bête", "L'équipage fantôme", "Poupée vaudou", "Le sang du Loup-Garou", "La malédiction du Vampire" ou encore "L'horreur venue du fonds des temps".

Les principaux auteurs et illustrateurs étaient Archie Goodwin, Neal Adams, Dan Adkins, Gene Colan, Johnny Craig, Reed Crandall, Steve Ditko, le grand Frank Frazetta, Jerry Grandenetti, Gil Kane, Roy Krenkel, Rocco Mastroserio, Gray Morrow, Joe Orlando, John Severin, Angelo Torres, Alex Toth, George Tuska et Wallace Wood.

Richard Corben n'apparaît qu'un peu plus tard aux USA (ces deux volumes représentent les 14 premiers numéros). Il faut dire qu'en France seulement une trentaine de Creepy sont sortis et que Corben apparaît très vite.

Frazetta sera toujours présent.

Ce volume comme "Creepy anthologie 1" et "Eerie anthologie 1" sont des livres magnifiques qui en plus d'être passionnants font merveille dans une bibliothèque.

Je suis tellement fan et heureux qu'on les ressortent que mon opinion est légèrement subjective.

Adanson Marco.

PS: Comme pour Creepy Tome 1 et Eerie tome 1, je rappelle que l'on ne retrouve pas les reportages de films que l'on trouvait dans les journaux Français.

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Commentaire ajouté par Adanson 2015-12-06T13:11:29+01:00
Anthologie Eerie, Volume 1

Cette publication du label DELIRIUM est avec la réédition de Creepy un vrai bonheur.

Eerie est le comics jumeau de Creepy et nous présente le même schéma.

Magnifiques couvertures dessinés notamment par Frank Frazetta et Richard Corben.

Momie, Squelette encapuchonné dominant un phare en pleine mer, Hommes dans la jungle avec des dinosaures, poupée de chair etc...

Comme pour Creepy, l'intérieur de ce fanzine était un mix entre des BD d'horreur et des reportages de films fantastiques, d'épouvante et de SF et tous les films qui sortaient étaient également chroniqués.

Les BD étaient toujours aussi fabuleuses, bien dessinés et chaque fois nous contaient des histoires extravagantes et terrifiantes.

Cette innitiative de DELIRIUM est excellente.

Outre les BD en noir et blanc complètement démentes, nous trouvons une préface passionnante de Fershid Bharucha (l'un des pionniers de l'édition Françaises de bandes dessinées Américaines), une galerie des monstres (le Loup-Garou, le Vampire, les Zombies, la Momie et le Monstre créé par l'homme), "les souvenirs d'Eerie" par Forrest J. Ackerman et des biographies des principaux auteurs (Scénariste et illustrateurs).

Nous trouvons également les six premières couvertures originales.

J'attends bien sur d'autres volumes et conseille cet achat sans hésitation.

Ce sont réellement de très beaux ouvrages.

Je retrouve mes quinze ans et ma découverte du Fantastique-Epouvante.

Adanson Marco

PS: Comme pour Creepy Tome 1 on ne retrouve pas les reportages de films que l'on trouvait dans les journaux Français.

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Commentaire ajouté par Adanson 2015-12-06T13:13:38+01:00
Anthologie Creepy, Volume 1

Je me plaignais du fait que l'on ne trouvait Creepy qu'en version Anglaise. Aujourd'hui c'est réparé avec cette magnifique édition qui sera présenté au festival de la BD d'Angoulême.

Creepy: c'était d'abord les magnifiques couvertures dessinées notamment par Frank Frazetta (décédé récemment) et Richard Corben.

A 15-16 ans, elles me terrifiaient et dans le même temps me faisaient rêver.

Un homme venant de se faire Guillotiner et tenant sa tête sous le bras, des Loups-Garous, des Vampires, des morts-vivants, un monstre ailée gigantesque à tête de mort, un homme décapitant un lion, un homme attaqué par des gnomes etc...

L'intérieur de ce fanzine était un mix entre des BD d'horreur et des reportages de films fantastiques, d'épouvante et de SF.

Tous les films qui sortaient à l'époque étaient chroniqués.

Les BD étaient formidables, bien dessinés et chaque fois nous contaient des histoires extravagantes et terrifiantes.

Creepy fut pour moi avec son cousin Eerie et Vampirella, le must des comics fantastiques.

Pour les amateurs je le conseille sans hésiter.

Ce Tome I regroupe les 7 premiers numéros et j'attends les suivants avec une grande impatience.

Ce Magnifique livre commence par une préface de Christophe Gans relatant sa découverte de Creepy qui en gros est la même que la mienne.

Puis on trouve les BD des 7 premiers numéros (génial), l'enterrement prématuré d'Oncle Creepy par Bernard Joubert, La révolution Warren par Jon B. Cooke et la biographie des principaux auteurs.

Enfin cerise sur le gâteau, les 7 superbes couvertures originales (une par page).

Bravo pour ce travail.

Adanson Marco

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Death Dealer, Tome 1 : Le Heaume Maudit

Histoire splendide, avec un personnage principal dont les conviction ne change pas du début à la fin, des personnages secondaire tout autant attachant.

Gath de baal est un personnage peut loquace chez qui on sent peut de confiance en l'être humain mais qui arrive néanmoins à l'accordé à Mésange.

Mésange est trés attachante et sa bravoure augmente au fils du livre.

Tout cela dans un monde mystérieux à mit chemin entre l'ile mystérieuse de Jules Vernes d'un coté du monde et d'une cité médiéval de l'autre.

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Commentaire ajouté par Skritt 2015-12-16T20:08:00+01:00
Anthologie Creepy, Volume 1

Cette anthologie regroupe les parutions des bandes dessinées publiées dans la magazine Creepy. C’est un recueil de qualité qui est ici proposé. Les bandes dessinées s’étalent sur quelques pages seulement, au même titre que les contes de la crypte étaient courts mais intenses.

Mais les quelques pages de ces bandes dessinées sont d’une grande qualité. Au niveau du graphisme, le noir et blanc ajoute une dimension mystérieuse au récit. La mise en page est très dynamique et cinématographique. Le dessin est très réaliste. Les personnages, les mouvements, les expressions sont finement travaillés.

Les récits sont percutants, avec une morale assez cynique et moqueuse, mais nous sommes dans le ton.

En somme, la réalisation de ces bandes dessinées relèvent du grand art. Une très belle anthologie qu’il faut absolument lire.

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Death Dealer, Tome 1 : Le Heaume Maudit

Gath de Baal (le Death Dealer) est un colosse qui n'a ni dieux ni maîtres, il n'est ni bon ni mauvais. D'est un homme libre. libre, jusqu'à sa rencontre avec le heaume maudit.

Le Death Dealer c'est de la force brute, de la fantasy guerrière, c'est du lourd !!! Il faut aimer... pas de prise de tête ! Des batailles, des mystères, de la sorcellerie, des tueries, une reine des serpents maléfique à souhait, mais en contre point la douceur et l'innocence de Mésange, la roublardise et l'humanité de Jean Le Brun.

Bien qu'il ne révolutionne pas le genre, le roman est bien écrit : les chapitres sont courts, l'écriture nerveuse et le style sert parfaitement bien l'histoire. On ne vous conte pas bluette : c'est du brut ! Les scènes de batailles sont nombreuses, acharnées : le rythme du récit est effréné, pas le temps de souffler une minute. L'intrigue construite est propre à l'héroïc-fantasy : un héros, des ennemis sanguinaires, des batailles

Un petit détour dans le passé, un roman à la Howard, un héros à la Conan dont l'auteur était l'illustrateur. Ici, il n'y a pas d'enjeux politiques complexes ou de quête à accomplir, et le héros ne cherche pas à sauver le monde. On peut donc se divertir et se détendre comme lorsque l'on regarde un bon vieux film de Conan le Cimmérien. ce n'est peut-être pas très subtil, ici le sexe et la violence sont sans tabous, mais reste que le Death Dealer est un des précurseurs de la fantasy, celui qui a inspiré bon nombre d'auteurs.

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Death Dealer tome 2 : Les Seigneurs de la Ruine

Nous voilà de nouveau plongés dans les aventures trépidantes du Death Dealer, on suit le chemin taillé pour nous à la hache par Gath. Toujours pas de surprises dans ce tome. En espérait-t-on vraiment ?

Les aventures de Gath de Baal se poursuivent sur le même synoptique, quoique plus classique, on retrouve les mêmes ingrédients que dans le tome précédent : la violence, personnages féminins fortement bien gâtes par la nature... En bref, la fantasy brute des années 70's avec sa violence et son érotisme, une magie pernicieuse et une intrigue des plus simples, à savoir des combats, toujours plus de combats.

De la bonne vieille Sword and Sorcery comme on l'aime , avec Frank Frazetta, on revient aux sources même du genre car il était l’Illustrateur de fantasy par excellence et sans lui, peut être, il n'y aurait pas de fantasy aujourd'hui ! Avec Gath de Baal, James Sylke nous ramène à cette période, où les auteurs ne se posaient pas de question, ils nous offraient de la fantasy brute de décoffrage certes, mais très visuelle, des images faites pour le grand écran. Avec Conan, le Death Dealer est un personnage phare du genre, une époque où les Role playing Games n'existaient pas ! Une époque où l'on se réunissait autour d'une table pour assouvir notre passion ! Une époque moins individualiste, plus conviviale !

Le personnage de Gath me fascine toujours autant. Aux prises avec le heaume maudit, il a de plus en plus de mal à le contrôler. Plus sombre, plus bestial et plus imposant que dans le premier tome, il n'en reste pas moins très charismatique et attachant. On ne peut qu'apprécier ce héros brut de décoffrage comme on en voit peu.

Dans le premier tome, on avait fait connaissance avec Bath et appris la façon dont il a trouvé le fameux heaume. Un heaume sous lequel il tombe sous le contrôle, l'emprise de la sorcellerie se révélant de plus en plus forte. On retrouve également les autres protagoniste, amis ou ennemis encore plus méchants ; le personnage de Mésange nous apparaît moins téméraire et on ne succombe plus , malheureusement, à son charme. Nos principaux protagonistes, rejoint par Cobra qui a perdu ses pouvoirs, vont devoir déjouer les plans machiavéliques de la Reine-Nymphe qui veut à tout prix retrouver ses pouvoirs et qui envoie des tueurs à la recherche de Mésange.

A l'instar du premier tome on retrouve, un style d'écriture toujours aussi plaisant à lire avec des pages complètes de narration et de longues descriptions, mais sur un rythme de récit échevelé, ce qui fait l'attrait du roman et, laisse libre cours à notre imagination.

Un récit linéaire et puissant, alternant les personnages d'un chapitre à un autre, et qui se lit avec un certain plaisir, sinon avec passion mais qui ravira les fans de "fantasy à l'ancienne". Un roman cru et sans concessions où les scènes de batailles sont nombreuses et sanguinaires.

Gath de Baal est un héros frustre, qui parle peu mais qui remplit son office avec emphase. Peu de subtilités pour les héros, un récit un peu "bourrin" il faut le reconnaître, c’est de l’heroïc-fantasy pure avec un héros aux gros muscles qui avance dans la vie à coups de hache. Un deuxième tome à la hauteur du premier, si ce n'est mieux !

Une fois accro au Death Dealer, on n'en décroche plus !

Par contre, si vous n’aimez pas le sang et les filles aux courbes opulentes, passez votre chemin.

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Death Dealer, tome 3 : Dans les Griffes du Mal

On retrouve le Death Dealer avec toujours la même force dans le récit. Un Gath de Baal qui prend de plus en plus d'épaisseur au fil des romans. Un régal pour les fans d'heroïc-fantasy : des combats sont toujours aussi sanglants et, si le niveau du récit ne rejoint pas celui des grands cycles très fouillés de fantasy, c'est exactement ce qu'on cherche avec ce type de livres : du bourrin mâtiné de sorcellerie !

Dans ce troisième tome qui à l'instar des précédents ne fait pas dans la dentelle : les protagonistes préférant la voie du sang à la négociation. Un troisième tome encore plus sombre que les précédents où notre héros, à la recherche de Midi la Reine des chats, va retrouver ses origines non sans avoir failli sombrer dans l’extrême bestialité.

Un troisième tome plus sombre, tourné vers l'action et avec une intrigue plutôt simple où les rencontres se terminent bien souvent en combat. L'histoire est, hormis le voyage en lui-même, linéaire. L'histoire est sauvée par les différents lieux et régions qui sont exotiques et bien souvent inhospitalières.

Dans une stylistique maîtrisée, où il ne s'agit pas de sauver le monde et loin des romances, l'auteur nous offre une fantasy assez bourrine où les personnages sont esquissées au couteau avec juste un ou deux traits pour les définir. L'auteur aurait gagné à approfondir ses personnages et à un peu plus développer son univers, car la magie du premier tome ne fait plus ici son effet.

Malgré une prose un tantinet cruelle et plus subtile que dans les romans de son illustre aîné Howard et de son personnage Conan , l'auteur ne parvient pas à susciter l’engouement total des lecteurs. Ce troisième roman, où la force brute prend le pas sur toute chose, l'auteur nous offre un bon livre de divertissement et espérons que le dernier tome de la série retrouvera les envolées lyriques des deux premiers tomes.

Voici donc un livre qui s’adresse aux amateurs de combats, de force brute qui sent la sueur où l’adrénaline coule à flots. Amateur de Conan et autre barbare vous devriez y trouver votre compte.

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Death Dealer, tome 4 : Les Assassins de l'Ombre

L'histoire se poursuit exactement là où l'on l'avait laissé au tome précédent, Gath de Baal n'en a pas finit avec le seigneur des ténèbres, il va dans ce tome de nouveau être confronté à Tiyy la Reine Nymphe de Priam que l'on avait rencontré au premier tome.

Un tome qui s'avère plus classique dans sa trame de fond puisque que notre héros et ses compagnons vont subir dans la citadelle où ils se trouvent les assauts des armées de Tiyy. Mais ce tome ne s'avère pas de facture plus classique de par l'intrigue de fond, qui est comme dans les opus précédents des plus simples, mais aussi par le fait d'une nature qui se rapproche de la high-fantasy par un côté moins sombre mais plus épique.

Un quatrième tome un peu moins passionnant que les précédents même si les co-auteurs nous font découvrir, aux côtés de Gath et de ses nouveaux compagnons, rencontrés au tome précédent, une nouvelle partie de l'univers du héros jusqu’ici non encore explorée. Les auteurs densifient donc avec cet ultime tome l'univers du héros de la même manière qu'ils l’avaient fait précédemment lors des précédents volumes.

Avec Les Assassins de L'ombre, les prosateurs nous offrent un récit plus épique que dans les tomes précédents, moins sombre, mais qui ne fait toutefois pas dans le light car les combats sont toujours aussi nombreux. Mais si l'action est toujours le maître mot des aventures de Gath, le style quand à lui se veut moins heurté, se rapprochant, avec l'assaut mené contre la citadelle dont notre héros à la charge d'organiser la défense, plus du médiéval-fantastique.

Un dernier tome au style non taillé à la hache, où les compagnons du héros seront plus présents mais qui de par la manière de transcrire le récit se veut plus proche de la fantasy actuelle.

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Eclipse : 3 livres

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Editions Ca et Là : 2 livres

Milady Graphics : 1 livre

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